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Leagues SB League 12.10.2021

SB League : Game recap day 1

Am ersten Tag gewannen zwei der Favoriten zu Hause sehr deutlich, Fribourg Olympic gegen Swiss Central Basketball und Spinelli Massagno gegen Starwings Basket. Die Lions de Genève mussten bis zum letzten Viertel warten, um den Unterschied gegen BBC Monthey-Chablais zu machen. Der BC Boncourt begann seine Meisterschaft auf die bestmögliche Weise, indem er im Chaudron gegen die Lugano Tigers gewann, die nicht über die volle Distanz gehen konnten. Der BBC Nyon hat mit dem Heimsieg gegen Union Neuchâtel Basket bewiesen, dass er auch in der neuen Saison ein ernstzunehmender Gegner sein wird.

Un succès dans les grandes largeurs

Trois quart-temps pour user Lugano, le dernier pour porter l’estocade sans résistance, face à un adversaire tessinois privé de banc et à bout de carburant. Samedi à domicile, le BC Boncourt a pris un départ de choix dans le championnat de Swiss Basketball League et soigné ses retrouvailles avec son public en s’imposant 97-72. Le succès, tombé comme un fruit mûr, est assorti de belles promesses et résulte d’une partition teintée de collectif, avec de bonnes dispositions des deux côtés du terrain. Il est plaisant de relever que ce qui a fini par devenir une véritable
opération de séduction n’allait pas de soi. On a vu en première mi-temps un trio d’étrangers adverses (le massif Arkim Robertson, le polyvalent Markel Humphrey et Anthony Criswell, l’adroit ailier fort), appuyé par quelques piques des Suisses Bracelli et Stevanovic, soutenir la comparaison avec les Ajoulots, et même les remuer sérieusement (36-42, 18’13’’). Or, quand les joueurs de rotation du BCB ont su parfaitement assurer le relais, ceux de la formation tessinoise en ont été incapables. Verdict en matière de points venus des hommes du banc: 26-0 en faveur de Boncourt!

Calasan seigneurial, Brent Jackson solide

Emmené par son incisif capitaine Nemanja Calasan (17 points, 9 rebonds, 7 assists et 31 d’évaluation), par les inspirations d’un Brent Jackson qui a déjà confirmé tout le bien qu’on pense de lui et par un Juraj Kozic très bon en deuxième vague, Boncourt a littéralement coulé le bateau visiteur dès la 30e (de 67-62 à 79-62, puis 97-70). «En première mi-temps, c’était le début de la saison, il y avait beaucoup d’émotions. Après la pause, on s’est installé, notre défense était meilleure et on a mieux contrôlé le rebond. C’était mieux que ce qu’on imaginait», applaudit Derek Jackson. «Ce public est le plus bruyant et je me sens bien mieux de savoir que maintenant, c’est moi qu’ils encouragent», s’exclame aussi l’ancien meneur de… Lugano. «Je suis encore en contact avec certains joueurs, c’était bon de les revoir, mais j’ai pris ce match comme n’importe quel autre. Et sur le terrain, non, il n’y a pas de cadeaux!» «Ce qui s’est passé, c’est qu’on a arrêté de jouer en défense», peste Milutin Nikolic, d’accord aussi d’invoquer la fatigue de son cinq majeur pour expliquer l’écroulement des Tessinois. «Boncourt est une très bonne équipe avec cinq étrangers, parce que je considère que Calasan en est un. Leur banc est beaucoup plus long que le nôtre, chaque joueur qui est entré a donné quelque chose», ajoute l’entraîneur des Tigers. Il sait bien qu’à Lugano, on devra la jouer plus modeste cette saison. «L’objectif sera de faire grandir les jeunes.» «Je suis heureux, et pas seulement de la victoire. On a bien joué. Reste qu’on a besoin d’être encore plus patient. Les Luganais n’avaient plus d’énergie et nous, nous étions dans un bon rythme», analyse le coach du BCB Vladimir Ruzicic. Les spectateurs, qui n’avaient plus ressenti d’aussi vives émotions depuis bien longtemps dans le chaudron, ne s’y sont pas trompés: ils ont salué cette belle performance collective debout, par des applaudissements nourris. Ils vont revenir, et d’autres se joindront à eux.

