An diesem Samstag wurden drei Spiele des 26. Tages gespielt. Das letzte Spiel zwischen den Lugano Tigers und Starwings Basket findet diese Woche, am Mittwoch statt. Sehr wichtiger Erfolg von BBC Monthey-Chablais gegen Union Neuchâtel Basket, der den Wallisern erlaubt, den 5. Platz von den Lugano Tigers zu nehmen, in Erwartung des Ergebnisses von Mittwoch der Tessiner verurteilt zu gewinnen, um es zu den Wallisern zurückzunehmen. Eine Niederlage der bianconeri gegen Basel wäre für sie in diesem Kampf um die Top 5 (einen in den Play-offs so wichtigen 5. Platz), den die Männer von Patrick Pembele in diesem Zusammenhang definitiv erreichen würden, grundlegend. Die Lions de Genève und Fribourg Olympic liessen nichts anbrennen und gewannen zu Hause gegen den BBC Nyon bzw. BC Boncourt deutlich.
Fribourg Olympic poursuit sa marche en avant face à Boncourt
Les Fribourgeois sont facilement venus à bout des Jurassiens samedi à Saint-Léonard (100-61).
Quand le bon n’est pas suffisant, il faut chercher l’excellence. Ce Fribourg Olympic en reconquête le sait et l’applique. Qui de mieux que son topscorer pour le rappeler? Alors qu’Arnaud Cotture et ses coéquipiers menaient 13-8, samedi face à Boncourt, grâce notamment à une adresse insolente à trois points (3/3), l’intérieur valaisan s’exclamait: «Huit points, c’est trop, il nous faut des stops en défense maintenant!» Le chef avait parlé et Paul Gravet s’est immédiatement exécuté. De quoi donner de la teneur à la domination fribourgeoise et un écart qui s’est irrémédiablement creusé jusqu’à flirter avec les 40 points. Victoire 100-61 au final. En début de saison et durant l’hiver, les hommes de Petar Aleksic étaient en quête de constance. Cette satanée stabilité qui les place au troisième rang du championnat derrière Genève et Massagno. Après avoir battu le premier et le deuxième de SB League chez eux, voilà que Fribourg Olympic sait aussi se montrer sérieux face aux plus petites équipes. «Nous nous sommes tout simplement trouvés, acquiesce Dominic Morris. Le cœur de l’équipe s’en est allé à l’intersaison, il fallait reconstruire pour redonner à Fribourg la réputation qui est la sienne.» Moins bon en début d’année, l’Américain monte lui aussi en puissance. Elu à juste titre homme du match, Dominic Morris a terminé la rencontre à 8/10 au tir pour 19 points et 5 rebonds. «Il y a beaucoup d’armes dans cette équipe. Si ce n’est pas moi qui mets les points un soir, il y aura un coéquipier pour le faire», ajoute-t-il humblement. A l’instar de Morris, samedi, c’est le banc fribourgeois qui a fait la différence avec ses 57 points. Une fois que les cadors ont fait la différence, Petar Aleksic a pu faire tourner. A l’entrée du dernier quart-temps, il a ainsi envoyé le quintette Maquiesse, Zinn, Hart, Gravet, Memishi, avant de rapidement sortir Hart et Gravet pour Martina et Mbala. Soit une moyenne d’âge d’à peine 22 ans. «C’est important que tout le monde ait le rythme. En plus, l’Académie reprend le championnat de ligue B la semaine prochaine, souligne Petar Aleksic. J’ai apprécié l’attitude de tout le monde. Les joueurs expérimentés se sont investis en donnant des conseils même s’ils n’allaient plus entrer sur le parquet.» La longueur de banc sera cruciale dans les play-off qui approchent. Et même s’il reste un match contre Starwings la semaine prochaine, la fin de saison est déjà dans toutes les têtes. Et notamment cette finale de Coupe de Suisse le 8 mai contre Genève. «La dernière victoire (à Genève, ndlr) n’aura servi à rien si nous n’envoyons pas un véritable message à ce moment-là. Mais il y a Bâle la semaine prochaine et c’est notre premier objectif», dit sérieusement Dominic Morris avant de marquer un temps d’arrêt, de rigoler et de conclure: «O.K., nous pensons déjà tous au 8 mai et à la finale.» Voilà qui a, une fois n’est pas coutume, le mérite d’être clair.
