Une 24ème journée qui a principalement bénéficié à Swiss Central Basketball net vainqueur des Lugano Tigers et au BBC Nyon qui s'est imposé pour la première fois à la salle du Pommier face aux Lions de Genève. Les lucernois confortent ainsi leur 4ème place au classement alors que les vaudois en font de même de leur 6ème place avec encore quelques espoirs de ravir la 5ème aux genevois. Belle résistance durant près de 25 minutes de BBC Monthey-Chablais face au leader Fribourg Olympic qui a fini par faire la différence par la suite. Spinelli Massagno n'a également pas eu la vie facile à domicile face un BC Boncourt qui a offert une très belle résistance. Malgré de nombreuses absences, Union Neuchâtel Basket est parvenu à revenir victorieux de son déplacement en terre bâloise face à un Starwings Basket qui n'a pas su saisir cette opportunité. Statu quo dans la course aux play-offs en bas de tableau puisque les trois derniers ont perdu
Photo : Maria Antich
Exploit du BBC Nyon au Pommier
Les Nyonnais ne s’étaient encore jamais imposés au Grand-Saconnex face aux Lions de Genève. C’est désormais fait grâce à une victoire 65-63.
Première ce mardi soir à la salle du Pommier du Grand-Saconnex. Il y a eu “match” entre les Lions de Genève et le BBC Nyon. Ce n’était encore jamais arrivé lors du derby du Lac ces trois dernières années, depuis le retour des Vaudois en première division. Les Genevois ont cette fois-ci souffert de mille maux face à un visiteur sans complexe, venu au Grand-Saconnex pour créer l’exploit.
Réussite à trois points
A une dizaine de jours de disputer à Fribourg la finale de la Coupe de Suisse à Fribourg contre Olympic, les Vaudois du Rocher ont, comme à la belle époque où ils tenaient tête au meilleurs formations du pays, joué crânement leur chance face à un adversaire certes plus fort physiquement mais qui n’a pas tout de suite compris ce qui se passait dans sa raquette. Que d’imperfections, de mauvaises passes et de balles perdues. Avec ses 217 cm, le géant Serbe Dragan Tubak, qui vient de débarquer dans l’équipe du Rocher, a longtemps contrarié les grands gabarits de Andrej Stimac. Après une première mi-temps de petite cuvée jouée sur un rythme de sénateur et dominée par les Nyonnais très en réussite à trois points, le visiteur a compté jusqu’à huit longueurs d’avance (31-39, 22e). Il a fallu que Scott Suggs et Eric Adams élèvent leur niveau après les deux premiers quarts pour que la rencontre rugisse du côté des Lions. Mais Nyon n’a rien lâché, jusqu’au bout. Et s’est imposé avec son coeur, au terme d’un final à couper le souffle.
Tribune de Genève - Christian Maillard
Grande première pour le BBC Nyon face aux Lions de Genève
Mardi soir au Grand-Saconnex, les joueurs de Stefan Ivanovic se sont offert le scalp des Genevois (63-65). À trois matches de la fin de saison, ils peuvent encore rêver leur chiper la cinquième place.
Depuis leur retour en LNA, en 2019, les joueurs du BBC Nyon ne s’étaient encore jamais imposés au Pommier contre les Lions de Genève. Mais il faut une première à tout. Et si les Lions avaient évité la défaite de peu en novembre dernier (victoire 76-73), ils ont dû s’avouer vaincus, mardi soir. Dans cette rencontre extrêmement serrée – aucune des deux équipes n’a pris plus de sept points d’avance – tout s’est logiquement joué dans les ultimes secondes. Et cette fois-ci, ce sont les Nyonnais qui ont eu les nerfs les plus solides.
