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Leagues SB League 08.02.2022

SB League : Game recap day 16

Der 16. Spieltag wurde vor allem durch den Erfolg der Lugano Tigers bei den Lions de Genève geprägt, die damit bis auf einen Sieg an die Play-offs heranrücken konnten. Die Genfer bleiben zwar auf dem vierten Platz, aber die Verfolger sind nicht weit entfernt. Die beiden Erstplatzierten der Tabelle gaben sich keine Blöße und gewannen ihre Heimspiele deutlich, Fribourg Olympic gegen Starwings Basket und Spinelli Massagno gegen den BBC Nyon. BC Boncourt hat sich den Top 4 angenähert, indem er nach Verlängerung gegen den BBC Monthey-Chablais gewann, der nun allein auf dem letzten Platz liegt. Union Neuchâtel Basket festigte seinen dritten Platz durch einen Sieg in der Sporthalle gegen Swiss Central Basketball, trotz einer schwierigen Anfangsphase

Foto : Pierre Maillard

Après Lions – Lugano, autopsie du naufrage genevois

Humiliés 48-23 en 2e mi-temps par l’avant-dernier de SB League, samedi, les Lions de Genève s’enfoncent dans la crise. Le coach, Andrej Stimac, reste aux commandes.

Il faut espérer que les prochaines semaines ne lui donneront pas raison. Lorsque l’on a demandé à Justin Solioz, samedi soir, après le naufrage à domicile contre Lugano (62-77), si ses Lions avaient touché le fond, le meneur de jeu remplaçant a eu ces mots, terrifiants pour les pensionnaires du Pommier. «Je ne veux pas utiliser cette formule car on peut toujours creuser plus bas… Mais c’est certain: on traverse une période de crise.»

Pas de plan B

Au sortir de cette affiche face aux Tigers, il y a d’abord des chiffres, implacables. Au terme d’une première mi-temps bien contrôlée, les Genevois, qui ont compté jusqu’à 15 longueurs d’avance, avaient quasi autant tiré à 2 points (19) que derrière l’arc (16). Un signe avant coureur de l’orage qui allait venir… Car s’en remettre à l’adresse, c’est bien, mais c’est aussi dangereux. Si elle a été plutôt au rendez-vous pendant 20 minutes, elle a ensuite abandonné les hommes d’Andrej Stimac, qui se sont entêtés à shooter de loin pour creuser leur propre tombe (0/13 en 2e mi-temps), sans jamais mettre sur pied ne serait-ce que le début d’un plan B. «On a pensé qu’on allait finir par trouver notre rythme derrière l’arc, que c’était la solution à tous nos problèmes. Mais on en a oublié d’être agressifs, a réagi le technicien, dépité. Il fallait trouver un moyen de donner le ballon à nos joueurs intérieurs. Faire 4 passes décisives en seconde période, c’est inadmissible.» Avec 13,6 assists en moyenne par match, les Lions sont d’ailleurs l’une des pires équipes de la Ligue dans ce secteur. Signe que collectivement, c’est d’une pauvreté abyssale.

Pas de leader

Il y a ensuite eu ce manque de révolte, flagrant, qui a sauté aux yeux lors des deux «runs» de Lugano - un 10-0 puis un 15-0. À ce moment-là, le public genevois aurait sûrement aimé voir des cadres qui prennent la parole, qui secouent le cocotier par la voix, qui rassemblent un groupe en perdition en passant le bras au-dessus de l’épaule du copain. Et bien non, rien de tout cela ne s’est produit. On a surtout vu des solistes la tête basse qui ont joué leurs partitions à tour de rôle. Les quatre étrangers – Eric Nottage, Scott Suggs, Eric Adams et Dragan Zekovic – sont bourrés de talent. Mais ce ne sont pas des leaders. Du moins pas à Genève. «On espérait que certains émergent naturellement, mais ce n’est pas le cas, concède le président Imad Fattal. Et si tu n’as pas de leader, tu ne peux pas avoir de hiérarchie dans une équipe. On le constate notamment avec nos role players, qui n’arrivent pas à se sublimer.» Justin Solioz recadre. «Des professionnels n’ont pas besoin d’entendre: «maintenant, fais ton travail.» Cela doit venir de nous, notre attitude doit changer. Nous ne pouvons pas demander aux gens de payer 20 francs pour assister à un spectacle pareil.»

