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Leagues SB League 25.05.2023

SB League - Playoffs : Game recap semi finals game 2

Spinelli Massagno - Union Neuchâtel Basket 1-1
Fribourg Olympic - Lions de Genève pwd by Grand-Saconnex 2-0

Una vittoria schiacciante, la SAM Massagno si rilancia

Il capocannoniere Dusan Mladjan, da vero leader, ha preso le redini del gruppo giocando un ottimo match La squadra ticinese ha fatto il pieno di fiducia in vista delle due trasferte che l’attendono sul campo del Neuchâtel

Niente di meglio che una vittoria schiacciante per riportare in parità la serie, scacciare i fantasmi e mettere in cascina un bel pieno di fiducia con cui affrontare le due trasferte in arrivo in un ambiente che si annuncia caldissimo. La SAM ieri è riuscita in tutto questo, annichilendo un Neuchâtel decisamente meno pimpante e convinto di quello che solo sabato era riuscito a sbancare Nosedo. Poco da eccepire sulla prestazione dei padroni di casa. Scesi in campo con la faccia e l’atteggiamento giusti, guidati dal loro cannoniere Dusan Mladjan, hanno imperversato su tutti i fronti, controllando il primo tempo prima, dilagando nei primi cinque minuti della ripresa, chiudendo di fatto la contesa poi.

Leader maximo

Certo diventa tutto più facile quando a guidare l’orchestra ci pensano le capaci mani del citato Mladjan. Leader vero, un uomo in missione che ha preso di peso i compagni segnando (è proprio il caso di dirlo) per loro la via. Venti i suoi punti nel primo tempo, quello nel quale la SAM ha preso il comando delle operazioni dopo 5 minuti respingendo ogni volta i tentativi di rientro dei neocastellani, anche grazie al 7/12 del suo «top scorer», sempre a trovare un canestro utile a rimettere gli ospiti ad una decina di punti di distanza, quella a cui hanno sostanzialmente galleggiato nei primi 20 minuti. E poi eccone un’altra decina, di punti, sempre di «Dule», arrivati nella prima metà di terzo quarto, frangente che ha segnato i destini del match con il parziale di 22-0 che ha fatto sprofondare Neuchâtel a distanze siderali (68-36) e trasformato il resto della sfida in una lunga passerella. E dove non è arrivata la guardia biancorossa, ci hanno pensato gli ottimi Bogues e James a farne le veci per la squadra della collina. Che oltre a beneficiare della grassa serata di Mladjan ha usufruito di una difesa all’altezza, compatta, attenta nelle rotazioni, capace di forzare ben 11 palle perse all’Union nel solo primo tempo e che ha poi tenuto al palo i neocastellani per 5 minuti dopo la pausa principale. Un condensato di ingredienti che hanno rimesso il campanile al centro del villaggio e impattato una serie che vede nuovamente la Spinelli favorita. Perché quando gira come ha girato ieri, questa squadra può forse solo temere sé stessa.

Occhi su gara-3

Ad ogni modo, se dopo sabato non era tempo di fare drammi, non lo è nemmeno questo per festeggiare. In arrivo ci sono due trasferte da affrontare, di cui almeno una da vincere, e sabato alla Riveraine ci saranno non meno di 1.500 spettatori pronti a spingere i propri beniamini. Che anche in gara-2 ci hanno provato a sorprendere, ma non appena hanno visto la mala parata hanno tirato i remi in barca. Anche perché, giocoforza costretto ad aumentare le rotazioni per far tirare il fiato ai soliti, Trivunovic ha scoperto una volta di più di non poter disporre di una panchina da cui pescare granché. Quando Caputo e Maquiesse hanno trovato il campo, a partita ancora viva, la SAM è sempre scappata in avanti, per dire. Probabile che in gara-3 l’Union torni alla rotazione di base. Da capire se per la SAM ci sarà Williams, uscito ieri dal campo sanguinante nel primo quarto per una brutta botta al volto (probabile rottura del naso).

Corriere del Ticino - Mattia Meier

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RSI : Una Spinelli travolgente parregia la semifinale 25.05.2023

Fribourg a un pied en finale

En manque d’inspiration en début de rencontre, Olympic a accéléré pour s’imposer 99-71 contre Genève

Il suffit parfois d’une accélération au bon moment, d’une interception qui galvanise les troupes et réveille une salle Saint-Léonard bien garnie mais trop tranquille jusque-là, d’un dunk rageur, d’un tir à trois points, pour tourner une rencontre. Hier soir, Genève s’était certainement dit qu’il avait pris la rencontre par le bon bout. En s’appuyant sur un Clanton aussi puissant qu’inamovible dans la raquette, les Lions ont vite pris un léger avantage. De l’autre côté, Fribourg a retrouvé la piètre adresse qui avait failli lui coûter l’acte I. «Ce début de match était un sacrifice nécessaire, souligne l’entraîneur Petar Aleksic. Jordan, Ballard, Milon, n’étaient pas en confiance, je voulais leur en redonner.» Pari risqué mais pari gagnant. Genève a bien pris 9 points d’avance (19-28, 12e minute), mais jamais plus. Et, quelques instants plus tard, il y a eu les interceptions, le dunk, et la foule qui s’est levée. Jordan, car c’est de lui que tout est parti, avait sonné la révolte et les Lions ne s’en sont pas relevés. D’un avantage de deux petits points après deux quart-temps, le matelas du Fribourg Olympic a rapidement gonflé à 10 points (55-44, 22e) à la sortie du vestiaire puis 20 (82-62, 34e). «Nous avions trop souvent pris l’habitude de manquer nos débuts de seconde mi-temps, rappelle Arnaud Cotture. Mais là, ça a suivi, aucun temps mort. Encore mieux, nous avons bien géré les fameux trous noirs.»