Le Quotidien Jurassien - Frédéric Dubois

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Canal Alpha : Le BC Boncourt retrouve son public avec une victoire 11.10.2021

Monthey s’incline contre Genève et perd JaCori Payne sur blessure

Battu par Genève à domicile, le club chablaisien craint une absence prolongée de son distributeur américain, sorti sur blessure avant la fin de la première mi-temps.

Les soucis rattrapent le BBC Monthey dès la première journée de championnat. Il s’incline à domicile contre les Genevois, 54-66. Plus que le revers chiffré, la défection soudaine de JaCori Payne en cours de match soulève l’inquiétude dans le camp chablaisien. «Cette blessure a fait mal à l’équipe», témoigne Thomas Salman. La formation chablaisienne cède dans l’ultime quart sous la répétition des efforts consentis pour compenser la sortie prématurée du meneur américain. Un déficit partiel de 15-0 propulse définitivement les Genevois en tête. La maîtrise des Lions genevois contraint les Sangliers valaisans privés de ressources à baisser l’échine après avoir montré un visage séduisant durant plus des trois quarts de la rencontre.

La tuile: quelle durée d’indisponibilité pour JaCori Payne?

Monthey dialogue d’égal à égal avec les Lions de Genève lorsque JaCori Payne quitte le parquet. 21-22 en faveur du visiteur, 10 points pour la recrue majeure des Chablaisiens à la présence déjà affirmée dans le jeu de son équipe. Soigné à la jambe gauche, il effectue ensuite un dernier passage sur le terrain. Un panier bonifié venu d’ailleurs conclut sa brillante prestation. Il suit la deuxième période en survêtement sur sa chaise. Un examen par résonance magnétique déterminera la gravité de sa blessure lundi. «On craint une déchirure musculaire à la cuisse», confie Patrick Pembele, l’entraîneur des Montheysans. «Cela signifierait une absence de six semaines au mieux. Un scénario plus favorable limiterait les dégâts à une élongation, soit trois semaines d’indisponibilité. J’avais dit que nous allons vivre ou mourir avec lui. Cela donne la mesure des conséquences d’un tel problème.»

Le déficit: un manque de rotation

Les statistiques confirment le sentiment ressenti sur le vif par Patrick Pembele. «C’est très dur de rivaliser contre une formation classée régulièrement dans les trois premières avec une rotation limitée à sept joueurs», confie l’entraîneur du BBC Monthey en consultant les données du match. «Nous avons cinq joueurs à plus de trente minutes de jeu. Seul Suggs a un total similaire à Genève.» L’enchaînement des efforts conduit son groupe à la rupture. Monthey pointe une dernière fois en tête à 31’14'', 48-47. Le manque de lucidité en phase offensive, la perte d’intensité dans la défense de son panier et la main adroite de Scott Suggs la relèguent à quatorze longueurs des Genevois quatre minutes plus tard. «Mon plus grand souci actuel sont les absences dues aux blessures qui nous privent de la profondeur de banc nécessaire.» La fatigue se fait particulièrement ressentir chez Jalen Hayes. L’Américain collectionne deux pertes de ballon sur passe et un passage en force, tous sur des mouvements offensifs, en moins de cinq minutes. Les contres genevois dans l’enchaînement creusent l’écart. «Il a été notre meilleur défenseur sur l’ensemble du match», modère Patrick Pembele. Opéré d’un ménisque, Brunell Tutonda vivra encore cinq semaines de convalescence. Les retours à la compétition de Thomas Fritschi et de Maxime Rentsch devraient intervenir dans un délai plus court. «Comment s’entraîner à six ou sept joueurs?» s’interroge le technicien montheysan. Son équipe se déplacera à Lucerne pour rencontrer Suisse centrale dans six jours. «Une victoire exigera un match parfait de tous les joueurs disponibles et une énorme implication.»

