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Leagues SB League 02.12.2020

SB League : Game recap day 5 and 8

Am Samstag, 28. November konnte eine Begegnung des fünften und des achten Spieltags nachgeholt werden. Die Lugano Tigers haben auf ihrem Erfolgskurs weitergemacht und auswärts das Schlusslicht BBC Nyon. Nächstes Wochenende spielen sie gegen den BC Boncourt um einen Platz in den Top 6. Die Waadtländer erlebten einmal mehr ein Loch, dieses Mal im zweiten Viertel, das sie 11:29 verloren. Mit unzähligen Abwesenden haben Union Neuchâtel Basket und das Duo Vernon Taylor und Bryan Colon das Wichtigste erreicht und zuhause gegen Starwings Basket gewonnen. Dank diesem Erfolg bleiben die Männer von Daniel Goethals am Spitzenduo dran, bevor sie nächstes Wochenende auf den Leader Lions de Genève treffen. Für die Basler eine verpasste Gelegenheit, näher an die Gruppe heranzukommen, die um den 4. Platz kämpfen.

Foto : Albin Tissier

«Les victoires vont finir par arriver»

Samedi, au Rocher, les basketteurs nyonnais ont enchaîné un sixième revers de rang. Si les défaites fleuves et l’enchaînement des matches peuvent inquiéter, le président Xavier Paredes se veut rassurant.

«On est une équipe amateur dans une ligue de professionnels. Ça va être très dur de gagner des matches.» Début octobre, Alain Attallah avait prévenu que cette saison allait être compliquée sur le plan sportif pour ses protégés. Près de deux mois plus tard, la prophétie de l’entraîneur nyonnais s’est malheureusement confirmée. En six matches de championnat, les joueurs du BBC Nyon n’ont connu que des défaites. «On savait que ça allait être une saison difficile avec seulement deux renforts étrangers, confirme le meneur Jeff Dufour. On est dans une mauvaise passe actuellement, mais il faut continuer à bosser pour gagner des matches. On a un super groupe et c’est en restant unis qu’on va se sortir de cette spirale négative.» Samedi soir, malgré une prestation d’ensemble plutôt bonne, les Nyonnais ont fini par craquer face aux Lugano Tigers, comme souvent depuis le début de saison.

Effectif limité, rythme effréné

Un enchaînement de défaites qui inquiète le coach Alain Attallah, qui tire la sonnette d’alarme. «Moralement, c’est difficile. On sent que les joueurs sont fatigués. Mercredi, on rentre à deux heures du matin de notre match à Bâle et le lendemain, la plupart travaillent ou étudient, lâche l’entraîneur nyonnais. Honnêtement, avec une autre équipe, je pense que ça aurait déjà pu craquer… Mais là, les joueurs aiment le club et ils se battent comme des fous.» Le problème, c’est qu’avec un effectif de seulement neuf joueurs depuis le départ de l’Américain Nolan Berry et la blessure de Laurent Zoccoletti, la tâche du tacticien grecque s’est encore complexifiée: «Les équipes de LNA ont 14 ou 15 joueurs et nous, on ne peut pas faire de cinq contre cinq à l’entraînement. Et surtout, comme on joue tous les trois jours, on ne s’entraîne que deux fois entre les matches, donc c’est compliqué.» Pour une équipe composée en grande partie d’amateurs, ce programme démentiel est plus que délicat à gérer, surtout en sortie d’une double quarantaine. «Pour des semi-pros, ce rythme est intenable, confirme Xavier Paredes, président du club. On n’a pas l’effectif pour jouer tous les trois jours, mais on n’a pas le choix. Heureusement, pour l’instant, on évite les blessures. On touche du bois.»