Un coach conforté

La mine démolie, Andrej Stimac a répondu avec franchise à une question, désagréable mais de circonstance. «Si je suis menacé? Je donne tout ce que j’ai pour ce club. Mais si mon maximum ne suffit pas pour le groupe, face à cette situation, je l’accepterais, a-t-il dit, avant de se reprendre. Je reste persuadé que notre travail va finir par payer.» Samedi soir, Imad Fattal s’est assis une demi-heure à une table avec son coach et son assistant Ivan Stanisak. Pour discuter, comprendre, trouver des solutions à ce marasme. Pas pour débarquer le binôme de ses fonctions. «Je ne vois pas cela comme un levier qui pourrait amener un changement majeur. Le problème est plus profond, a concédé le président. Andrej a ma confiance et finira la saison. Avec tout ce qu’il a fait pour ce club, il ne mérite pas de sauter à trois mois de la fin de son contrat. Je sais qu’il travaille comme un fou. Et pourquoi le virer lui et pas les joueurs?» En première ligne, Justin Solioz abonde. «Andrej a mon soutien total. Il faut l’aider, pas le pointer du doigt. Ce n’est pas lui qui est sur le terrain et qui prend tous ses tirs rapides ou ne passe pas le ballon.»

Et maintenant?

Avec 8 victoires pour autant de défaites, les Lions sont désormais 4es de SB League, à la lutte pour l’avantage du terrain en play-off avec le BBC Nyon. Bref, très loin de leur lustre d’antan et des meilleures formations du pays, Fribourg ou Massagno. «On ne cherche pas à gagner le championnat. Aujourd’hui, nous ne sommes pas au niveau d’Olympic sur une série en 5 matches», reconnaît Imad Fattal. Le hic, c’est que ces play-off sont la seule échéance avec laquelle Genève peut espérer sauver sa saison. «C’est ce qui me fait peur, lorsque tu n’as plus grand-chose à jouer: les joueurs commencent à être égoïstes, à penser à leurs statistiques pour décrocher un futur contrat. C’est comme ça que l’on fout en l’air un club et je ne veux pas de ça ici.» L’avenir immédiat, c’est un derby, mardi, à Nyon justement. «C’est déjà une confrontation assez énorme pour nous. Il ne faut pas y aller la peur au ventre, car cela paralyse. Surtout, on veut voir une réaction d’orgueil des joueurs. J’ai envie de leur dire, oubliez le club, vos contrats. Y a-t-il un cœur qui bat sous votre maillot?» Réponse mardi, au Rocher.

Tribune de Genève - Jérémy Santallo

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Monthey manque le coche et perd Le Sann

Le BBC Monthey-Chablais a perdu au bout de la prolongation face au BC Boncourt. Une répétition générale manquée par les Sangliers, avant la demi-finale de Coupe de Suisse prévue samedi.

C’était soir de répétition générale pour le BBC Monthey-Chablais. L’occasion pour les Sangliers d’entamer de la meilleure des manières une série de trois matchs en huit jours, série qui doit les emmener jusqu’au rendez-vous de leur saison: la demi-finale de Coupe de Suisse face au BBC Nyon, samedi prochain. Cette répétition générale, Monthey aurait pu la remporter, mais il a – comme trop souvent – fini par céder dans les dernières minutes du match. Défaits 89-92 après prolongations par le BC Boncourt, les Bas-Valaisans pourraient avoir perdu Clayton Le Sann, contraint de quitter ses partenaires sur blessure après quatre minutes de jeu.

L’absence: Temelso remplace Pembele

Assistant de Patrick Pembele, Besserat Temelso a été promu coach principal samedi. Le Covid est venu jouer un vilain tour à l’entraîneur du «BBCM». Cas contact et toujours dans l’attente du résultat de son test PCR, ce dernier a préféré ne prendre aucun risque pour la rencontre du week-end. Reste à savoir s’il pourra être sur le banc de son équipe mardi soir à Birsfelden. Dans ces circonstances, c’est Nicolas Oberholzer, team manager des Sangliers, qui a épaulé Besserat Temelso avant la causerie de mi-match.