Le Nouvelliste - Stéphane Fournier

Les Lions triomphent à Monthey

Dans l’autre rencontre 100% romande, les Lions de Genève ont été s’imposer 66-54 au Reposieux face au BBC Monthey, une semaine après leur défaite en SuperCup contre Fribourg Olympic. Les joueurs d’Andrej Stimac, muets pendant les six premières minutes de la partie, ont quand même rallié les vestiaires en tête à la mi-temps (34-31) grâce à l’adresse primée de Marco Portannese (20 points). Alors que le score était de 47-45 après trois quart-temps, son coéquipier Scott Suggs (23 unités) a pris feu dans les dix dernières minutes pour sécuriser le premier succès des Genevois, toujours à la recherche d’un joueur étranger pour pallier le vide laissé par Hayden Lescault, forfait pour la saison après sa grave blessure au genou. Côté Monthey, Jacori Payne n’a pas joué la deuxième mi-temps (blessé?)

Tribune de Genève - Jérémy Santallo

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TV Reports

RTS - Sport Dernière du samedi 9 octobre : Match BBC Monthey-Chablais - Lions de Genève 11.10.2021
Canal 9 : Match BBC Monthey-Chablais - Lions de Genève 11.10.2021

Le BBC Nyon lance sa saison par une éclatante victoire

Samedi soir, dans un Rocher plein comme un œuf, les joueurs de Stefan Ivanovic sont venus à bout d’Union Neuchâtel en gérant parfaitement les dernières secondes de la partie (80-71).

«Gagner contre Neuchâtel permettrait de montrer à toute la ligue qu’on a passé un cap.» Avant ce premier match de la saison, le président du BBC Nyon Xavier Paredes espérait que son équipe frappe un grand coup, dès la première journée de championnat. Et le président nyonnais avait vu juste. Samedi, Union Neuchâtel a bel et bien dû s’avouer vaincu face à des pensionnaires du Rocher renforcés par rapport à la saison dernière. Tout le contraire d’un visiteur qui ne s’appuie que sur deux étrangers et qui compte bien donner des responsabilités à ses jeunes joueurs suisses. «Cette année, ce n’est plus tout à fait la même équipe et on n’a plus les mêmes ambitions, confirme le meneur neuchâtelois Selim Fofana. On devra tout donner à chaque match pour essayer de créer des surprises.»

Le BBC Nyon s’accroche

Pourtant, ce sont bien les visiteurs qui ont pris le meilleur départ, samedi soir. «C’était le premier match, il y avait pas mal d’émotions et tous les joueurs voulaient très bien faire, explique le coach local Stefan Ivanovic. Il y avait un peu de tension au début mais on a réussi à imposer notre tempo à la fin du deuxième quart.» Derrière durant de longues minutes, les Nyonnais ont finalement réussi à emballer le match juste avant la pause. Profitant de quelques erreurs de leurs adversaires, ils regagnaient les vestiaires avec un léger avantage (32-29). Du côté d’Union, le danger est – trop – souvent venu des mains de l’intenable Bryan Colon et du feu follet Selim Fofana. A eux deux, ils ont collectionné 17 des 29 points neuchâtelois à la mi-match. Le banc neuchâtelois n’a, pour sa part, amené que deux unités… Un total qui n’a jamais évolué après la pause.

