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Leagues SB League 03.04.2024

SB League - Playoffs : Game recap quarter of finals game 3

Fribourg Olympic - BBC Nyon 3-0
Lions de Genève pwd by Grand-Saconnex - BBC Monthey-Chablais 2-1
Spinelli Massagno - Pully Lausanne Foxes 3-0
Vevey Riviera Basket - Union Neuchâtel Basket 1-2

Foto : Richard Sendra

Pas de miracle au Rocher, le BBC Nyon est éliminé par Fribourg

Lundi soir, les hommes de Stefan Ivanovic ont perdu le troisième et dernier acte des quarts de finale des play-off contre Fribourg Olympic (62-73).

Face à Fribourg Olympic, chaque geste réussi est applaudi, chaque point doit être arraché et chaque ballon demande un dévouement maximal. Pourtant, lundi soir, au Rocher, un BBC Nyon louable a eu le mérite de n’avoir jamais lâché, malgré une élimination quasiment actée. Mais, à l’image de ces quarts de finale des play-off, les efforts constants des Vaudois n’ont pas empêché les Fribourgeois de remporter ce troisième acte et de se qualifier pour les demi-finales de Swiss Basket League (62-73). Après un premier quart disputé (13-16), les visiteurs ont haussé le ton avant la mi-temps, imposant aux Nyonnais un rythme insoutenable, jusqu’à bénéficier d’un avantage de 18 points après 20 minutes (29-47).

Nyon se reprend en deuxième mi-temps

Et pourtant, le BBC Nyon a offert à son public un semblant de suspense au cours d’une belle fin de rencontre. Du caractère, des belles sorties et un duo N’doye – Gates en forme (21 et 20 points) ont tenté de renverser la formation adverse. Insuffisant, toutefois, pour chambouler des Fribourgeois imperturbables, qui s’affirment comme les favoris à leur propre succession. «Nous voulions jouer les yeux dans les yeux avec eux, et on l’a fait. C’est dommage qu’on n’ait pas eu plus de réussite, mais on s’est battu jusqu’au bout et on a donné tout ce qu’on avait. On est content de sortir la tête haute», a déclaré Maleye N’doye au terme de la rencontre. Ce match figurait également comme le tout dernier de Jérémy Jaunin sous le maillot du BBC Nyon. La capitaine du Rocher a reçu une magnifique standing ovation à sa sortie, dans les derniers instants de la partie.

La Côte - Robin Godinat

Olympic: simple et basique

Fribourg Olympic s’est qualifié sans trembler pour les demi-finales des play-off de SB League. Vainqueurs des deux premiers actes à domicile, les Fribourgeois ont aussi remporté l’acte III lundi à Nyon. D’abord grâce à leur défense!

Samedi déjà, après l’acte II remporté 82-59 à Saint-Léonard, l’entraîneur Thibaut Petit louait les mérites de sa défense. «Avec six pieds dans leur raquette, ils nous laissent beaucoup de place. Il faut de la réussite contre ce genre de défense, mais malgré nos difficultés, ils ne sont pas entrés dans notre tête. On réussit à doubler la mise grâce à notre défense, en les maintenant sous la barre des 60 points», résumait le coach du Fribourg Olympic. Deux jours plus tard, mais en terres vaudoises cette fois-ci, le scénario n’a pas changé. Face à un Nyon à nouveau très compact, les Fribourgeois ont beaucoup tiré à longue distance, près d’un tir sur deux (33 de leurs 67 tentatives), mais sans grande réussite (27% seulement). «Ce manque d’adresse est dû à la fatigue», estime le technicien belge, qui pense aussi que ses joueurs ont «gagné un peu vite dans la tête»…

