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Leagues SB League 22.11.2022

SB League - Preliminary phase : Game recap day 7

Ein siebter Spieltag, der durch den Erfolg von Fribourg Olympic im Spitzenduell mit den Genfer Lions pwd by Grand-Saconnex geprägt wurde. Spinelli Massagno blieb an der Tabellenspitze dank eines 1-Punkt-Sieges beim BBC Monthey-Chablais durch einen unwahrscheinlichen Dreier von Dusan Mladjan, während die Tessiner in der ersten Halbzeit bis zu 19 Punkte Vorsprung hatten. Zwei sehr wichtige Erfolge im Rennen um die Top 8 waren der Erfolg der Lugano Tigers gegen den BBC Nyon und der Erfolg von Starwings Basket im Deutschschweizer Derby gegen Swiss Central Basketball. Union Neuchâtel Basket bestätigte seinen Aufschwung mit einem Sieg im Chaudron gegen den BC Boncourt

Il Lugano torna a vincere

Superato il Nyon all’Elvetico con un gioco «sorridente»

Successo ritrovato per il Lugano dopo la battuta d’arresto di Vevey. Una vittoria della categoria «corroboranti» quella presa ieri all’Istituto Elvetico (85-79), perché arrivata contro Nyon, un’avversaria «diretta» della seconda metà della classifica, e perché conquistata con una prestazione che non può che far sorridere Valter Montini. Tra difesa, buona fluidità offensiva e segnali importanti, il coach ex Riva si è goduto per una sera una squadra capace di girare sostanzialmente al meglio, il tutto con Ross ai box. Poco male per i bianconeri, a supplirne l’assenza ci hanno infatti pensato i compagni, dai «soliti» Zinn (20 punti e 10 assist) e Lawrence (18, tutti arrivati nel secondo tempo), passando per Hamilton (16 punti e 10 rimbalzi) a Warden, encomiabile soprattutto nel primo tempo (18 punti tutti nei 20’ iniziali, anche 11 rimbalzi a fine incontro). Finendo con i giovani; dalla tripla immediata di Dell’Acqua appena entrato, ai 5 punti consecutivi di Matasic sul finire del primo tempo, buoni a tenere lontani i vodesi, alla tripla e successivo fallo di sfondamento presi da Bernardinello nel quarto conclusivo, arrivati in un momento delicato con gli ospiti tornati vicini. Segnali incoraggianti in una serata in cui anche la difesa ha fatto la sua parte; al di là dei 79 punti concessi, è stato nella propria metà campo che i ticinesi si sono guadagnati i due punti. Ne è esempio il terzo quarto; dopo aver concesso 11 punti in poco più di tre minuti, i Tigers ne hanno poi lasciati solamente 8. Un giro di vite che ha permesso ai padroni di casa di toccare anche la doppia cifra di vantaggio e costruire quel solco che poi hanno gestito, al di là di qualche «brivido» conclusivo.

La cronaca

Mani piuttosto fredde nei primi minuti su entrambi i fronti. Jaunin con un paio di penetrazioni smuove e fa smuovere la retina ai compagni, Dell’Acqua suona la sveglia con una tripla e a dargli man forte arrivano Zinn e Warden, che in coppia tengono vivo il Lugano malgrado i 9 punti di Dougherty (17-19 dopo 10’). A prendersi la scena ad inizio secondo quarto è ancora Warden, con 11 punti consecutivi che danno al Lugano il +4 (28-24). Nyon però reagisce, mantiene il contatto con Brooks e ancora Dougherty, fino al piccolo show di Matasic che prima infila una tripla e poi ruba immediatamente palla sulla rimessa per due «veloci» che danno il +7 ai Tigers al giro di boa (41-34). Dopo il quale però Nyon trova un 11-4 che lo riporta in parità in pochi minuti (45-45 al 23’). A quel punto il Lugano stringe i bulloni difensivi e risponde con un 17-8 con Lawrence e Hamilton mattatori, trovando anche il +11 (62-51 al 28’). Gli ospiti tengono botta, rimangono in linea di galleggiamento ma ogni volta che si avvicinano ritornano al mittente, vuoi con le giocate di Bernardinello, vuoi con quelle di Lawrence o Zinn, con i due punti che finiscono per prendere la via del Lugano.