La Liberté - Patrick Biolley
Le grand écart à Saint-Léonard
Comme on pouvait s’y attendre, le BC Boncourt ne peut plus convoiter la 5e place du classement de Swiss League au terme de son déplacement à Fribourg. Toujours privés d’Éric Fongué – une indisponibilité à laquelle s’ajoutaient celles d’Amir Savon et Justin Solioz –, les Jurassiens n’ont pas fait le poids samedi à la salle Saint-Léonard en s’inclinant 100-61. Ils ont même essuyé une sorte de double peine, puisque la victoire de Monthey dans le même temps sur le terrain de Neuchâtel leur ferme aussi les portes de la 6e place.La défaite encaissée contre Olympic dérange par son ampleur mais n’a rien d’un camouflet. Les hommes de Petar Aleksic évoluent dans des sphères qu’aucune autre équipe, actuellement, n’est capable d’atteindre. «Nous avons joué un match très sérieux, nous savons qu’il y a beaucoup de talent à Boncourt. Nous avons monté le curseur en termes de responsabilité individuelle. Notre compétitivité s’accroît, et c’est le bon moment. Nous pouvons être satisfaits de ce que nous produisons», souligne l’entraîneur de Fribourg.
Une réussite fribourgeoise insolente
La troupe de Vladimir Ruzicic a donc payé la note. Elle n’a jamais eu le loisir de mener. Un peu trop permissive, sa défense n’a tout de même pas offert des boulevards. Elle a quoi qu’il en soit subi une déferlante dans un premier quart-temps qui a vu l’ogre afficher une réussite insolente. Le 5 sur 5 dans l’exercice des tirs primés a été assorti d’un non moins parfait 5 sur 5 aux lancers francs. Le 6 sur 9 à 2 points n’a pas dépareillé. L’attaque boncourtoise n’a pas pu «matcher» bien longtemps (9-8, 1’35’’). Menant 32-17, Fribourg a changé plusieurs hommes. L’étreinte n’en a pas pour autant été desserrée et les deux formations ont fait le grand écart: 55-27 (20e), 82-46 (30e) et 99-58 (40e). Les déboulés et les inspirations de Juraj Kozic, à nouveau percutant, ainsi que les rebonds offensifs (9 samedi!) de Milos Jankovic sont largement insuffisants pour contrarier les plans d’une aussi belle machine. «On n’a pas fait notre job, on n’a pas commis assez de fautes en défense. Toute l’équipe a été mauvaise dans ce domaine, on doit jouer plus intelligemment», accuse surtout ce dernier, qui réfute toutefois – plutôt avec raison – les termes de paresse et de mollesse. Le Serbe lie aussi cela au manque de profondeur, contre lequel il est bien moins évident de lutter. Les points inscrits par les joueurs du banc sont éloquents: 57 côté Fribourg, 11 pour Boncourt.
Les premiers points de Johan Sollberger
«Nous n’avions pas la puissance, ni l’énergie. Je m’attendais à un match difficile, mais pas à ce point», concède Jankovic. Quant au topscorer Devin Cooper, il a provoqué beaucoup de fautes (9), mais sa soirée a été épouvantable: 1 sur 13 aux tirs! Elle a été bien plus digeste pour le Bruntrutain Johan Sollberger, qui a pu inscrire ses 3 premiers points en Swiss Basketball League. «Boncourt n’est pas une équipe agréable à affronter si on les laisse courir. Ils auront leurs chances en play-off, car ils ont des joueurs expérimentés et un bon équilibre», glisse un Petar Aleksic complaisant. Mais qu’on se le dise: il vaudrait mieux ne pas croiser ce Fribourg-là en quart de finale.
Le Quotidien Jurassien - Frédéric Dubois
Face à Genève, le BBC Nyon avait le quart d’heure vaudois
Après avoir encaissé un sec et sonnant 4-31 dans le premier quart, les Nyonnais ont fait mieux que se défendre face aux Lions de Genève, samedi soir, dans un Rocher enfin quelque peu garni (48-90).