Nyon s’accroche

La remarque ne tombe pas de nulle part. Clairement supérieurs aux Nyonnais, qualifiés de dernière minute pour les play-off et dominés physiquement (54 rebonds à 38), les Fribourgeois ont fait la différence dès la première mi-temps dans cet acte III. A la pause, l’écart flirtait avec les 20 points (29-47). Arnaud Cotture, 19 points et 7 rebonds au total, avait déjà fait un sacré chantier dans la raquette. Et la défense fribourgeoise avait encore fait parler d’elle. La suite n’a pas été du même tonneau. Peut-être parce que comme le dit Thibaut Petit, les visiteurs ont «gagné un peu vite dans la tête». Peut-être aussi, parce que les Nyonnais, devant leur public et pour le dernier match de Jérémy Jaunin (lire ci-dessous), n’ont jamais baissé les bras. «C’est une équipe qui a du cœur, qui met beaucoup d’énergie. Avec l’ambiance dans la salle, rien n’est jamais évident ici», réagit Arnaud Cotture. Par deux fois, Nyon est revenu à moins de dix points (43-52, 27e puis 58-67, 37e). «Il ne manquait pas grand-chose. Ce passage à vide en première mi-temps est vraiment dommageable», peste Stefan Ivanovic, l’entraîneur nyonnais, qui regrette les rebonds offensifs laissés à Olympic (19 dans cet acte III). Et qui pourrait aussi fustiger l’individualisme de ses trois renforts américains, auteurs de seulement 6 assists sur l’ensemble des deux matches, alors qu’à lui seul, Jérémy Jaunin en a délivré 7 samedi et 7 autres lundi…

Des paniers faciles

Pour s’en sortir en trois matches, Olympic a fait simple et basique: il a misé sur sa défense. «C’est notre force et notre fil rouge», rappelle Thibaut Petit. «On se fixe toujours des objectifs très clairs dans ce secteur et on veut s’y tenir. La défense est importante car elle nous offre des paniers faciles», ajoute Arnaud Cotture. Les Fribourgeois, qui avaient la meilleure défense de la saison régulière avec 69,3 points encaissés en moyenne, ont encore haussé le ton. Dans leur quart de finale, ils n’ont laissé que 189 points aux Nyonnais, soit 63 par match. «On ne peut pas bâcler notre basket dans ce secteur-là», insiste le coach, davantage préoccupé par le manque de réussite de ses hommes, qui n’ont inscrit que 40% de leurs lancers francs… Reste qu’en pliant l’affaire en trois matches, Olympic peut maintenant se concentrer pleinement sur la finale de la Coupe de Suisse de samedi à Fribourg contre les Lions de Genève, pas aussi expéditifs dans leur quart de finale (lire ci-dessous). «On aborde ce rendez-vous avec confiance et aussi avec un bon état d’esprit. On a vraiment envie d’aller chercher ce deuxième trophée!» lâche l’intérieur valaisan. L’adversaire sera d’un autre acabit. Mais les Genevois se sont inclinés contre Nyon lors de la dernière journée du championnat et viennent de perdre des plumes à Monthey. Olympic n’a pas de raison de les craindre. Surtout s’il continue à produire ce basket simple et basique. Basique, car tout part d’une défense aussi rassurante qu’intransigeante. Simple, car lorsque son jeu est en place, tout paraît si évident. Et ça, avec une réussite en berne…

La Liberté - François Rossier

Full game

Toujours aussi déroutant, le BBC Monthey-Chablais s’offre le droit d’y croire

48 heures après leur défaite dans l’acte II, les Sangliers se subliment devant leur public (77-69) et devront désormais patienter jusqu’à mardi prochain pour disputer l’acte IV.

A-t-on déjà fait plus inconstant et plus imprévisible que le BBC Monthey-Chablais de Chris Chougaz? Sans doute. Mais reste que cette saison, les Sangliers ont fait voyager leur public des sommets vers les tréfonds du basket – et inversement – à une vitesse folle. Au bord du gouffre samedi au terme de l’acte II, les jaune et vert ont signé une réaction monumentale 48 heures plus tard en s’imposant 77-69 face aux Lions de Genève. Etonnant? Pas tout à fait, tant Forrest et ses coéquipiers sont capables de tout depuis cet automne. Ils auront désormais droit à une semaine de pause pour concocter leur prochaine surprise.

La réaction: quand les «gentils garçons» se rebellent

C’est un chiffre que vous ne trouverez nulle part au tableau d’affichage ou sur la feuille de statistiques. Alors on vous l’offre gracieusement: six. Six, c’est le nombre de Genevois qui ont fini «les fesses sur le parquet» après avoir tenté l’option du duel avec un Montheysan. Bien trop tendres lors de l’acte II, les jaune et vert se sont rebellés avec force pour leur retour au Reposieux. La détermination bas-valaisanne a même transité par les gradins, lorsque Chukwu s’est précipité pour empêcher une sortie de balle et a fini sa course – ou plutôt son vol – dans le public, ôtant la vie, au passage, à une chaise en plastique.

