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SBL Cup Leagues SB League 16.03.2021

SBL Cup Men : Game recap Final Four

Im ersten Halbfinale siegten die Lions de Genève nach spannendem Verlauf gegen Fribourg Olympic dank eines Korbes von Eric Adams in den letzten zwei Sekunden des Spiels. Das zweite erlaubte Spinelli Massagno, seine Qualifikation auf Kosten von Union Neuchâtel Basket dank eines sehr guten Spielbeginns zu erhalten.

Die Lions de Genève wurden zum vierten Mal gegen die Ticinese betitelt, die in den letzten Minuten des Spiels komplett einbrachen.


Les Lions éliminent Fribourg au buzzer

Les Genevois ont arraché leur qualification pour la finale de la SBL Cup dimanche. Ils retrouveront Massagno (16h), qui s’est défait d’Union Neuchâtel.

Au micro, juste devant la tribune de presse de la salle omnisports du Pierrier, à Clarens, le meneur genevois Jaunin ne s'y trompait pas à la mi-temps samedi après-midi. «C’est un petit score, on sent bien qu’il y a de la tension dans l’air». Opposés pour la quatrième fois de la saison - 2 victoires à 1 pour les Lions - en demi-finale de la Coupe de la Ligue, les deux grands rivaux Genève et Fribourg ont livré une bataille acharnée jusqu’à la dernière seconde. En délicatesse avec ses adducteurs et absent cette semaine à l’entraînement, selon la «Liberté», le scoreur fribourgeois Barnette a très vite rassuré les siens en début de partie. Avant de voir son partenaire du secteur intérieur Krajina faire un chantier terrible lors du deuxième quart-temps: 8 points mais surtout 4 rebonds offensifs. À la pause, et dans son sillage, le tenant du titre de la SBL Cup avait pris les commandes (27-33).

Fin de match folle

Très (trop) dépendant de leur «top scorer» Derksen en première mi-temps, les Lions ont accusé un débours de 9 points par deux fois, au cœur du 2e quart-temps puis au milieu du 3e. Mais Genève n’est pas l’incontestable leader du championnat par hasard. Dans le sillage de Nzege et Ivanov, les hommes de Stimac n’ont jamais lâché. Adams a trouvé de l’adresse derrière l’arc, comme Derksen, et les joueurs du bout du lac ont sereinement repris la tête (47-44). A l’entame du money-time, Derksen a sorti deux tirs de folie, avant de se jeter sur le parquet pour récupérer un ballon capital dans la dernière minute. Mais l’Américain a bêtement perdu la balle sur une remise en jeu alors que lui et ses coéquipiers menaient 55-52. A deux secondes du terme, Morris a égalisé d’un tir primé venu d’ailleurs. C’est finalement Adams, à la réception d’une passe de Sabeckis, qui a offert la qualification aux Lions in extremis (57-55).

Marko Mladjan préservé

Dimanche, Genève retrouvera en finale le Massagno de Robbi Gubitosa, qui s’est payé le luxe de dominer en soirée Union Neuchâtel (72-57) sans faire jouer Marko Mladjan. Touché au dos, l’international suisse a été préservé. En son absence, la marque tessinoise a été assurée par la trio Dusan Mladjan – Paschal Chukwu – Eric Nottage, auteurs à eux trois de 46 points. Selim Fofana (21 d’évaluation) a été le plus performant côté neuchâtelois.

Tribune de Genève - Jeremy Santallo

Olympic laisse filer «sa» Coupe

Battus à l’ultime seconde par les Lions de Genève, les Fribourgeois repartent de Montreux les mains vides

Depuis le début de la saison, Fribourg Olympic évolue un ton en dessous des Lions de Genève. Déjà battus deux fois en championnat, les Fribourgeois ont encore mordu la poussière samedi à Montreux en demi-finale de la SBL Cup. D’un rien cette fois-ci. Petar Aleksic et ses hommes se sont inclinés 57-55 sur une inspiration genevoise de génie à une seconde de la fin (lire Coup par coup, ndlr). La défaite est d’autant plus frustrante pour les Fribourgeois qu’ils ont longtemps joué une partition de haut vol avant de craquer dans le dernier quart d’heure. Comme toujours lorsqu’un match se joue sur des détails, les regrets sont nombreux: un ballon perdu bêtement, une faute technique au (très) mauvais moment, des lancers francs manqués (10 au total, dont 6 dans le dernier quart!) ou un shoot facile raté. «Il fallait tenir jusqu’au bout et nous n’en avons pas été capables…» regrette Arnaud Cotture. Si Olympic est reparti de Montreux avec les mains vides, il ne doit pas tout remettre en question. La défense, d’un niveau exceptionnel samedi, offre une base solide aux Fribourgeois, qui doivent absolument progresser dans trois domaines s’ils entendent remporter l’un des deux derniers titres mis en jeu cette saison.