Fin de match à suspens
«Sur le dernier match là-bas, ce sont eux qui avaient eu de la chance sur la fin… Cette fois-ci, c’est tourné pour nous, sourit Joël Wolfisberg. Il faut dire qu’on avait tout pour réussir et on a confirmé qu’on était en bonne forme actuellement.» Grâce notamment à deux bombes à trois points de N’doye et Umipig dans les 90 dernières secondes, les visiteurs ont repris l’avantage (63-65). À trois secondes du terme, Brandon Kuba a, lui, manqué deux lancers francs qui auraient pu permettre à Genève d’arracher une prolongation. «C’était une bonne faute de William, salue Joël Wolfisberg. Sur la fin, ça aurait pu partir des deux côtés. Nos étrangers ont fait le «taf» avec des gros shoots et on a eu de la réussite. Mais c’est comme ça, il faut un peu de réussite pour gagner.»
Enchaîner contre Lugano
Comme face à Boncourt samedi soir, les Nyonnais n’ont même pas eu besoin d’un gros match de leur renfort Dragan Tubak, limité à 2 points et 5 rebonds. «Il nous amène de la taille et ça nous fait du bien, glisse Joël Wolfisberg. Mais pour l’instant, il n’est pas encore totalement dedans. C’est à nous de l’intégrer.» Les Nyonnais et leur pivot serbe auront une nouvelle occasion de peaufiner leurs automatismes, samedi face à Lugano, où une victoire est attendue contre la lanterne rouge. «Ça ne sert à rien de gagner à Genève si on perd contre Lugano, lâche l’ailier nyonnais. Après, ça reste une grosse équipe avec quatre bons étrangers.» Les hommes d’Ivanovic s’étaient d’ailleurs fait surprendre en décembre au Rocher. Mais depuis, les choses ont changé. «On a eu un passage à vide, pas mal de blessés, mais maintenant on récupère tout le monde et on a des nouveaux étrangers, développe Joël Wolfisberg. Le but est d’être prêts physiquement et tactiquement pour les play-off.»
La Côte - Romain Bory
Le BC Boncourt s'est incliné avec les honneurs à Massagno
Bien jouer n’est pas toujours gagner. Le BC Boncourt en a fait l’expérience hier en titillant Massagno, sans pouvoir le renverser. Le 2e du championnat s’est imposé 94-85 après avoir vu les Ajoulots réduire l’écart à trois unités seulement à 50’’ de la fin (88-85). Un festival de paniers primés a ouvert les feux à la salle Nosedo. Il a été l’oeuvre du BC Boncourt, Brent Jackson et Julien Wälti en dégainant chacun deux pour lancer idéalement leurs couleurs (3-12, 1’52’’). Piqué au vif, Massagno s’est mis au turbin et a puni tous les manques d’une défense ajoulote comme souvent trop permissive. Dès lors, les Tessinois, ayant remis de l’ordre (21-14, puis 30-22), pensaient peut-être passer une soirée tranquille. Sauf qu’ils prenaient moins soin du ballon et s’endormaient un peu sur leurs lauriers. Volontaires et dynamiques, annihilant de plus en plus les tentatives locales, les Boncourtois s’appuyaient sur un Nemanja Calasan prolifique. Ils égalisaient (33-33), avaient le bonheur de pouvoir compter sur le retour – en douceur – de Juraj Kozic et prenaient même trois longueurs d’avance sur une contre-attaque de Brent Jackson (44-47, 19’00’’).
Nemanja Calasan doit quitter le terrain
La suite a été plus compliquée, le capitaine Calasan ayant été stoppé net par deux fautes antisportives le forçant à quitter le terrain. Le score était alors de 61-57 et Massagno allait ensuite s’offrir jusqu’à 16 unités d’avance (81-65, 83-67). Boncourt a alors eu le mérite de conserver une bonne attitude, si bien que les hommes de Vladimir Ruzicic ont grignoté leur retard jusqu’à revenir sur les talons des Tessinois. Un panier bonus de Marko Mladjan a permis à ces derniers d’éviter le pire. «On était dans le match tout de suite et malgré la défaite, on a fait du bon boulot, on n’est pas déçu de notre performance», positive Julien Wälti. «Cela nous met dans un bon rythme pour le prochain match. La sortie de Nemanja ne nous a vraiment pas aidés, mais on a su la gérer. C’est aussi notre entame du troisième quart qui nous a posé des problèmes.» Boncourt, qui semble plus que jamais condamné à terminer 7e, recevra les Starwings samedi (17 h 30).