Le positif: quand le ballon tourne, les projecteurs aussi

Terriblement frustré après la rencontre du week-end, Robinson aura été le premier bas-valaisan sous le feu des projecteurs, lundi, avec ses onze points durant le premier quart. Mais la lumière a ensuite voyagé à tour de rôle sur Rentsch, Forrest, Williams ou Le Sann. En continuant à faire «tourner la balle» et à varier leur jeu, les jaune et vert ont appris des erreurs qui avaient plombé leur bilan offensif lors de l’acte I. Défensivement, Monthey a également joué la carte du progrès express en limitant ses pertes de balle (quatre à la mi-temps) et en se rapprochant de Genève dans la bataille du rebond (32 à 39).

Le flop: Louissaint non convoqué pour raisons disciplinaires

«La discipline compte.» Chris Chougaz aura été plutôt bref au sujet d’Axel Louissaint. Sans doute le coach grec des Sangliers a déjà considérablement perdu de temps et d’énergie cette saison avec celui qui était censé être «le Suisse numéro 1» de son équipe. Au total, le Vaudois aura manqué à ses couleurs depuis le 20 janvier, disputant moins de deux minutes pour son retour en jeu dans ces play-off. Si son bilan chiffré sur l’ensemble de la saison est «passable», l’impression visuelle, elle, l’est beaucoup moins. Samedi déjà au Pommier, le staff bas-valaisan avait peu goûté à l’attitude de son joueur.

La bonne nouvelle: Laurent Duchoud de retour au Reposieux

Absent des salles de basket depuis son accident cardiaque lors du souper de soutien des Sangliers, le président de Laurent Duchoud était de retour au Reposieux ce lundi. Sa présence a sans doute apporté à ses joueurs un petit boost de motivation pour cet acte III.

Le Nouvelliste - Adrien Delèze

Ces Lions-là, en dessous de tout, se liquéfient à Monthey

À quatre jours de la finale de la Coupe de Suisse de basket, d’affronter Olympic à Fribourg, que faut-il penser de ces Lions de Genève, battus ce lundi à Monthey (77-69)?

Vous connaissez l’effet lézard? Vous lui coupez la tête, il court encore. Pour Monthey, au bout du précipice samedi, mené 2-0 dans la série au meilleur des cinq matches, il y a eu forcément une réaction, cet instinct de survie qui réveille des morts. Devant un public chaud comme la braise qui a poussé ses sangliers de bout en bout, la formation du Reposieux en voulait bien plus que des Genevois lunatiques qui ont une fois de plus été transparents, en dessous de tout. C’est désormais 2 à 1 dans la série: on se reverra le 9 avril dans cette même salle, où on peut craindre le pire pour les joueurs du Grand-Saconnex. Après avoir pris les devants durant les neuf premières minutes (17-22, 9e puis 22-24 à la 10e), ces Lions, qui semblaient bien partis pour confirmer leurs deux premiers succès face aux Valaisans, n’ont pas su réagir une fois que Michael Forrest et Steve Robinson ont pris leur jeu à leur compte (29-24, 13e), avec en prime une belle réussite et le soutien d’un intenable Clayton Le Sann, l’ex-junior genevois, qui s’est régalé face à ses anciens coéquipiers. Si les visiteurs ont tenté de revenir grâce à leurs meilleures individualités sur la fin (de 63-51 à 68-65, de la 30e à la 36e), il était trop tard. Il a surtout manqué cette agressivité et cette intensité sous les panneaux qui avaient fait la différence samedi au Pommier (90-71).

Faut-il se réjouir ou s’inquiéter?

À cinq jours de la finale de la Coupe de Suisse de basket, d’affronter Olympic à Fribourg, que faut-il penser de ces Lions de Genève? Faut-il se réjouir du retour en forme de Bryan Colon (après longue blessure au genou droit), qui avait été déterminant lors de l’acte II, de la bonne performance défensive de Matt Dentlinger, de la montée en puissance de Noé Anabir et de Boris Mbala, ou s’inquiéter de l’ensemble? Mais comment une telle équipe avec de tels joueurs de talents dans son contingent peut-elle se liquéfier à ce point? Que de tirs manqués, de ballons perdus sur le parquet et des choix toujours aussi étranges d’un coach transparent qui ne trouve toujours pas les solutions avec son groupe qui visiblement lui échappe. Les rotations sont compliquées…