Corriere del Ticino - Mattia Meier

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Highlight

Premier et coûteux revers à domicile pour le BC Boncourt

Sans toutes ses forces, le BC Boncourt devient un peu trop vulnérable. Même dans son chaudron. On a pu le constater samedi dans le derby de l’Arc jurassien, que les hommes d’Etienne Faye ont perdu 73-82 contre Union Neuchâtel, après avoir bien mal engagé la bataille dans le premier quart-temps. L’équipe jurassienne, sous l’impulsion de Marvin Nesbitt, a pu offrir un magnifique sursaut dans le quatrième quart-temps (55-74 après 33’25’’, 70-76 après 38’00’’), mais, trop longtemps privée de Josh Brown, elle n’a pu empêcher les Unionistes de lui infliger sa première défaite de la saison devant son public et sa deuxième d’affilée dans le championnat de Swiss Basketball League.

Josh Brown: poignet touché

Comme si la cheville ne suffisait pas! Josh Brown a cette fois été stoppé net par une blessure au poignet qui le laissera peut-être sur la touche un bon moment. Avant même la 15e minute du duel contre les Neuchâtelois, Boncourt a donc une nouvelle fois dû composer sans son meneur américain. Et cela a forcément pesé. «Est-ce une bonne partie de l’explication de notre défaite? Oui et non», tranche Florian Steinmann, qui n’a lui pas pu se défaire de l’étau défensif adverse. «Non, parce qu’on ne peut en vouloir qu’à nous-mêmes au début du match. On n’a pas mis l’intensité qu’il fallait. Et oui, parce que Josh est notre meneur titulaire et que c’est difficile sans lui.» Malgré le concours de l’intérieur Pedro Bengui qui a pu donner un coup de main – parfois poussif – durant bien plus de minutes que prévu (presque 24), le BCB n’a longtemps pas pu soutenir la comparaison, ne pouvant s’appuyer que sur la force de percussion de Martins Igbanu en attaque. À l’inverse d’un visiteur très homogène et en verve dans ce domine (6 paniers primés en 10 tentatives), les Ajoulots ont été privés de réussite dans les tirs extérieurs avec un embarrassant 1 sur 11 avant la pause. Leur lancinant problème aux lancers francs n’étant de surcroît toujours pas réglé (9 sur 16 après deux quart-temps, 20 sur 35 au final), la sanction a été impitoyable: jusqu’à 22 points de retard (47-69, 28’02’’). Le dernier rush, initié par un Marvin Nesbitt soudain euphorique à longue distance, avait de quoi inquiéter les Neuchâtelois, mais la formation de Mitar Trivunovic a réussi à garder la tête sur les épaules. «Je n’en veux pas du tout à mon équipe», précise Etienne Faye, qui met en exergue la solidité de l’adversaire. «On a été digne d’une équipe qui veut revenir, j’ai félicité mes joueurs pour leur deuxième mi-temps, ils n’ont pas lâché. On a limité Neuchâtel à 32 points, on a été plus présent.» Il ne s’en cache pas, «il nous aurait fallu un Josh Brown qui nous amène ses points, sa lecture du jeu et ses passes», ainsi qu’un contradicteur plus friable. «Ils ont des joueurs à des postes clés, qui ne paniquent pas.» «On a subi leur agressivité. On a montré de l’envie et du caractère en deuxième mi-temps, mais c’était trop tard. C’est une piqûre de rappel», ajoute Florian Steinmann. Le BC Boncourt se déplacera mercredi déjà à Nyon. «Pourquoi n’arriverait-on pas à réagir?», questionne l’ailier, pour qui la réponse est toute trouvée au vu de la fin de match livrée samedi, en dépit de circonstances défavorables.

Le Quotidien Jurassien - Frédéric Dubois

Union Neuchâtel s’adjuge le derby contre Boncourt et confirme son regain de forme

En déplacement dans le Jura, les Neuchâtelois ont signé un deuxième succès de rang. De quoi se remettre d’aplomb après un début de saison très compliqué.

Union Neuchâtel reste le roi du derby de l’Arc jurassien. Samedi dans le Chaudron, les Neuchâtelois ont dominé Boncourt pour la neuvième fois de suite en championnat de SB League. Malgré un bilan favorable lors des dernières confrontations, Union ne partait de loin pas avec l’étiquette du favori. Auteurs d’un début de saison convaincant, les Ajoulots restaient invaincus dans leur antre cette saison avant d’accueillir Dalan Ancrum et ses coéquipiers. «Je suis heureux de ce que nous avons montré. Tous les succès demeurent importants pour notre équipe», lance sobrement l’entraîneur Mitar Trivuovic.