Le Quotidien Jurassien - Frédéric Dubois
Swiss Central feiert Rekordsieg
Es ist die Saison der Superlative für Swiss Central Basketball: Nie zuvor haben die Zentralschweizer mehr Spiele gewonnen als dieses Jahr (13). Gestern Abend feierte die Überraschungsmannschaft der Saison einen weiteren Rekord. Der spektakuläre 114:68-Heimsieg gegen Lugano ist der höchste Sieg in der Vereinsgeschichte. Swiss Central (Rang 4) liess dem Tabellenletzten, der immerhin mit drei US-Profis agierte, nicht den Hauch einer Chance. Schon nach den ersten zehn Minuten führte das Heimteam mit 26:11, zur Halbzeit war die Partie entschieden. Eindrücklich: SCB-Coach Orlando Bärl liess über weite Strecken der Partie Talente aus der eigenen U21 spielen. Und die Eigengewächse erledigten ihren Job ausgezeichnet: Luc Schärer warf 8 Punkte, Mirza Ganic 12 und der Kelechi Obim avancierte mit 18 Punkten gar zum Topscorer seiner Mannschaft. «Es macht richtig Spass im Moment», sagte Obim nach dem Spiel. «Was uns stark macht, ist die Tatsache, dass jeder einzelne Spieler etwas kreieren kann.» Das belegt auch ein Blick in die Statistik: Alle zehn SCB-Spieler punkteten – sechs davon sogar zweistellig. «Dieser Sieg war sicher sehr gut für unser Selbstvertrauen», sagte auch Luc Schärer. In der Tat: Am Samstag trifft SCB im letzten Heimspiel der Qualifikation auf den BBC Monthey-Chablais. Am Selbstvertrauen wird es der Mannschaft mit Sicherheit nicht mangeln.
Swiss Central Basketball - Daniel Schriber
Un éternel et douloureux recommencement pour le BBC Monthey-Chablais
Face au triple champion de Suisse en titre, les jaune et vert tiennent la comparaison durant 25 minutes avant de vivre un très long «black-out» et de s’incliner 75-97.
Vingt-cinq minutes, c’est le temps durant lequel Monthey a cru en un exploit. A la faveur d’un début de match époustouflant sur le plan offensif, les pensionnaires du Reposieux ont fait mieux que tenir la comparaison avec Olympic. Mais dès que les Fribourgeois ont mis sur le parquet l’intensité d’un cador de SB League, les Sangliers se sont effondrés. Cette extinction complète des feux n’est malheureusement pas une nouveauté cette saison. Elle engendre un score final de 75-97 alors que le «BBCM» menait encore 56-52 à la 25e.
Le record: Monthey fait vivre une première à Fribourg
En inscrivant un total de 28 points durant le premier quart, le BBC Monthey-Chablais a fait vivre une grande première aux Fribourgeois cette saison. Jamais encore Olympic n’avait encaissé autant de points en un quart temps lors de ses 23 matchs de SB League qui ont précédé cette rencontre face aux Sangliers. «Durant les vingt-cinq premières minutes, nous avons joué notre meilleur basket sur le plan offensif, on termine d’ailleurs avec 17 assists alors qu’on n’a pas joué durant toute la fin de match», commente Patrick Pembele, coach des locaux. A noter que seul Massagno s’est approché de ce total cette saison en inscrivant 26 et 27 points face aux Fribourgeois le 5 décembre dernier.
Le spectacle: merci Messieurs Payne et Zinn
Ils auraient pu être seuls sur le parquet que ce premier quart n’aurait pas été bien différent. On exagère un peu, évidemment. Mais Jacori Payne et Robert Zinn se sont livré un mano a mano éblouissant durant les dix minutes initiales. Le meneur américain a finalement pris l’avantage dans ce duel, en déballant l’entier de sa panoplie technique face à un triple champion de Suisse aux abois. Avec 14 points sur ce premier quart, le génial top-scorer des Sangliers a fait légèrement mieux que l’artilleur Zinn et ses 11 points. En revanche, si l’on analyse le match dans sa globalité, l’international suisse a finalement pris le dessus. Lui qui était à la fois mieux entouré et qui a eu la possibilité de se reposer cinq minutes de plus que Payne.