La perte: Monthey croise les doigts pour Le Sann

La 4e minute de jeu n’était pas encore entamée que déjà Clayton Le Sann était contraint de quitter ses partenaires. Au duel avec Petar Kozic, le Genevois est lourdement retombé sur son bras. Resté au sol, il a fini par se relever et a transformé avec une seule main un des deux lancers francs obtenus après ce contact fautif. Premier Helvète de la hiérarchie montheysanne en termes de temps de jeu et de points, son absence a évidemment pesé sur cette rencontre. Mais pourrait surtout peser sur les deux prochains rendez-vous du «BBCM»: le match de mardi face à Starwings et la demi-finale de Coupe face au BBC Nyon samedi. «Il avait très mal au bras et a dû se rendre directement à l’hôpital. Il faut maintenant attendre qu’il puisse faire des examens pour connaître la gravité de sa blessure», commente Besserat Temelso.

Le duel: JaCori Payne et Brent Jackson se répondent durant 45 minutes

Quelle allure aurait eu cette rencontre sans eux? Mieux vaut sans doute ne pas répondre à cette question, tant JaCori Payne, côté valaisan, et Brent Jackson, côté jurassien, ont pesé sur le rendement offensif de leurs équipes respectives. Durant le troisième quart, l’Américain du BC Boncourt a fait grimper l’écart à + 13 après avoir notamment inscrit quatre paniers à 3 points de suite. Quant au meneur du «BBCM», il a tout simplement rendu sa meilleure fiche personnelle depuis le début de saison avec 34 points, 10 rebonds et 5 assists.

Le constat: Monthey lâché par son secteur intérieur

Avec la blessure de Le Sann tombée très tôt dans cette rencontre, les pensionnaires du Reposieux ont été contraints de «remodeler leur puzzle», selon les mots de leur entraîneur du soir, Besserat Temelso. Mais certaines pièces ont refusé de coulisser correctement. Rappelé au banc après sa 3e faute (12e), Jalen Hayes n’a pris sa chance qu’à six reprises pour trois paniers inscrits. Son coéquipier du cinq de base Dikembe Dixson affiche quant à lui un 2 sur 8 dans la peinture et un 4 sur 16 d’adresse globale. Même constat pour Brunelle Tutonda (1 sur 5) qui n’a pas su saisir l’occasion offerte après la sortie prématurée de Hayes. «Nos «grands» ont trop rapidement été limités par les fautes. On n’a pas réussi à peser offensivement dans ce secteur», regrette Besserat Temelso.

Le Nouvelliste - Adrien Delèze

Un succès boncourtois précieux au bout de la prolongation

Cela aurait pu basculer dans le très mauvais sens. C’est finalement tout le contraire. Vainqueur 92-89 samedi à Monthey au prix d’une prolongation qu’il aurait sans doute pu s’épargner, le BC Boncourt profite aussi des autres résultats (défaite de Genève et déroute de Nyon) pour garder résolument des vues sur le top 4 de la Swiss Basketball League. Simultanément, et à l’approche de la fin du deuxième des trois tours de championnat – prochain match demain déjà (19 h 30) dans le chaudron contre le leader Fribourg –, la marge avec les équipes placées sous la barre est devenue plus confortable. Au Reposieux, où les derniers renforts Boukhary Cissoko et surtout Dainius Chatkevicius, à nouveau trop tôt freiné par les fautes et fort maladroit, ont eu un apport limité, Brent Jackson a joué les sauveurs avec un missile décoché derrière l’arc qui a ramené le BCB à 85-85 (39’31’’), alors que tout semblait devoir capoter. À cette dernière salve, le topscorer a ajouté 5 autres paniers primés, 4 d’entre eux ayant permis aux siens de s’échapper dans le troisième quart (50-63, 25’12’’).