Les doutes balayés

Victorieux du leader Massagno avant la trêve internationale, les Neuchâtelois ont confirmé leur regain de forme. Après un début d’exercice inquiétant – quatre défaites en autant de rencontres – les Unionistes se relancent complètement. «Cet enchaînement de victoires nous fait du bien pour la confiance», s’enthousiasme le capitaine Killian Martin. «Nous abordons un calendrier avec des adversaires à notre portée. Maintenant il va falloir continuer sur cette lancée.» Bien en jambes en début de partie, les protégés de Mitar Trivunovic ont toujours fait la course en tête. A la pause, les Neuchâtelois ont pu rejoindre les vestiaires avec une avance confortable (34-50). «Nous leur avons empêché d’inscrire des paniers faciles. Habituellement, ils tournent à une moyenne de 95 points à domicile», apprécie Mitar Trivunovic. Si les basketteurs du Littoral ont livré la marchandise et ont impressionné sur le plan défensif, la partie n’a pas manqué de suspense pour autant.

Fin de partie compliquée

Malgré un avantage de 18 points au moment d’aborder le dernier quart-temps, Union Neuchâtel a notamment joué à se faire peur. Alors que les Neuchâtelois semblaient se diriger tranquillement vers la victoire, leur avance s’est soudainement mise à fondre comme neige au soleil. Poussés par leur public, les Ajoulots sont revenus à six unités et sont passés proches de l’exploit. «Nous étions fatigués et nous avons certainement perdu en concentration. Nous devons apprendre à contrôler un match. Nous sommes jeunes et malheureusement l’expérience ne s’achète pas», glisse Mitar Trivunovic.

Arcinfo - Florian Charlet

TV Reports

Canal Alpha - Le Canal Sportif du lundi 21 novembre : Match BC Boncourt - Union Neuchâtel Basket (dès 1 min et 30 sec) 22.11.2022

Starwings gewinnen das Deutschweizer Derby

Das zahlreiche Publikum musste sich lange gedulden, bis die Partie beginnen konnte (siehe Anmerkung im Telegramm). Auch die ersten 20 Minuten waren zäh, doch zwischen der 24. und 32. Minute zelebrierten die Starwings aller­feinste Kost, welche das Publikum mit langem, warmen Applaus quittierte.

Es kommt nicht oft vor, dass sich die beiden Mannschaften gut 75 Minuten einlau­fen respektive einspielen müssen. Doch die defekte 24-Sekunden Anzeige führte dazu, dass das Derby nicht wie gewohnt um 17.30 Uhr, sondern erst um 18.15 Uhr angepfiffen werden konnte. Die Ersatz 24-Sekundenanzeige war ebenfalls defekt, also musste von einer anderen Halle ein weiterer Ersatz geholt werden. Das erste Viertel war zäh, teils sogar ein «Knorz». Beide Teams spielten eine sehr harte, die Gäste sogar (über-)aggressive Verteidigung, was sich im knappen Skore widerspiegelte. Die Luzerner ging dreimal mit einem oder zwei Punkte in Führung – es sollte der einzige Vorsprung von Central bleiben. Auch das Pausenskore drückte noch keine Überlegenheit der Starwings aus. Zu oft traf das Personal von Cheftrainer Antonios Doukas bei Ballbesitz die falsche Ent­scheidung und die Wurfquote (auch bei den Freiwürfen; hier sündigte vor allem Noah Dickerson) war bescheiden.

Basketball vom Allerfeinsten

Doch nach der Pause fanden die Birsfelder den «Flow». Aus einem 42:32 (nach 24. Minuten) wurde bis zur 32. Minute ein 66:41 – mit einem starken 10:0-Run. Es war die Phase, wo Spielmacher (der er vom Typ her gar nicht ist!) De`Shawn skorte und seine Dreier in den Korb brachte. Andrija Matic, welcher die ersten sieben Zähler der «Wings» im Alleingang erzielt hatte, schaffte die Traumquote von drei von vier Dreiern – und war für viele «The best Player of the Game». Central, dass bis gestern mit zwei Profi-Ausländern angetreten war (der dritte Profi ist aber bereits verpflichtet worden, konnte aber nicht rechtzeitig für das Derby qua­lifizierzt werden…), steuerte einer Kanterniederlage bei. Doch nach 32. Minute war beim Gastgeber für einige Zeit «der Ofen aus». Im Angriff ging gar nichts mehr – und innert vier Minuten stand es nur noch 66:54. Ein 0:13 löste bei Trainer, Spieler und Publikum Unbehagen, ja Nervosität aus. Es drohte eine hektische Endphase. Zu erwähnen, dass Central Luzern diese Aufholjagd praktisch mit einem Quintett aus lauter Eigengewächsen (plus Joël Fuchs, den langjährigen ex-Captain der Star­wings) geschafft hatte. Chapeau! Es war Matic, der mit einem Dreier die Blockade löste und die Partie entschied, so dass man nicht um den Sieg bangen musste. Aber jenen grandiosen Spielfluss vom dritten Viertel fanden die «Wings» nicht mehr.