Le constat: Fribourg n’était pas prêt au combat
Une certaine légèreté flottait dans l’air au moment où Fribourg Olympic s’échauffait avant la rencontre. Il est vrai qu’avec un bilan de 14 victoires de rang en SB League et une moyenne de 94 points inscrits pour 56 encaissés sur les 5 derniers matchs, les visiteurs avaient des raisons de se montrer confiants. Mais peut-être l’ont-ils été un peu trop? Certains signes tangibles l’ont en tout cas démontré, comme cette manie du leader de réclamer à chaque contact sous le panier, avec un Miljanic plutôt à l’aise dans cet exercice. Ou encore ce pourcentage famélique aux lancers francs, 15 sur 28 (52%). Point culminant, cette soufflante de Petar Aleksic à la 26e minute de jeu, non pas pour recadrer les siens mais pour les inviter – avec insistance – à se lever et à applaudir les trois points que venaient d’inscrire Davonta Jordan.
Le constat: la multiplication des erreurs, un éternel recommencement
Les 7 rangs et 18 victoires qui séparaient Monthey d’Olympic à l’entame de ce match n’ont jamais été flagrants durant vingt-cinq minutes. Problème, cette rencontre – et c’est le cas de tous les matchs de basket sur sol helvétique – a duré quinze minutes supplémentaires. «On pourrait sans doute dire la même chose à chaque interview d’après-match, une rencontre se joue sur 40 minutes, pas 25, pas 30, pas 39», s’énerve Brunell Tutonda. «On commence par quelques oublis, puis ça se transforme en passage à vide et derrière on ne parvient pas à réagir. Ce match aurait pu être serré jusqu’au bout.» Encore au contact de Cotture et consorts, peut-être même pas si loin de les faire douter, les jaune et vert se sont ensuite effondrés, encaissant un partiel 4-21 en l’espace de cinq minutes. A ce moment-là du match, l’écart qui sépare les visiteurs des Montheysans est redevenu incontestable.
Le Nouvelliste - Adrien Delèze
A l’usure, ils gagnent toujours
Bousculés par Monthey, les Fribourgeois ont dû s’employer pour remporter leur 21e victoire de rang
Jamais encore Fribourg Olympic ne s’était montré aussi laxiste qu’hier à Monthey. En encaissant 28 points lors du premier quart, plus que durant toute la première mi-temps de samedi à Lugano (26) et plus que n’importe quand dans cette saison, les Fribourgeois se sont compliqué la tâche. Il faut dire qu’en face, les Valaisans, très décevants depuis le début du championnat, ont joué crânement leur chance. «Monthey a mis beaucoup d’intensité dans son jeu, mais nous n’avons pas paniqué», apprécie l’entraîneur Petar Aleksic, qui a vociféré (un peu) et transpiré (beaucoup) avant de savourer une 21e victoire de rang (75-97). Un score-fleuve qui traduit mal un match longtemps serré. Pour avoir oublié que «les déplacements à Monthey ne sont jamais faciles», comme l’a rappelé Arnaud Cotture… après le match, les visiteurs ont dû courir derrière le score. Permissifs en défense où ils ont eu toutes les peines du monde à museler Jacori Payne (17 points en 1re mi-temps), brouillons et impatients en attaque, les Fribourgeois ont dû attendre le dernier quart d’heure pour forcer la décision. De 58-52 à la 26e, le score est passé à 62-73 à la 30e. Un partiel de 4-21 qui trouve son origine dans un passage en défense de zone (3-2). «Cela a changé le rythme du match», applaudit Petar Aleksic.