Payne brille autant que Brent Jackson

On voyait alors volontiers les hommes de Vladimir Ruzicic se dirigervers une fin de match tranquille, l’international suisse Clayton Le Sann ayant dû écourter très tôt son match (double fracture à l’avant-bras droit après 4’00’’). Monthey – dirigé par l’assistant Besserat Temelso, le coach Patrick Pembele ayant dû rester à la maison – devait en plus jongler avec les fautes de ses étrangers Hayes et Lakoju. Or, il a fallu composer avec un joueur tout aussi scintillant que Brent Jackson: le virevoltant Jacori Payne, auteur d’un festival de tirs à mi-distance et de 34 points. Le joker Fritschi a fait le reste pour plonger Boncourt dans l’embarras, mais ni lui ni Brent Jackson (en déséquilibre) n’ont pu forcer la décision avant la fin du temps réglementaire. Et dans une prolongation fermée où Brent Jackson s’est fait siffler deux fautes offensives puis a inscrit un panier sur une séquence où deux rebonds offensifs ont été nécessaires (89-90, 44’34’’), Derek Jackson a ajouté deux lancers francs (89-92, 44’51’’), avant que Marlon Kessler, lui aussi en déséquilibre, manque le dernier tir. «Notre équipe doit passer par des hauts et des bas», plaide Vladimir Ruzicic, «mais on aurait dû un peu mieux contrôler le match.» Derek Jackson est lui aussi soulagé. «Payne était dans une très bonne soirée et leur public a pu s’impliquer. Je suis heureux qu’on ait pu se donner une autre chance de gagner avec la prolongation. Même si elle ne compte que trois victoires, Monthey reste une bonne équipe, spécialement à la maison, donc on savait que ce ne serait pas un match facile», précise bien le meneur, qui croit en la nouvelle mouture du BCB. «Les changements étaient comme un appel à se réveiller. On peut être meilleur avec cette configuration-là. Je parle encore aux joueurs qui ont dû partir, mais je sais que c’est un business et je leur souhaite le meilleur», ajoute-t-il, compatissant.

Le Quotidien Jurassien - Frédéric Dubois

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Mit nur einer ausländischen Verstärkung hatte Starwings Basket beim Auswärtsspiel beim Tabellenführer Fribourg Olympic nichts zu bestellen. Eine logische Niederlage für die Männer von Dragan Andrejevic unter diesen Bedingungen. Der Sieg der Lugano Tigers in der Halle Pommier gegen die Lions de Genève hat ihnen nicht gut getan, da die Tessiner in der Tabelle nur noch einen Sieg entfernt sind. Ein sehr wichtiges Spiel am Dienstag zu Hause gegen den BBC Monthey-Chablais, der den letzten Platz belegt. Die Freiburger, die immer noch auf dem ersten Platz liegen, behalten ihren Vorsprung auf Spinelli Massagno, das zu Hause gegen den BBC Nyon klar gewann. Fribourg Olympic dominierte klar den Reboundsektor mit 51 gegenüber 24 und vor allem die beeindruckende Zahl von 28 in der Offensivphase. 28 verlorene Bälle auch auf Seiten der Basler gegenüber 14. Die Mannschaft von Petar Aleksic entschied das Spiel schnell für sich und führte nach 9 Minuten bereits mit 28 zu 10. Die Basler kamen bis zur 12. Minute auf 11 Punkte heran, 30 zu 19, aber die Bewohner von Saint-Léonard konnten sich schnell wieder absetzen und beendeten die erste Halbzeit mit 50 zu 26. Dank ihrer Dreierquote verkürzten die Sporthallenbewohner den Rückstand in der 24. Minute auf 17 Punkte, 57 zu 40, aber die Freiburger reagierten sofort mit einem 15 zu 0-Lauf, um sich in der 27. Minute wieder auf 72 zu 40 abzusetzen. Am Ende verlor Starwings Basket mit 100 zu 55, wobei Branislav Kostic mit 12 Pkt, 2 Rbds, 6 Assists, 4 Steals und Ilija Vranic mit 14 Pkt, 5 Rbds, 3 Assists überzeugten. Für Fribourg Olympic waren es 17 Pkt, 11 Rbds, 3 Assists von Arnaud Cotture, 13 Pkt, 4 Assists, 7 Steals von Davonta Jordan, 10 Pkt, 9 Rbds, 2 Assists von Milos Jankovic und 14 Pkt, 5 Assists von Robert Zinn