Starwings Basket - Jordi Küng

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Quand Olympic fait du Olympic

Contre les Lions de Genève, les Fribourgeois ont fait la différence à la mi-match avant de se relâcher

Fribourg Olympic est toujours aussi inconstant. A trois jours d’un match décisif contre Porto en Coupe d’Europe FIBA, voilà qui n’est pas très rassurant. Pourtant, contre les Lions de Genève samedi, le champion de Suisse a montré – par moments – tout son potentiel. Défense de fer, contre-attaques fulgurantes, intelligence de jeu, tirs primés: Olympic peut être enthousiasmant. Jusqu’à prendre 18 points d’avance (75-57, 31e), vingt grosses minutes après en avoir compté 10 de retard (15-25, 8e). Mais le début, pourri par les fautes et une défense passive, et la fin – 24 points encaissés dans le dernier quart – ont laissé un goût amer dans la bouche de Petar Aleksic et des supporters fribourgeois. «Pour bien jouer au basket, il faut être intelligent. Nous nous sommes trop vite réjouis du résultat et n’avons pas joué en équipe», regrette le mentor fribourgeois. Cela a suffi pour prendre le meilleur sur Genève 86-81 lors de la 7e journée de SB League. Sera-ce assez pour battre Porto, mercredi, sur la scène européenne? Si Olympic ne veut pas tirer un trait sur son aventure continentale, il va devoir se concentrer sur trois points.

1 S’adapter à des situations défavorables

Fribourg Olympic a souffert à la mène contre les Lions de Genève. Plus que l’absence de Jonathan Kazadi, malade (lire ci-après), ce sont les fautes rapides de Davonta Jordan et Yuri Solca qui ont pénalisé, en début de match, les Fribourgeois, incapables de contenir le fougueux Bryan Colon (21 points en 1re mi-temps). «C’est compliqué de jouer sans meneur, mais le départ n’était pas à notre image», reconnaît Arnaud Cotture, qui a sonné la révolte avec son capitaine Boris Mbala.

2 Dominer les débats et creuser l’écart

Après un premier quart délicat, le champion a haussé le ton pour d’abord revenir à hauteur de son hôte, via un partiel de 11-2 (33-32, 15e), puis passer l’épaule dans un 3e quart plein de maîtrise. «Il faut retenir la réaction. Cette saison, on doit sans cesse s’adapter à de nouvelles situations, mais en resserrant notre défense et en rentrant quelques shoots à longue distance, cela nous a donné confiance», apprécie Natan Jurkovitz, très inspiré samedi. Irrésistible quand il joue comme ça, Olympic, toujours aussi tranchant au retour des vestiaires, a pu creuser un écart de 18 points à l’entrée du dernier quart (75-57, 31e).

3 Eviter de se la jouer facile en fin de match

La fin n’a pas été du même acabit. Si Genève n’a jamais paru en mesure de l’emporter, il est quand même revenu à 5 longueurs. «On doit mieux finir», convient Arnaud Cotture. «Il faut jouer comme s’il y a 0-0 au tableau d’affichage et garder un jeu collectif», insiste Petar Aleksic. Ralenti par la défense de zone des Genevois, pénalisé par sa maladresse aux lancers francs (seulement 47%), Olympic a surtout péché par un excès de facilité, symbolisé par un manque de patience en attaque. Sans doute que Porto lui trottait déjà dans la tête. «On voulait se mettre en confiance pour ce gros match. C’est bien d’avoir eu un match intense. On est prêt et motivé», annonce Natan Jurkovitz. Avec Kazadi et Roberts, désigné surnuméraire samedi, Olympic aura tout en main pour disputer enfin un match plein. Il le faudra. Sous peine de dire au revoir à la Coupe d’Europe…

La Liberté - François Rossier

FR Olympic a fait exploser les Lions

Le champion fribourgeois a pris le dessus sur les Genevois après la mi-temps. Neuchâtel a confirmé à Boncourt et Nyon s’est incliné à Lugano.