Privé d’Amir Williams, son pivot aux bras tentaculaires, pour ses deux dernières rencontres de la saison, le BBC Nyon savait que ses chances seraient forcément réduites. Surtout face au leader genevois, samedi, au Rocher. Mais même sans son Américain et Benoit Hayman, Alain Attallah avait promis avant ce match qu’il allait «tenter des choses et tout faire pour déranger Genève». Malheureusement, tous ses plans ont volé en éclats dès le début de partie, emportés par la folle intensité mise par les Lions dans les premières secondes de la rencontre. «On savait qu’ils allaient venir fort dans l’impact physique, mais j’aurais espéré qu’on en fasse de même, lâche Alain Attallah. Genève est toujours à la limite de la faute, mais on aurait dû leur rendre les coups. Malheureusement, on a attendu un quart avant de le faire.» Il n’en fallait pas plus pour que les Lions ne plient le match. Même remanié, le cinq de base a fait des merveilles et a mis les Nyonnais au supplice. Après dix minutes, le score affichait déjà 4-31. Mais pour leur dernière partie à domicile, la deuxième cette saison avec des spectateurs dans les tribunes du Rocher, les locaux ont tout de même relevé la tête et su éviter la fessée qui s’annonçait.
Les Nyonnais enfin au combat
«Sur les trois derniers quarts, on ne perd que de quinze points. On ne s’est pas laissé marcher dessus», glisse Alain Attallah, fier de la révolte de ses hommes. Après un premier quart raté (avec un petit 1/12 aux tirs), les basketteurs du Rocher, touchés dans leur orgueil, ont en effet retrouvé un peu d’adresse mais surtout de l’agressivité en défense. «Les joueurs n’ont pas baissé les bras. Mis à part le premier quart, on a mis de l’intensité, on s’est battu, ça a tapé, ça s’est même chauffé entre William van Rooij et Ive Ivanov, sourit Alain Attallah. Mais c’est ça qu’on doit faire. On ne peut pas juste subir et regarder jouer Genève.» Après en avoir pris 117 face à ce même adversaire en demi-finale de Coupe de Suisse, il y a moins de trois semaines, les Nyonnais ont fait un peu mieux, samedi, en perdant finalement 48-90. Ils auront l’occasion de rebondir, samedi prochain, sur le parquet de Boncourt, lors de l’ultime ronde de ce championnat.
La Côte - Romain Bory
Les Lions n’ont laissé que des miettes à Nyon
Focalisés sur la finale de la Coupe, les Genevois n’étaient pas d’humeur badine (victoire 90-48).
À 15 secondes de la sirène finale, Roberto Kovac a fait du surplace avec le ballon pour abréger les souffrances de ses adversaires. Il était temps que le calvaire des Nyonnais cesse. Encore que durant les trois derniers quarts, les Vaudois n’ont pas été ridicules. Durant les 10 premières minutes, en revanche, il n’y a pas eu match (31-4 en faveur des Lions). Les hommes d’Andrej Stimac ont encore eu l’impression de jouer au tennis à la 15e (40-15). Focalisés sur la finale de la Patrick Baumann Swiss Cup, qu’ils disputeront face à Fribourg Olympic le 8 mai prochain, ils n’ont pas laissé le plus petit grain de sable s’insérer dans leurs rouages. Timothy Derksen (17 pts), Michel-Ofik Nzege (12), Jérémy Jaunin (14) et Roberto Kovac (13) en ont profité pour fourbir leurs armes. «On a vraiment bien joué, surtout en défense, précise ce dernier. On a bien commencé et on a eu des paniers faciles. Ensuite, on est bien restés dans le match, sans se faire mal et en appliquant nos systèmes. Ce n’était pas facile pour les Nyonnais, car il leur manquait plusieurs joueurs.»