1. Mieux répartir les responsabilités

Annoncé très incertain (coup de bluff?), Barnette était bien présent samedi à Montreux. L’Américain était même omniprésent. Auteur de 7 des 9 premiers points fribourgeois, Barnette (20 unités au final) a terminé sur les rotules. Jackson dans un jour sans (1/13 aux tirs!), aucun Fribourgeois n’a su prendre le match à son compte. Et le banc est pour l’heure trop tendre pour assumer des matches avec un tel enjeu. «J’ai misé sur mes joueurs les plus expérimentés», se défend Petar Aleksic, qui n’a pas trouvé le relais espéré chez ses joueurs suisses, Cotture, Gravet, Zinn et Hart restant muets en deuxième mi-temps… Or, cette saison plus que par le passé, Olympic a vraiment besoin de tout son monde pour gagner les gros matches.

2. Pallier le manque de créativité offensive

Si, cette année, Olympic manque globalement d’adresse, aux lancers francs (10/20 samedi) comme à longue distance (5/21), il souffre surtout d’une faible créativité. L’équipe est composée majoritairement de joueurs de rôle, non dénués de qualité pour autant, pour peu qu’ils reçoivent la balle dans de bonnes conditions. Pour compenser cette faiblesse, les Fribourgeois doivent absolument accélérer leurs attaques et donc travailler leur jeu de passes. «Nous avions envie de bien faire, mais à un moment donné, nous n’avons pas su faire vivre le ballon. Notre jeu est devenu très statique. Le ballon est resté cantonné sur un demi ou un tiers de terrain. On ne peut pas vivre avec une telle stratégie», analyse Arnaud Cotture.

3. Travailler et grandir au niveau mental

Des neuf joueurs vainqueurs de la SBL Cup 2020, seul Boris Mbala figure encore dans l’effectif fribourgeois. Un constat qui rappelle qu’Olympic est une équipe en construction. Si des progrès se font sentir dans le jeu, le mental nécessite encore du temps pour se développer. «J’espérais que mon équipe joue avec plus de courage», avoue Petar Aleksic, un va-t-en-guerre qui aimerait tant s’appuyer sur une horde de guerriers. Or, ces derniers se font rares dans les rangs fribourgeois.

Pas habitués à avoir des rôles majeurs dans des équipes de pointe durant leurs carrières, les supposés leaders ne le sont pas (encore?). Quand Genève lutte possession après possession sans jamais paniquer, Olympic cogite après chaque tir raté ou chaque ballon perdu. «Nous étions très concentrés en défense, où nous avons bien contrôlé Sabeckis, Ivanov ou Kovac, mais quand nous égarons trois ballons de suite dans le 3e quart, nous perdons le fil (seulement 5 points inscrits entre la 25e et la 36e minute, de 31-39 à 47-44, ndlr)», déplore encore Petar Aleksic. Arnaud Cotture veut croire que son équipe travaille dans la bonne direction. Ce que le récent succès à Massagno et la courte défaite de samedi contre Genève tendent à confirmer. «Après une telle défaite, il est difficile de voir du positif, avoue l’ailier, mais je pense qu’on fait des bonnes choses. Notamment à l’entraînement. Mais il faut le montrer sur le terrain.» Olympic en aura l’occasion dans dix jours en Bulgarie lors de son 8e de finale de la Coupe d’Europe FIBA. Le prochain grand rendez-vous des Fribourgeois.

La Liberté - François Rossier

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TV Reports

RTS - Sport Dernière du 13 mars : 1/2 finale SBL Cup Men Lions de Genève - Fribourg Olympic 14.03.2021

La Spinelli Massagno ha ottenuto per la seconda volta nella sua storia, dopo quella del 2019, una qualificazione per la finale di SBL Cup Men, imponendosi in semifinale contro l’Union Neuchâtel Basket con il punteggio di 72 a 57. I ticinesi affronteranno i Lions de Genève come nel 2019. Hanno ottenuto il loro successo grazie ad un eccellente inizio di gara contro dei neocastellani molto imprecisi. 17 a 4 in loro favore dopo 6 minuti di gioco e 28 a 12 al termine di un primo quarto durante il quale gli uomini di Mitar Trivunovic hanno sbagliato tutti i loro 9 tentativi da dietro l’arco. Un collettivo ben messo in campo, con un Eric Nottage che ha saputo mettere in ritmo i suoi compagni spesso e volentieri. Selim Fofana, giovane playmaker dell’Union Neuchâtel, ha tentato di tenere in pista i suoi all’inizio del secondo quarto (30 a 19 al 12esimo). I neocastellani sono tornati sotto di 10 lunghezze (32 a 22), prima che i ticinesi effettuassero un parziale di 11 a 0 portandosi avanti di 21 punti al 17esimo (43 a 22). 46 a 30 alla pausa. Gli uomini di Robbi Gubitosa hanno visto tornare i loro avversari a meno di 10 punti di scarto nella ripresa, ma senza essere mai davvero in pericolo, anche se il fatto di rallentare il gioco avrebbe potuto costargli caro. Hanno perso il loro ritmo e contro un avversario diverso questo avrebbe avuto delle conseguenze più importanti. Un parziale di 10 a 0 a metà dell’ultimo quarto ha sancito definitivamente una vittoria massagnese ampiamente meritata contro dei neocastellani un po’ deludenti. Le palle perse sono costate caro all’Union Neuchâtel Basket (17 contro 9). Due i giocatori che si sono messi particolarmente in mostra per la Spinelli Massagno: Paschal Chukwu, 14 pts, 9 rbds, 4 blk ed Eric Nottage, 16 pts, 6 rbds, 6 ass. Menzione speciale anche per Westher Molteni, 9 pts, 8 rbds e Dusan Mladjan, 16 pts, 2 ass, anche se con percentuali basse da dietro l’arco. L’Union Neuchâtel Basket ha potuto contare sulla buona prova di Selim Fofana, 18 pts, 6 rbds, 4 ass e Eric Carter, 18 pts, 5 rbds, 3 ass.