Trois jours après avoir fessé Swiss Central dans sa salle (102-61) – un match en retard de la deuxième journée – Fribourg a mis une mi-temps avant de prendre la mesure des Lions de Genève, samedi, toujours à St-Léonard (86-81). Le score, quelque peu trompeur, ne raconte pas la domination des protégés de Petar Aleksic, qui ont appuyé sur l’accélérateur dans le troisième quart-temps (29-14). Désormais parfaitement acclimaté, Matthew Milon a été le détonateur du succès des siens avec deux réussites derrière l’arc et 15 points au final. Voyant son équipe prendre l’eau après trois minutes en seconde mi-temps, le coach genevois Alain Attallah a tenté un coup de poker avec une défense de zone. Mais c’est ensuite Boris Mbala (14 points) qui a pris feu à longue distance (73-57). À souligner aussi les performances XXL de Natan Jurkovitz (17 points 11 rebonds et 5 assists) et Arnaud Cotture (15 points et 8 rebonds). Côté genevois, Bryan Colon a marqué 21 de ses 24 points lors des vingt premières minutes. Premiers pas discrets puis intéressants d’Erik Thomas (14 points).

La Tribune de Genève - Jérémy Santallo

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Le BBC Monthey tout proche d’un rebond victorieux contre Massagno

L’équipe chablaisienne accroche la formation tessinoise sans parvenir à interrompre sa série de défaites, 75-76.

Le BBC Monthey reprend vie. Le constat apparaît contradictoire à l’heure où le tableau d’affichage sanctionne un quatrième revers de rang pour la formation chablaisienne. Elle s’incline à domicile d’une longueur face à Massagno, 75-76.

Deux ballons de match manqués

Le parquet livre une impression différente de celle engendrée par les statistiques. Derrière les chiffres se cache une performance de qualité face à un contradicteur accompagné par la réussite dans les ultimes secondes de la rencontre. Le succès tessinois se concrétise à neuf secondes de la sirène finale d’un sensationnel panier bonifié de Dusan Mladjan. Le revenant Jaizec Lottie et Kevin Langford se montrent moins adroits sur les deux ballons de match que Monthey s’offre lors de sa dernière possession de ballon. «Nous livrons un match en deux temps», analyse Patrick Pembele, l’entraîneur des Montheysans. «Notre manque d’intensité défensive met leurs tireurs en position lors de la première mi-temps qu’ils terminent avec cinquante-quatre pour cent de réussite à trois points. Nous réagissons ensuite. L’état d’esprit et la volonté sont là. Mais il faut les concrétiser par une victoire désormais. Une série négative finit toujours par affecter le moral.»

Des ressources mentales intactes

Son groupe démontre des ressources mentales fortes durant cette confrontation mal entamée. Il ne s’effondre pas après avoir gâché cinq récupérations de ballon qui pouvaient lui permettre de réduire l’écart à moins de sept longueurs au cours du troisième quart (43-50). Il n’abdique pas davantage en abordant la dernière période avec un déficit de dix unités (45-55). «Le public a été plus qu’un sixième homme. Les regrets de n’avoir pas pu le récompenser sont grands.» Ils s’accroissent en se remémorant les cinq points de marge, avantage maximal en sa faveur, que Monthey se donne dans les deux dernières minutes. Les Montheysans se rendront à Neuchâtel mercredi avec l’ambition de confirmer ce redressement dans le jeu. «C’est un pas en avant, un léger pas en avant. L’intensité de la deuxième mi-temps sur quarante minutes n’est pas possible, mais elle ne suffit pas sur vingt minutes. Nous grandissons un peu trop lentement», conclut Patrick Pembele. Jérémy Landenbergue et Matthew Eberle seront toujours indisponibles pour le déplacement neuchâtelois. «Jérémy devrait être opérationnel dans une semaine. Deux ou trois semaines sont encore nécessaires pour Mathew. Leur retour élèvera aussi le niveau des entraînements», se réjouit Patrick Pembele.

Le Nouvelliste - Stéphane Fournier

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