La marque de fabrique
Alors que Robert Zinn s’était retrouvé bien seul dans le 1er quart durant lequel il a inscrit 11 des 14 premiers points de son équipe, c’est tout le groupe qui est monté en puissance en fin de rencontre. Davonta Jordan (17 points et 4 interceptions), Natan Jurkovitz (19 points et 5 interceptions) et Boris Mbala (12 points et une folle intensité) ont donné le ton. Fatigués par leur début de match tonitruant, les Montheysans ont lâché prise, et vite baissé les bras. «Cette saison, notre force est de jouer dur et de conserver une haute intensité jusqu’au bout. Nous trouvons toujours une solution. C’est pour cette raison que j’ai toujours pensé que nous allions gagner», réagit Robert Zinn, meilleur marqueur avec ses 25 points. La force du collectif, plus que jamais la marque de fabrique d’Olympic, a encore une fois parlé. A l’usure, les Fribourgeois gagnent toujours. «Nous n’étions pas dedans défensivement, mais nous avons montré du caractère et de la résilience. Cela nous a permis de nous rendre la fin du match facile», salue Cotture, qui regrette la mise en train poussive de son équipe. «Nous aurions dû jouer plus tôt comme à la fin», ajoute-t-il. Autre point négatif: les lancers francs. Avec un indigeste 15/28 dans cet exercice, Olympic a galvaudé de précieux points en chemin. Regrettable mais pas rédhibitoire cette fois-ci.
Massagno et la Coupe
Après deux rencontres face à des équipes de bas de classement, les Fribourgeois entrent dans la dernière ligne droite, celle qui doit les amener jusqu’à la finale de la Coupe de Suisse, le 9 avril contre Nyon. Avant cela, Olympic va devoir en découdre avec son dauphin Massagno, dimanche à 16 h à Saint-Léonard. «Affronter les Tessinois est la meilleure des préparations. Et de loin!», se réjouit Cotture.
La Liberté - François Rossier
Après deux défaites de rang et ce malgré de nombreuses absences sur blessure de joueurs clef, Union Neuchâtel Basket est parvenu à revenir victorieux de son déplacement en terre bâloise en ce mercredi face à Starwings Basket. Un succès bienvenu pour les hommes de Mitar Trivunovic qui peuvent conforter leur 3ème place au classement. Il ne manque plus qu'une seule victoire pour la valider définitivement. Pas une très bonne opération pour les bâlois qui perdent une nouvelle fois à la maison. Statu quo toutefois en bas de tableau puisque BBC Monthey-Chablais et Lugano Tigers ont également perdu. Un match où les unionistes se sont montrés meilleurs dans quasiment tous les secteurs du jeu, la réussite aux shoots à 29 sur 61 contre 20 sur 51, aux rebonds, 36 contre 29 et au niveau des ballons perdus, 10 contre 17. Après un premier quart-temps assez équilibré quoique légèrement à l'avantage des pensionnaires de la Riveraine, ils sont parvenus dans le 2ème quart-temps à creuser un premier écart le score passant de 20 à 20 à 26 à 35 à la pause. Starwings Basket n'a toutefois pas rendu les armes revenant à 1 point à la 26ème, 38 à 39, sur un panier à 3pts de Devin Cooper. Sous l'impulsion du duo Daniel Giddens, Selim Fofana, les neuchâtelois sont parvenus à reprendre leurs distances par le biais d'un partiel de 0 à 8. Devin Copper et Ilija Vranic ont redonné un peu d'espoir à leurs couleurs avant le money-time, 42 à 47. Espoir de courte durée, car d'entrée de jeu dans le 4ème quart-temps, les hommes de Mitar Trivunovic ont fait la différence définitivement prenant 13 longueurs d'avance 42 à 55 à la 33ème. Une avance qu'ils ont su gérer sans souci jusqu'au terme de la partie remportée sur la marque de 53 à 67. Grosse performance du côté de Union Neuchâtel Basket de Selim Fofana, 28 pts, 3 rbds, 3ass, 2 int. A noter également les 12 pts, 5 rbds de Daniel Giddens et les 10 pts, 7 rbds, 4 ass de Chad Timberlake. A mettre en évidence pour Starwings Basket les 12 pts, 13 rbds, 2 ass , 3 contres de Thomas Rutherford, les 21 pts, 4 rbds, 5 ass de Devin Cooper et les 12 pts, 3 rbds, 5 ass de Branislav Kostic