Beamon a pris feu

Emmenés par un George Beamon incandescent au retour des vestiaires – 12 points de suite –, les Nyonnais prenaient le large (44-34 à la 24e). Shoot à trois points, tirs à mi-distance et lay-ups acrobatiques, l’Américain a donné un bel aperçu de son talent à un public du Rocher qui devrait se régaler avec lui cette saison, malgré son shoot peu académique. «J’ai eu des opportunités et j’ai juste essayé de faire mon job au mieux, relevait simplement le New-Yorkais à l’issue de la rencontre. Ce soir (ndlr: samedi soir), j’ai pas mal marqué mais peut-être que la prochaine fois, je serais plus dans la passe, le rebond ou la défense… Tout dépend de ce que le coach me demande.» Pour éteindre l’incendie du pyromane nyonnais et revenir au score, les visiteurs pouvaient à nouveau compter sur Colon et Fofana, bien épaulé par Yoan Granvorka. Les trois hommes ramenaient Neuchâtel dans le match et le mano a mano entre les deux équipes duraient jusque dans le money time.

Première très encourageante

A moins d’une minute du terme, alors que les Nyonnais menaient de deux unités (69-67), George Beamon, 32 points au final, manquait son lancer franc mais s’arrachait pour prendre le rebond offensif et inscrire le panier avec la faute. Certainement le tournant du match puisqu’il offrait cinq points d’avance aux locaux, qui ne lâchaient plus leur os (80-71). Première réussie donc pour ce BBC Nyon version Stefan Ivanovic. «Avec le jeu qu’on a développé et le potentiel qu’on a, j’ai envie de croire qu’on peut gagner tous les matches, s’enthousiasme le nouvel homme fort du Rocher. Même contre les gros, il faut qu’on soit convaincu qu’on peut gagner.» Après cette entrée en matière enthousiasmante, le BBC Nyon aura droit à un test grandeur nature, dès la semaine prochaine, avec trois parties au programme: dimanche à Lugano, jeudi à Boncourt et le week-end suivant contre Starwings.

La Côte - Romain Bory

Union Neuchâtel débute sa saison par un faux pas à Nyon

Samedi soir, sur le parquet du BBC Nyon, les joueurs de Mitar Trivunovic ont dû rendre les armes dans les dernières secondes de la partie (80-71).

«Gagner contre Neuchâtel permettrait de montrer à toute la ligue qu’on a passé un cap.» Avant ce premier match de la saison, le président du BBC Nyon Xavier Paredes espérait que son équipe frappe un grand coup, dès la première journée de championnat. Et le président nyonnais avait vu juste. Samedi, Union Neuchâtel a bel et bien dû s’avouer vaincu face à des pensionnaires du Rocher renforcés par rapport à la saison dernière. Tout le contraire d’un visiteur qui ne s’appuie que sur deux étrangers et qui compte bien donner des responsabilités à ses jeunes joueurs suisses. «Cette année, ce n’est plus tout à fait la même équipe et on n’a plus les mêmes ambitions, confirme le meneur neuchâtelois Selim Fofana. On devra tout donner à chaque match pour essayer de créer des surprises.»

Colon et Fofana trop seuls

Pourtant, ce sont bien les visiteurs qui ont pris le meilleur départ, samedi soir. Derrière durant de longues minutes, les Nyonnais ont finalement réussi à emballer le match juste avant la pause. Profitant de quelques erreurs de leurs adversaires, ils regagnaient les vestiaires avec un léger avantage (32-29). Du côté d’Union, le danger est – trop – souvent venu des mains de l’intenable Bryan Colon et du feu follet Selim Fofana. A eux deux, ils ont collectionné 17 des 29 points neuchâtelois à la mi-match. Le banc neuchâtelois n’a, pour sa part, amené que deux unités… Un total qui n’a jamais évolué après la pause.