Noé Anabir n’est pas inquiet

Capitaine des Lions, Noé Anabir assure qu’il n’est pas inquiet avant cette finale de Coupe de Suisse de samedi à Fribourg, où le champion en titre est prêt à lui mettre une grosse fessée. «S’il est vrai qu’on aurait bien voulu nous qualifier pour la demi-finale déjà ce lundi, maintenant on n’a pas réussi aujourd’hui, mais ce samedi il y aura une autre équipe avec d’autres joueurs. On a encore le temps de nous préparer…» On peine à le croire, même si une finale reste un match spécial à gagner. Tout peut arriver. Cela s’appelle la Méthode Coué. Car il est évident qu’en jouant de la même manière dans quatre jours, l’addition sera très lourde pour les Lions. «À nous de mieux défendre et de limiter nos balles perdues. Le problème, c’est qu’on n’est jamais dans le même rythme en même temps», poursuit encore Noé Anabir, conscient que pour battre Fribourg, ce sera la clé, qu’il faudra trouver l’effet lézard pour réussir le match parfait.

Tribune de Genève - Christian Maillard

Full game

Highlight

TV Reports

Canal 9 : Le BBC Monthey-Chablais s’impose dans le troisième acte 03.04.2024

Pully Lausanne Foxes n'est pas parvenu à l'emporter dans ce game 3 face à Spinelli Massagno et se retrouve éliminé de la course au titre. Une défaite 3 à 0 dans la série pour les hommes de Randoald Dessarzin qui n'ont toutefois pas démérité pour leur retour dans l'élite du basket helvétique. Une rencontre où ils ont été en mesure dans un premier temps de combler un écart de 11 pts avant de craquer entre la fin du 3ème et le début du 4ème quart-temps. Un passage en défense de zone des hommes de Robbi Gubitosa qui a fait très mal avec seulement 6 pts marqués dans le dernier quart-temps. Le secteur intérieur a une nouvelle fois été prédominant à 25 sur 46 en faveur des tessinois contre 15 sur 38 ainsi que 44 pts marqués contre 22. La profondeur de banc également 40 pts en faveur des pensionnaires de Nosedo contre 8. Après un début de match assez équilibré entre les deux équipes, 10 à 11 à la 4ème, Spinelli Massagno est parvenu à creuser un premier écart qui a atteint les 11 pts au début du 2ème quart-temps, 19 à 30. Les vaudois ont su toutefois réagir parvenant à reprendre l'avantage à la 16ème, 38 à 36. 44 à 45 finalement à la pause. 47 à 49 à la 21ème avant que les tessinois ne reprennent les devants, 47 à 55 à la 23ème. Une nouvelle fois, les hommes de Randoald Dessarzin ont su rebondir, 56 à 55 à la 25ème. Le match s'est joué à ce moment-là avec près de 8 minutes où les vaudois n'ont marqué que 2 pts le score passant à 58 à 70 à la 33ème. Ces derniers n'ont plus été en mesure d'inquiéter leurs adversaires par la suite s'inclinant au final sur la marque de 64 à 81. A mettre en évidence pour Pully Lausanne Foxes les 18 pts, 6 rbds, 3 ass, 3 int de Dequan Morris, les 8 pts, 4 rbds, 3 ass de Jamal George et les 10 pts, 10 rbds, 2 int de Omar El Sheikh. 5 joueurs entre 12 et 18 à l'évaluation en faveur de Spinelli Massagno. 15 pts, 8 rbds, 2 ass de Dusan Mladjan, 14 pts, 7 rbds, 3 ass, 2 contres de Keith Clanton et 8 pts, 3 ass, 2 int de Kevin Langford

Full game

Highlight

Union manque une belle opportunité face à Vevey

Les Neuchâtelois ont été dominés de peu, 67-76, par les Vaudois ce lundi 1er avril au soir à la Riveraine. Les Unionistes mènent 2-1 dans ce quart de finale au meilleur des cinq matches. Tout reste ouvert dans cette série.