Intérieur bétonné

Ceux-là mêmes qui avaient bien failli causer la perte des Fribourgeois samedi dernier, quand ils avaient galvaudé un avantage de 20 points, puis de 10 points. Cette fois, les Lions ne sont pas revenus. Pire que cela, ils ont perdu leurs nerfs dans les derniers instants. Clanton, Paige puis Miljanic ont été abusés par la malice de Kovac et consorts, ils n’ont pas terminé la partie. «Il fallait être intelligent, résume Petar Aleksic. A la différence de samedi, nous ne nous sommes pas précipités. Mieux que cela, nous avons fait des fautes intelligentes pour couper le rythme de notre adversaire.» Le score final de 99-71 peut paraître sévère, mais reflète la domination acquise petit à petit par les Fribourgeois au fil de la rencontre. A l’image de la raquette, où Clanton s’est royaumé durant un quart-temps avant d’être réduit au silence par un Jankovic impérial. «Je suis rentré dans sa tête!», s’est exclamé le Serbe en revenant à son vestiaire. «Au début, nous avons souffert à l’intérieur, notamment moi qui n’ai pas fait une bonne entame de match, souffle Arnaud Cotture. Mais nous avons trouvé la solution au fil de la rencontre. Il faut être clair, Milos (Jankovic, ndlr) a sorti les muscles.» Même Milon, fantomatique lors du premier acte, a retrouvé son assise défensive et quelques points dans ses mains. Pour le plus grand bonheur de son coach qui ne s’est pas gêné de l’étreindre fortement dans le dernier quart-temps. «Il ne faut par contre pas tomber dans l’euphorie, prévient Arnaud Cotture. Nous avons encore beaucoup de travail. Nous avons protégé la maison, maintenant, c’est la phase la plus compliquée qui nous attend.» Comme le dit l’entraîneur, cette rencontre à Genève s’annonce «très difficile», mais Fribourg Olympic l’a prouvé, il a de la ressource pour trouver la meilleure option. A une victoire d’une qualification pour la finale, il a tout en ses mains. Ce d’autant plus que les Lions, déjà dans une rotation de sept joueurs seulement, pourraient perdre Thomas Jurkovitz, touché au genou, dont la présence samedi n’est de loin pas assurée. «A nous de rester frais dans la tête. Il y a déjà 40 minutes à jouer là-bas, nous devons rester à fond dedans», conclut Arnaud Cotture.

La Liberté - Patrick Biolley

À Fribourg, les Lions y ont cru une mi-temps

Les Genevois ont longtemps mené avant de s’effondrer après la pause. Victorieux 99-71, Olympic mène 2 à 0 dans la demi-finale des play-off, avant le troisième acte samedi au Pommier.

«Fribourg n’est pas invincible!» Comme tous ses coéquipiers du Pommier, qui avaient réussi à chatouiller le champion dans les dernières minutes du premier acte des demi-finales de samedi (86-82), Clayton Le Sann et les Genevois ont voulu croire à un miracle ce mardi à Saint-Léonard. Mais à l’impossible nul n’est tenu. Une fois encore, comme ce fut déjà le cas il y a trois jours sur ce même parquet, il a suffi d’un gros coup d’accélérateur à Olympic au début de la seconde mi-temps pour remettre les Lions de Genève en cage. Il y a eu aussi de nouveau beaucoup trop d’imperfections et de précipitations dans le jeu des hommes d’Andrejevic pour empêcher la belle machine de Petar Aleksic de fêter un 18e succès d’affilée, le deuxième de cette série au meilleur des cinq.

Début de match réussi

Envoyés samedi dans les cordes, groggy, un genou à terre, les Genevois avaient pourtant trouvé la force de caractère pour se relever avec cette volonté farouche qui caractérise ce groupe pour repartir au combat et rebondir. Les joueurs du Grand-Saconnex ne voulaient pas rater leur début de match, ils l’ont réussi, avec longtemps une adresse assez insolente (21-30, 13e). Mais, comme samedi, les rotations ont fini par faire la différence. Très agressifs dans la raquette, Keith Clanton et Thomas Jurkovitz on en plus vite été sanctionnés de trois fautes, les privant de défendre correctement sur des Fribourgeois qui n’en demandaient pas tant pour reprendre les rênes juste avant la pause (43-41). Une fois lancé le train d’Olympic était alors inarrêtable. «Les arbitres sont rentrés dans notre tête et on a perdu le match mentalement», regrette Thomas Jurkovitz, qui a rejoint le vestiaire le genou endolori avant de lâcher: «On va gagner samedi au Pommier.» Les Genevois aimeraient tellement le croire…

Tribune de Genève - Christian Maillard

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