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TV Reports

Canal Alpha - Le Canal Sportif du 15 mars : Match SBL Cup Men Spinelli Massagno - Union Neuchâtel Basket (dès 4 min) 16.03.2021

Il Massagno finisce la benzina proprio sul più bello

Come già due anni fa gli uomini di Gubitosa sono stati battuti nella finale della SBL Cup dai Ginevra Lions

Ci ha provato, la Spinelli. Ma come due anni fa, si è fermata sul più bello. Ancora, come due anni or sono ha visto la SBL Cup prendere la via di Ginevra, nuovamente dopo aver giocato una semifinale sopraffina. Troppo poco purtroppo, perché una Final Four richiede un livello di perfezione costante, non facile da trovare in due partite da giocarsi in meno di 24 ore. Rimane bella a metà dunque Montreux per Massagno, che ora si getterà anima e corpo sul campionato.

Crollo finale

E dire che fino a quel momento la squadra della collina se l'era giocata testa a testa, tenendo botta sin dal primo minuto, con il solito imprescindibile Dusan Mladjan a dare il là alla danze, e Ginevra che per tutti i primi dieci minuti ha retto “solo” grazie ai viaggi in lunetta (15/16 nel primo quarto), in un continuo scambiarsi colpo su colpo (13 alla fine i “lead changes”). Ma serve sempre qualcosa in più dell'ordinario per far cadere un peso massimo, e purtroppo per la Spinelli non solo questo non è arrivato, ma è arrivata anche una serata decisamente storta di alcuni suoi fondamentali interpreti. Come Nottage, arruffone, fuori partita per gran parte della stessa soprattutto mentalmente, e in sintesi quasi più dannoso che altro, ma anche Williams, ingenuo in difesa e passivo in attacco. Sarebbero serviti al loro massimo, eppure ciò malgrado come dicevamo per trenta minuti la Spinelli ha retto, e quando nel terzo quarto ha trovato un po' di ritmo buono in attacco non sono mancati i momenti in cui ha fatto la partita, come quando è andata sul +5 (54-49), vantaggio contenuto all'apparenza ma già importante in un match tirato. Poi è arrivato il quarto conclusivo, e sulla partita è presto calato il sipario. Improvvisamente sulle gambe, con poche idee e ballerini in difesa, i ticinesi sono crollati di schianto, lasciando sempre più campo a Ginevra, esondato minuto dopo minuto, mentre la SAM è rimasta al palo, con 4 miseri punti segnati in tutta la frazione.

Frustrazione e rammarico

Questione di polmoni e materia grigia, che in casa Spinelli non mancano ma di cui abbondano i Lions, non a caso prima forza del nostro basket. In due giorni i ginevrini hanno messo sotto Friburgo e Massagno, non cosa da poco. In casa SAM rimane la frustrazione, sentimento automatico quando vedi il trofeo alzato dal tuo avversario, e il rammarico per la consapevolezza che, ad di là del risultato finale (fattosi pesante a buoi ormai scappati), quei due-tre “layup” mancati, l'imperizia in alcuni passaggi chiave (ogni volta che ha trovato il vantaggio non lo ha mai cementato lasciandosi anzi riprendere) rimangono un fardello da trasformare in insegnamenti per il prosieguo della stagione. «Purtroppo non abbiamo gestito bene la pressione negli ultimi dieci minuti – le parole di Wes Molteni – Siamo arrivati stanchi e abbiamo perso lucidità, lasciando troppi rimbalzi e seconde opportunità». Per coach Gubitosa il crollo si spiega così: «Questione fisica. Capita, soprattutto se hai Marko Mladjan e Slokar a mezzo servizio. È finita la benzina, abbiamo iniziato a forzare e ci siam persi. Per noi due partite in 24 ore rimangono ostiche».

Corriere del Ticino - Mattia Meier

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TV Reports

RTS - Sport Dimanche du 14 mars : Les Lions de Genève remportent la Coupe de la Ligue 15.03.2021
Léman Bleu : Les Lions de Genève triomphent pour la quatrième fois la Coupe de la Ligue 15.03.2021
RSI - Domenica Sport del 14 marzo : La corsa del Massagno si ferma sul pui bello 15.03.2021
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