Émotions et business
Les Lions se feront encore les griffes contre Union Neuchâtel au Pommier avant de se rendre à Fribourg pour ce match capital. L’occasion pour l’Américain Andre Williamson (31 ans, 203 cm) de rejoindre le groupe, après une quarantaine de dix jours qui devrait prendre fin ce samedi. Le nouveau pivot des Lions est attendu avec impatience par Andrej Stimac. «À l’entraînement, ce n’est pas toujours facile de travailler sans un véritable poste 5», assure l’entraîneur croate des Genevois. Ex-joueur de Fribourg Olympic, tout comme Andre Williamson, Roberto Kovac se rappelle qu’ils avaient remporté une Coupe et un championnat ensemble sous cette bannière. À 30 ans, l’arrière des Lions ne fait plus de sentiment. «Il y a de l’émotion lorsque l’on joue un match important contre son ancien club, concède-t-il, mais c’est un business aussi. Quand on est jeune, c’est peut-être plus compliqué à gérer.»
Tribune de Genève - Gérard Bucher
Union Neuchâtel ne s’est pas rassuré face à Monthey
Battus samedi soir 83 à 76 à la Riveraine, les Neuchâtelois n’ont pas brillé. Ce manque de constance n’augure rien de bon alors que les play-off se profilent.
A moins de trois semaines du début des play-off, Union Neuchâtel ne surfe toujours pas sur une vague de confiance. Face à Monthey, un adversaire potentiel pour les quarts de finale des séries éliminatoires, le club du Littoral a montré de nombreuses lacunes. Défaits 76 à 83, les Neuchâtelois ont déçu tant offensivement que défensivement. Rapidement largués au score après une entame de match catastrophique, Eliott Kübler et ses coéquipiers ont eu le mérite de se battre jusqu’au bout. S’ils ont réussi à faire douter leurs homologues valaisans en fin de partie, ils n’ont pas été en mesure de recoller au score. «Nous avons dormi pendant 20 minutes. Nous étions trop mous», regrette Mitar Trivunovic, entraîneur d’Union. «Je suis satisfait de notre réaction. Nous n’avons jamais abandonné, mais nous ne pouvons pas nous permettre de commencer le match aussi mal. Ce n’est pas acceptable.» Semblant parfois désorganisés, avec notamment quelques problèmes dans le secteur intérieur, les Neuchâtelois ont buté contre une formation plus combative. Alors qu’Union est d’ores et déjà assuré de terminer la saison régulière à la quatrième place, Monthey se bat pour arracher un cinquième rang. Cela s’est senti à la Riveraine. Les encouragements des quelques spectateurs réunis dans les tribunes, pour la première fois depuis le 18 octobre 2020, n’y ont rien changé.
Le groupe doit progresser
«Ils sont venus plus motivés que nous sur le terrain», reconnaît le pivot Eric Carter. «Nous devons progresser en tant que groupe. Nous ne pouvons pas nous cacher derrière le manque d’enjeu.» «Avec cette défaite, je pense que nous allons rencontrer Monthey lors des quarts de finale des play-off. Nous leur donnons une chance d’y croire. Ce n’est pas normal», peste le capitaine Bryan Colon. «Il faut que nous changions notre manière de défendre et de partager la balle. Nous devons plus nous battre pour les coéquipiers. Sinon, nous allons vite être éliminés.»
Contre Genève pour clôturer la saison régulière
Sans pression sur les épaules samedi soir, Union ne s’est pas rassuré. La semaine prochaine, toujours dans une partie pour beurre, les Neuchâtelois se rendront dans la cité de Calvin pour y affronter les Lions de Genève. Face à l’actuel leader du championnat, Mitar Trivunovic tentera de remettre son équipe sur de bons rails. Il s’agira du dernier match de la saison régulière.
Arcinfo - Florian Charlet
A Neuchâtel, le BBC Monthey-Chablais remporte son pari
Solide, malgré une grosse frayeur en fin de rencontre, le BBC Monthey-Chablais s’impose 76-83 à Neuchâtel.
En prenant le pari défensif de verrouiller le secteur intérieur et de forcer les shoots adverses, les Sangliers remportent une victoire importante sur le parquet d’Union Neuchâtel (76-83). Largement devant au troisième quart, ils ont vu les Neuchâtelois fondre sur eux en fin de rencontre, heureusement sans dommage. Reste désormais une rencontre pour déterminer quel adversaire les Bas-Valaisans affronteront en playoff. Leur destin est lié à celui des deux équipes tessinoises: Lugano et Massagno.