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Dopo la disillusione nella finale di SBL Cup contro il Friburgo Olympic e la sconfitta in campionato, la terza della stagione, mercoledì all'Union Neuchâtel Basket, Spinelli Massagno ha avuto una grande reazione alla palestra Nosedo battendo la BBC Nyon. Una vittoria gradita che permette agli uomini di Robbi Gubitosa di rimanere sulla scia del Friburgo Olympic e di mantenere la distanza dall'Union Neuchâtel Basket, che sta accumulando vittorie. Dovranno confermare questo martedì con la ricezione di Swiss Central Basketball. Sempre grandi preoccupazioni per i vodesi sulla strada. Non il modo migliore per preparare questo 1/2 finale di Patrick Baumann Swiss Cup in programma il prossimo fine settimana contro BBC Monthey-Chablais. Nel frattempo ci sarà la ricezione di un'altra squadra nel duro al momento i Lions de Genève. Due aree hanno fatto precipitare la grande sconfitta degli uomini di Stefan Ivanovic, le palle perse, 27 contro 11, dando 53 punti agli avversari, contro solo 11 a loro favore. Il grande abilita a 3pts del ticinesi a 18 su 32 alla fine. I visitatori hanno resistito fino al 3° minuto, 7 a 6 prima di concedere un punteggio di 21 a 0 fino alla fine del 1° quarto. 28-6 dopo 10 minuti di gioco. Una timida reazione all'inizio del 2° quarto prima che gli uomini di Robbi Gubitosa mettano definitivamente il punteggio da 33 a 12 a 45 a 12 al 14°. 57 a 24 alla pausa. I ticinesi non ha vacillato nel secondo tempo, vincendo alla fine con un punteggio di 114-59. Per Spinelli Massagno, ricorderemo principalmente i 20 pts, 5 rbds, 5 ass, 2 int di Vernon Taylor, i 14 pts, 9 rbds, 4 ass di Uros Nikolic, i 28 pts, 3 rbds, 2 ass di Dusan Mladjan e i 18 pts, 6 rbds, 2 ass di Roberto Kovac. Da notare che Marko Mladjan non ha giocato. Possiamo sottolineare i 12 punti segnati da Maleye N'Doye e Romario Roque Martinez per il BBC Nyon

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Die zwei Gesichter von Swiss Central

Nach einem fulminanten 32:19-Startviertel bricht Swiss Central gegen Union Neuchâtel ein.

Für Aussenstehende kann es bisweilen schwer sein, die Dynamiken eines Basketballsspiels nachzuvollziehen. So dürften sich auch am Samstag in der Staffeln-Halle in Reussbühl viele der Zuschauer über den Spielverlauf zwischen Swiss Central und Union Neuchâtel gewundert haben. Das Heimteam startete stark, ja geradezu euphorisch in die Partie. Erst 90 Sekunden waren gespielt, als sich der Neuenburger Trainer Mitar Trivunovic beim Stand von 9:2 genötigt sah, ein Time-Out zu nehmen. Die Ansprache brachte nicht viel: Angeführt vom spektakulär aufspielenden US-Spielmacher Antwoine Anderson dominierte Swiss Central den Gegner auch in den folgenden Minuten und beendete das erste Viertel mit einer 32:19-Führung. Doch statt das Momentum zu nutzen und den komfortablen Vorsprung weiter auszubauen, nahm das Spiel im zweiten Viertel einen völlig anderen Verlauf: Im zweiten Viertel erzielte das Heimteam nicht mehr 30, sondern nur gerade noch 11 Punkte. Der Tabellendritte auf der anderen Seite kämpfte sich Punkt um Punkt heran und ging kurz vor der Halbzeit erstmals in Führung.

Harmlose Angriffsleistung

Während Swiss Central in vergangenen Spielen besser aus der Garderobe kam, war dies dieses Mal nicht der Fall: Wie schon im Viertel zuvor blieb das Heimteam auch in diesem Abschnitt besonders in der Offensive komplett harmlos (10:19). Auch wenn der Rückstand nach 30 von 40 Minuten nur elf Punkte betraf, gab es kaum mehr Zweifel, dass die Gäste die Halle als Sieger verlassen würden. Dass Swiss Central gegen Neuchâtel verliert, ist weder eine grosse Überraschung noch eine Schande. Irritierend ist jedoch die Tatsache, wie es zur neunten Saisonniederlage kam. Während SCB im ersten Viertel wie ein Spitzenteam spielte, zählten die restlichen Abschnitte zum schwächsten, was SCB in dieser Saison zeigte. «Die fehlende Konstanz ist leider ein Dauerthema für uns», bilanzierte SCB-Coach Orlando Bär. «Sehr schade, dass wir den Gegner nach unserem wirklich hervorragenden Start so leicht zurückkommen lassen. Doch wenn Neuchâtel mit seinem Talent sowie der vorhandenen Routine einmal ins Rollen kommt, wird’s für uns ganz schwer.» Viel Zeit zu hadern bleibt Bär und seinen Spielern nach der jüngsten Niederlage nicht: Bereits am Dienstagabend reist Swiss Central ins Tessin, gegen Massagno anzutreten. Eine Aufgabe, die schwieriger kaum sein könnte: Am Samstag fegte der Tabellenzweite den BBC Nyon gleich mit 114:59 aus der Halle.

Swiss Central Basketball - Daniel Schriber

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