Union Neuchâtel est tombé de son petit nuage. Victorieux au forceps des deux premiers actes de leur quart de finale de play-off face à Vevey, les Neuchâtelois ont manqué une belle opportunité de rallier les demi-finales. Lundi 1er avril au soir, ils se sont inclinés 67-76 au terme d’une partie à nouveau très disputée. Les Unionistes ne mènent désormais plus que 2-1 dans cette série au meilleur des cinq matches. «Nous étions peut-être un peu en dessous de notre niveau sur le plan physique. Il nous a manqué un peu de rage», relève le meneur Thomas Salman. «Nous avons raté une belle opportunité, mais ce n’est pas le moment de nourrir des regrets. Il faut rester confiant pour la suite.» Ce lundi soir, un des tournants du match aura certainement été la quatrième faute d’Arkim Robertson après un peu plus de 25 minutes. Très esseulé dans le secteur intérieur en raison de l’absence pour blessure de l’Américain Darious Moten (lire ci-dessous), le pivot de la Grenade a dû calmer ses ardeurs au risque de se faire exclure. Jonathan Dubas et ses coéquipiers ne se sont pas fait prier pour multiplier les points dans la raquette. «Je n’ai pas défendu aussi agressif que ce que j’aurais voulu. Cela a permis à nos adversaires de capter bien trop de rebonds et d’inscrire trop de paniers faciles», commente avec lucidité le joueur d’Union Neuchâtel. Comme lors des deux précédents affrontements dans cette série, tout s’est joué dans le dernier quart-temps entre deux équipes au niveau similaire. A dix minutes de la fin, les Unionistes menaient ainsi encore de trois points (56-53). Plus adroits (50% de tirs réussis contre 40,3%), les Vaudois ont finalement réussi à faire la différence dans les moments clés.

Trop d’erreurs

«Nous aurions dû faire beaucoup mieux et tuer le match. Je suis déçu de notre collectif. Nous avons aussi commis beaucoup trop d’erreurs et manqué trop de lancers francs. Vevey en a profité pour nous punir», analyse l’entraîneur Mitar Trivunovic. S’il ne cache pas sa frustration, le technicien serbe sait que la situation reste favorable, avec ce score de 2-1 avant l’acte IV dimanche 7 avril (17h) à la Riveraine: «Ces six jours vont nous permettre de récupérer et d’analyser nos erreurs pour revenir plus forts.» Passés proches de l’élimination, les Veveysans ne l’entendent pas de cette oreille et se disent prêts à inverser la tendance. «Nous n’avions pas envie de nous retrouver en vacances et nous sommes allés chercher cette victoire. Beaucoup nous voyaient perdants, mais nous voulons obtenir ce match décisif», affirme Thomas Jurkovitz. Union Neuchâtel est prévenu!

Arcinfo - Florian Charlet

Vevey Riviera Basket peut encore croire en une qualification pour les demi-finales des play-offs après ce succès dans le game 3 à la salle de la Riveraine face à Union Neuchâtel Basket. Les veveysans reviennent à 2 à 1 dans le série avec un game 4 programmé à dimanche prochain toujours en terre neuchâteloise. Les vaudois ont rendu la monnaie de leur pièce aux neuchâtelois en faisant eux aussi la différence dans le money-time, des neuchâtelois qui n'ont marqué que 11 pts dans le dernier quart-temps. L'adresse en général a fait la différence à 18 sur 30 à 2pts contre 18 sur 36, 10 sur 26 à 3pts contre 7 sur 26, 10 sur 16 aux L-F contre 10 sur 20. Un début de match à l'avantage de Union Neuchâtel Basket 7 à 2 à la 3ème. Vevey Riviera Basket est toutefois rapidement revenu 10 à 14 même à la 6ème. Un match très serré par la suite et une première période conclue sur la marque de 41 à 40. Les neuchâtelois se sont quelque peu détachés en début de seconde mi-temps en comptant à deux reprises jusqu'à 6 longueurs d'avance, la dernière à 53 à 47 à la 26ème. 56 à 53 finalement à l'entame du money-time. 61 à 62 à la 34ème avant que les veveysans ne parviennent à creuser un petit écart 61 à 67 à la 37ème. Ces derniers ont tenu bon jusqu'au bout pour finalement l'emporter sur la marque de 67 à 76. Les deux plus en vue du côté des vaudois Jonathan Dubas 19 pts, 15 rbds, 3 ass et Brendan Favre 20 pts, 2 rbds, 3 ass. A noter également les 13 pts, 5 rbds, 2 ass, 2 int de John Rauch et les 17 pts, 8 ass de Ikenna Ndugba. Blessé Takal Molson n'a pas été aligné. Le meilleur neuchâtelois Dalan Ancrum 18 pts, 10 rbds, 2 ass, 2 contres. A signaler également les 11 pts, 11 rbds, 2 int de Arkim Robertson et les 12 pts, 3 rbds, 3 ass, 3 int de Nathaniel West. Darious Moten blessé n'a pas été en mesure de tenir sa place

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Canal Alpha : Union s'incline mais a encore 2 balles de demi-finale 03.04.2024
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