Beamon a pris feu

Emmenés par un George Beamon incandescent au retour des vestiaires – 12 points de suite –, les Nyonnais prenaient le large (44-34 à la 24e). Shoots à trois points, tirs à mi-distance et lay-ups acrobatiques, l’Américain a donné un bel aperçu de son talent au public du Rocher. «J’ai eu des opportunités et j’ai juste essayé de faire mon job au mieux, relevait simplement le New-Yorkais à l’issue de la rencontre. Ce soir (ndlr: samedi soir), j’ai pas mal marqué mais peut-être que la prochaine fois, je serais plus dans la passe, le rebond ou la défense… Tout dépend de ce que le coach me demande.» Pour éteindre l’incendie du pyromane nyonnais et revenir au score, les visiteurs pouvaient à nouveau compter sur Colon et Fofana, bien épaulé par Yoan Granvorka. Les trois hommes ramenaient Neuchâtel dans le match et le mano a mano entre les deux équipes duraient jusque dans le money time.

Pas d'inquiétude

A moins d’une minute du terme, alors que les Nyonnais menaient de deux unités (69-67), George Beamon, 32 points au final, manquait son lancer franc mais s’arrachait pour prendre le rebond offensif et inscrire le panier avec la faute. Certainement le tournant du match puisqu’il offrait cinq points d’avance aux locaux, qui ne lâchaient plus leur os (80-71). Malgré cette défaite en ouverture de saison, Selim Fofana, le meilleur des siens samedi, ne se montrait pas plus inquiet que ça. «On est une équipe jeune, mais à chaque match, on gagne en expérience et on devient plus fort, glissait l’international helvétique. On commence à créer une vraie alchimie dans le groupe, on est là les uns pour les autres et c’est très positif pour la suite.» Surtout que sans un money-time raté, la donne aurait pu être tout autre pour Selim Fofana et les siens. «Je pense qu’on aurait pu gagner, mais on a fait trop d’erreurs... Ca se joue au final sur deux ou trois rebonds, quelques pertes de balle», concluait le numéro 7 neuchâtelois.

Arcinfo - Romain Bory

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Swiss Central Basketball hatte beim Titelverteidiger Fribourg Olympic einen schwierigen Start in die Saison. Die Luzerner wehrten sich 12 Minuten lang, ehe sie sich der kollektiven Stärke der Freiburger beugen mussten. Zwei Punkte sind für die Männer von Orlando Baer, die am kommenden Wochenende mit dem Empfang von BBC Monthey-Chablais ihr erstes Heimspiel bestreiten werden, nicht vorgesehen. Das Freiburger Team wird in der Riveraine-Halle auf Union Neuchâtel Basket treffen. Die Männer von Petar Aleksic kamen sehr gut ins Spiel und führten nach 3 Spielminuten mit 11 zu 2. Die Luzerner reagierten mit 13 zu 12 am 6. Min.Am 12. Spieltag stand es noch 34:26, bevor die Männer von Orlando Baer einen 12 zu 0-Teil zum 46 zu 26 am 15. Min erzielten. 55 zu 35 zur Pause. Auch in der zweiten Halbzeit ließen die Freiburgern nicht locker und der Vorsprung wuchs bis zum Ende des Spiels auf über 40 Punkte an. Am Ende stand eine 100 zu 57-Niederlage, die in allen Bereichen des Spiels zu Buche schlug. Das Freiburger Kollektiv leistete 27 Assists gegen 6. Die verlorenen Bälle kamen die Gäste teuer zu stehen (28 gegen 11), wobei die Heimmannschaft 35 gegen 6 Punkte erzielten. Fribourg Olympic erzielte 12 von 23 auf dir 3-Punkte. 6 Spieler zwischen 16 und 20 Punkten in der Wertung für die Einwohner von Saint-Léonard. Hervorzuheben für Swiss Central Basketball sind die 15 Punkte, 2 Assists, 2 Steals von Antwoine Anderson und die 15 Punkte, 7 Rbds von Michael Phillips.

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Ein gar ungleicher Vergleich zwischen den Starwings und Massagno

Die Starwings verloren ihr erstes Saisonspiel beim Titelfavoriten SAM Massagno mit 65:89 (25:50).