Le choix: Fritschi dans le cinq de base
C’est aux côtés de Chad Timberlake que Patrick Pembele s’avance en conférence de presse d’après-match. Métronome du «BBCM» durant les plus de 35 minutes qu’il a passées sur terrain, le capitaine a également pesé lors de la préparation de cette rencontre. «C’est lui qui m’a soufflé de laisser Thomas Fritschi dans le cinq de base. Je n’ai pas vrai de assistant sur le banc, mais Chad est notre général», confie le coach des Sangliers. Avec quatre paniers à trois points – un par quart – et un état d’esprit belliqueux défensivement, l’Agaunois a donné raison au vétéran américain et à son entraîneur. «On est resté focus sur notre performance et nos points forts. Tout le monde a prouvé qu’il était concerné ce soir, pas uniquement moi», relève quant à lui Thomas Fritschi.
Le rebond: Monthey enfin devant
Après avoir subi à deux reprises la domination éclatante d’Union au rebond, le BBC Monthey-Chablais a enfin inverséla tendance. Sur le parquet de La Riveraine, les visiteurs «l’emportent» 33 à 41 dans ce secteur de jeu. Si Galloway, Bailey et Timberlake ont grandement contribué à ce total, tous les Bas-Valaisans se sont montrés très rassurants et impliqués sous les deux paniers. «On savait pourquoi on venait ici: défendre», insiste le capitaine des Sangliers. «Tout le monde a contribué à cet effort. On a vraiment ressenti la volonté de se soutenir les uns les autres.»
Le plan: Union contraint à shooter
2 sur 24. Voilà, la statistique des Neuchâtelois sur leurs tentatives à trois points. Face à une équipe qui possède le plus faible taux de conversion de la ligue dans cet exercice (29,6%), Monthey avait choisi de verrouiller son secteur intérieur. Objectif: contraindre les locaux à prendre leur chance encore et encore hors de la raquette. De quoi frustrer énormément Selim Fofana (0 sur 4) et surtout Vernon Taylor (0 sur 6). «Je ne peux que saluer l’application défensive de tous mes joueurs sur ce point. Ils ont fait exactement ce que j’attendais d’eux», sourit Patrick Pembele.
La frayeur: Monthey aurait pu tout perdre
27e minute de jeu, Vincent Bailey réussi un «lay up» qui porte le score à 41-61. L’Américain vient donc d’offrir – le calcul n’est pas si compliqué – 20 points d’avance à ses couleurs. Avec ce retard, Neuchâtel semblait condamné. Oui, mais voilà, même pareillement installé aux commandes de ce match, Monthey a réussi à se faire peur. Très peur, puisque à 20 petites secondes de la fin de la rencontre, Union était de retour à trois minuscules unités au tableau d’affichage (76-79). La faute à la fatigue, bien sûr, à une agressivité neuchâteloise retrouvée, mais surtout à une enfilade de mauvais choix côté chablaisien. «On a vraiment manqué de sérénité. Certains de nos joueurs étaient tout simplement KO. Je peux vous assurer qu’ils auront de belles courbatures dans les jours à venir», affirme leur entraîneur. L’absence de Chad Timberlake – qui n’aura pourtant duré que 04’26 – a notamment semblé interminable. «Je n’avais aucune envie de le sortir, mais je voyais bien qu’il n’en pouvait plus.»
La suite: une fin de saison qui s’écrit en italien
Ce sont quoiqu’il arrive les Tessinois qui décideront de ce qui attendra le BBC Monthey-Chablais en playoff. La rencontre entre Lugano et Starwings, prévue mercredi soir, pèsera sur le destin des jaune et vert. Si les Luganais s’imposent, Monthey devra aller chercher une nouvelle victoire face à Massagno samedi pour s’éviter le trio de tête de SB League. En revanche, si les Bâlois l’emportent les hommes de Pembele seraient assurés de terminer 5e et donc de retrouver Neuchâtel en playoff.
Le Nouvelliste - Adrien Delèze
Canal Alpha - Le Canal Sportif du lundi 26 avril : Match Union Neuchâtel Basket - BBC Monthey-Chablais (dès 5 min et 30 sec) | 27.04.2021 |