Un Américain en renfort

Pourtant, les Nyonnais devront remettre le couvert dès mercredi à Neuchâtel, puis dimanche à Massagno pour leur troisième semaine anglaise consécutive. Si Xavier Paredes sait que ses protégés traversent une période compliquée, il préfère voir le verre à moitié plein: «Le bilan comptable n’est pas bon, on s’y attendait un peu, mais au niveau de l’équipe, c’est globalement positif. Le jeu qu’on a proposé, mis à part contre Starwings, était bon. L’équipe progresse, les gars travaillent bien et l’ambiance au sein de l’équipe est super». Le retour de blessure de Laurent Zoccoletti d’ici une dizaine de jours et l’arrivée d’un renfort étranger dans un futur proche – «on est en train de chercher un Américain et aussi une famille d’accueil», sourit Xavier Paredes – devraient redonner un peu de souffle à une équipe qui en a bien besoin. «On sait que c’est difficile, mais il faut continuer à être fort mentalement, glisse le président. Les joueurs sont aussi là pour se faire plaisir et tant qu’il y aura du plaisir, ça se passera bien.»

«On croit en ce projet»

Les basketteurs du Rocher devront effectivement garder le moral cette saison et surtout se montrer performant lors des quelques matches qu’ils peuvent remporter, ce qui n’a pas été le cas mercredi à Bâle. «Il faut continuer à bosser, à s’améliorer et pas tout le temps se lamenter parce qu’on a moins d’étrangers, lâche Xavier Paredes. On a déjà montré de bonnes choses et il faut continuer à croire en ce projet. Aujourd’hui, on a une équipe qui, même si elle est limitée en nombre, a du potentiel. On n’a pris aucun gars par défaut, on compte sur tout le monde.» Le club est en train de poser des bases solides pour les années à venir, mais le président nyonnais veut croire en cette équipe dès cette année. «Si on ne lâche rien et qu’on reste soudés, je suis persuadé qu’on va gagner un ou deux matches cette saison. Il faut qu’on avance tous ensemble, qu’on se serre les coudes et les victoires vont finir par arriver, commente «Spike». On a mis ce projet en route, on y croit et on s’y tient. Si au moindre obstacle on dit qu’on arrête tout, on ne va pas s’en sortir.»

La Côte - Romain Bory

Full game

Highlight

Trotz Niederlage gab es viel Positives

Die Starwings verloren in Neuchâtel ehrenvoll mit 71:78 (25:35).

Nur 92 Stunden nach dem ersten Heimerfolg gegen den BBC Nyon erlitten die Birs­felder Basketballer bei einem der Titelkandidaten eine knappe 71:78 (25:35)-Aus­wärtsniederlage. Doch die «Wings» bewiesen, dass sie, sollten sie dereinst «en grand complet» antreten können, auch gegen Titelfavoriten nahezu auf Augenhöhe mitspielen können. Was wäre gewesen, wenn der Starwings-Topskorer Matthew Milon hätte mitspielen kön­nen? Denn mit vier Profi-Spielern – wie sie die Neuenburger einsetzen konnten – hätte Starwings-Cheftrainer Dragan Andrejevic mehr rotieren können und ein Bryan Colon hätte gegen Milon keine 28 (!) Punkte erzielt. Und wenn man bedenkt, dass Nathan Krill, weiter­hin kränkelnd und angeschlagen, schnell mit Fouls belastet war und nach 33 Minuten defi­nitiv mit fünf Fouls ausscheiden musste, so verdient der starke Auftritt der Unterbaselbieter an den Gestaden des Neuenburgersees allerhöchstes Lob. Von Beginn an bewies das Deutschschweizer Aushängeschild, dass es – trotz den vielen vorgängigen Niederlage – kein «Kanonenfuttter» ist. Nach sieben Minuten leuchtete ein 7:15 von der Anzeigetafel auf – der Gastgeber, welcher mit Friboug, Genf und Massagno die «Vier Grossen des Landes» bildet war perplex.