Gewisse Starwings-Exponenten, zu denen Cheftrainer Dragan Andrejevic indes nicht gehört, sind dünnhäutig und goutieren nur Berichterstattungen, welche ihrem Gusto entsprechen. Ansonsten rücken sie mit Drohungen und Zensur an. Das Positive: Die Starwings entschieden die zweiten 20 Minuten für sich. Die Birsfelder liessen sich, auch bei einem Rückstand von 32 Punkten (38:70) nach 29 Minuten nicht gehen und kämpften um jeden Ball.

Nicht nur die Amerikaner enttäuschen

Am Ende hatten die beiden US-Profis Devin Cooper (ex-Boncourt) und Center Thomas Rutherford anständige Punktzahlen. Bei Cooper muss man die Einschränkung machen, dass er die meisten Zähler dann erzielte, als die Luganesi auf Sparflamme spielten. Es war auch nicht jener Cooper, der vor einem Jahr in der Ajoie «gerockt» hatte, zu sehen. Dafür ein Rutherford, der ein sehr guter Spieler ist, aber bereits nach acht Minuten drei Fouls hatte. Geschuldet ist dies einem Kader, das zu schmal und falsch zusammengestellt wurde. Dieser Kritik muss sich Cheftrainer Dragen Andrejevic stellen, denn was der US-Schweizer Christopher Johnson zeigte, hat mit Basketball nichts zu tun. Er soll an einem US-College gespielt haben – gestern hätte man ihn eher dem Baseball oder American Football zugeordnet. In fünf Testspielen und einem Wettkampfspiel hat er insgesamt vier Punkte erzielt und weist von der Dreierlinie eine Quote von null Prozent. Dafür fällt er in jedem Match mit fünf Fouls auf. Auch Dylan Schommer, der immerhin fünf Jahre Ausbildung bei der Académie in Fribourg genossen hat, bewies, warum ihn der Schweizer Meister Olympic höflich, aber bestimmt nach Birsfelden gesandt hat. Ein gut gemeinter Rat an die «Wings» und Klubtechniker – gut, Andrejevic ist da eine Einzelmaske: Kosten und Gehälter für das Duo Johnson/Schommer sparen, denn für diesen Betrag gibt es in Europa einen Top-Spieler, der pro Match 20 Punkte macht und Akzente setzt.

Die Tessiner sind überall besser

Kaum von einer schweren Bänderverletzung genesen, durfte Captain Branislav Kostic wiederum am längsten spielen. Das tat er schon in der letzten Saison, und die Starwings «prügelten» sich mit dem inferioren Nyon um Rang 8 und 9. Als Kostic ausfiel, folgte der Höhenflug, der erst im Finale endete. Vielsagend dazu die Beschreibung der beiden Kommentatoren auf dem SAM-Livestream: «Wie immer verlangsamt Kostic das Spiel...» Auf die Fortsetzung verzichten wir, sie gefällt einigen Exponenten nicht. Massagno? Eine Liga für sich. Von der Bank konnten sie ihre zwei stärksten Amerikaner und Nationalspieler Roberto Kovac bringen. Dieses Trio kostet doppelt so viel wie das ganze Starwings-Team. Kein Wunder, dass die Bankspieler den Vergleich mit 46:2 gewannen. Erstmals erzielte Dusan Mladjan, der beste Schweizer Spieler aller Zeiten, nach den beiden NBA-Akteuren Capela und Sefolosha, keinen Punkt. In einer Woche wird Boncourt zum Derby nach Birsfelden kommen. Die «Talmannschaft» aus einer 1500-Seelen-Ortschaft hat vier US-Profis und ex-Starwing Nemanja Calasan als Neo-Schweizer im Team. Etwas Positives wird man aber garantiert auch da finden.

Basler Zeitung - Georges Küng

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RSI : Domenica Sport del 10 ottobre - Massagno parte a tutta velocità 11.10.2021
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