Sieben Minuten lang eingebrochen

Aber gute, teils sogar starke Phasen können die Starwings (noch?) nicht über eine längere Spieldauer halten. Das zweite Viertel war hierfür sympatomatisch. Aus einem 16:20 nach 21 Minuten machte der Gastgeber bis zur 27. Minute ein 33:20 – ein 17:0 (!) innert knapp sieben Minuten brachten alle Mänger der Gäste zutage. Viel zu viele Ballverluste (in jedem Match 20 und mehr; damit ist man ligaführend…), eine miserable Freiwurfquote von 40 Prozent – ein unterirdischer Wert für die Nationalliga A und forcierte Würfe, weil das Kol­lektivspiel zusammenfiel oder man durch Gegenstösse überrannt wurde. Aber der Gast aus Birsfelden bewies, trotz Ausfällen, Blessuren, Foulbelastungen (auch die Refs könnte man thematisieren…) und Krankheiten und als es nach 38 Minuten nur noch 71:65 stand, wäre alles möglich gewesen. Weil aber Nathan Krill längst ausgeschie­den war, die Refs weiterhin dem «in dubio pro Union» treu blieben und einige ärgerliche Ballverluste zu verzeichnen waren, kam Neuchâtel zum logischen Sieg. Den sich die Ro­mands hart erkämpfen mussten, weil niemand in der Lage war, den Schweizer Bryan Co­lon (der aber für die Dominikanische Republik als Nationalspieler aufläuft) zu stoppen. Und Neuchâtel mit ihren vier US-Profis Vernon Taylor, Griffin Kinney, Markel Humphrey und den 214-Zentimeter-Riesen Daniel Giddens fleissig rotieren konnte. Ein Luxus, den Andre­jevic nicht hat.

Gute Perspektiven, wenn …

Erfreulich, dass ex-Captain Joël Fuchs nach seinem Einstand am Mittwoch gegen Nyon nun auch in Neuenburg aufspielen konnte. Nach 13 Minuten kam er als 10. Mann in die Partie, in der 33. Minute warf er den ersten von zwei Dreiern. Ein grosser Hoffnungsschim­mer für die Zukunft. Deondre Burns brillierte als Skorer, wobei er all seine vier Dreipunkte-Versuche in den Korb brachte. Vid Milenkovic, welcher in der Stammfünf spielen durfte, hatte nach 90 Sekunden schon zwei Fouls und nahm sich somit selber (die Unparteiischen waren grosszügig beteiligt, da sie Gleiches nicht mit den gleichen Foulpfiffen ahndeten – zumindest nicht dann, wenn es entscheidend war) aus dem Spiel. Starwings-Center Cheikh Sane begann diskret, steigerte sich aber gewaltig und wies 15 Punkte und sagen­hafte 16 Rebounds (davon sieben in der Offensive) auf. Und auch der 20-jährige Yafet Haile holte sich sieben Rebounds – davon fünf (!) im Angriff. Schade, dass er, Sébastien Davet und vor allem Ilija Vranic in der Offensive zu wenig Akzente, auch in Form von Punkten, setzen konnten. Ansonsten der Sieger nicht Union Neuchâtel gewesen wäre. Die Starwings, obwohl mit Nyon der Liga-David, hat als einziges Team die acht Vorrunden-Matches ausgetragen. Allerdings in englischen Wochen – oft drei Partien in sechs Tagen. Eine Zumutung für Amateure, dessen Profis krank oder verletzt waren/sind. Auch die An­setzung des modifizierten Spielplanes kam den Birsfeldern nicht entgegen.

Zwei Wochen Zeit für Regeneration

Nun hat die Equipe von Trainer Andrejevic zwei Wochen Pause. Es ist zu hoffen, dass das «Lazarett» einigermassen auf die Beine kommt und als Kollektiv agieren kann. Die Star­wings verfügen nämlich über ein homogenes Team, mit vier guten Profispielern und einem Schweizer Quintett, das entwicklungsfähig ist oder viel Routine (Branislav Kostic, Fuchs) aufweist. Und es wäre interessant zu sehen, wenn ein komplettes Starwings auf dezimier­te Rivalen treffen würde… die Rangliste wäre garantiert eine andere!

Starwings Basket - Georges Küng

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