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Leagues SB League 19.10.2021

SB League : Game recap day 2

Spinelli Massagno gewann das Spitzenspiel des zweiten Tages bei den Geneva Lions dank eines wilden Roberto Kovac im letzten Viertel. Fribourg Olympic litt in der Riveraine, konnte aber schliesslich gegen Union Neuchâtel Basket gewinnen. Der BBC Nyon bestätigte mit einem Sieg gegen die Lugano Tigers, dass er in dieser Saison eine ernstzunehmende Größe sein wird. Nach einer schwierigen Vorbereitungsphase und einem verlorenen ersten Spiel bei Spinelli Massagno hat Starwings Basket zu Hause mit einem Sieg gegen BC Boncourt eine gute Reaktion gezeigt. Erster Sieg für den Neo-Aufsteiger Swiss Central Basketball, der einen etwas enttäuschenden BBC Monthey-Chablais zu Hause besiegte.

Allen Widerwärtigkeiten getrotzt

Die Starwings gewinnen gegen den BC Boncourt mit 91:82 (41:31)

Im 1. Heimspiel der neuen Saison 2021/22 glückte den Birsfeldern ein Exploit. Als krasser Aussenseiter ins Verbands-Derby gegangen, zeigte die dezimierte Equipe von Cheftrainer Dragan Andrejevic eine Parforceleistung und dominierte die Partie von A bis Z.

Auf dem Papier war die Ausgangslage klar. Der Gast aus der Ajoie präsentierte eine Mannschaft mit vier ausländischen Profispielern – der letzte Zuzug wurde vor zehn Tagen getätigt. Dazu hat der charismatische Nemanja Calasan, der am 24. November 36 Jahre alt wird, seit einigen Monaten die Schweizer Staatsbürgerschaft. Der 206 Zentimeter gros­se Center, in Serbien aufgewachsen und in den USA als Basketballer ausgebildet, hat bei Fribourg Olympic Titel gewonnen, drei Jahren für die Starwings gespielt (und sich als Junio­rentrainer eingebracht) und ist nun, in seiner zweiten Etappe in Boncourt, längst ein «jurasien» geworden.

Reife Leistung

Nach Matchende stand er dem Starwings TV (in der Basket-Schweiz die Nummer 1) Red und Antwort und sagte: «Der Sieg der Starwings ist absolut verdient. Die Mannschaft zeig­te eine reife Leistung, das Coaching von Dragen Andrejevic war stets top – und wir haben das erste Viertel verschlafen. Und schafften nie mehr den Anschluss». Auch die Frage, ob es nicht – für den BCB – peinlich sei, mit vier Ausländern plus einem Neo-Schweizer gegen ein Team zu verlieren, das «nur zwei Ausländer in Reihen» hat, lä­chelte Calasan milde und sagte: «Es spielen immer fünf gegen fünf. Allesamt sind Basket­baller, die immer ihr Bestes geben. Manchmal mit Erfolg, manchmal hat man einen schlechteren Tag», so Calasan, der – vielleicht dem Rotwein – mit zunehmendem Alter besser wird…

Davet fiel aus

Von Beginn an fanden die Starwings gut ins Spiel und führten stets mit fünf bis acht Punk­ten. Doch dann kam das Malheur: Sébastien Davet, der beste Schweizer Skorer in Star­wings-Reihen erlitt eine Fussverletzung (wohl Bänderriss), die ihn für einige Zeit vom Spie­len abhalten wird. Mit Captain Branislav Kostic kam ein 6. Mann, der eine grandiose Partie lieferte. Natürlich musste die Teamstruktur geändert werden – und mit Fortdauer der Partie blieb die neue Stammfünf nahezu konstant auf dem Feld. Einen anderen kritischen Moment hatten die Starwings zwischen der 29. und 31. Minute zu verkraften. Devin Cooper – Spielmacher, Antreiber, Passgeber, Rebounder und Skorer in Personalunion – beging innert 100 Sekunden drei Fouls, so dass Trainer Andrejevic die «Lebensversicherung», da mit vier Fouls belastet, auf die Bank setzen musste.

Der entscheidende Dreier

Man könnte monieren, dass Zuzug Daryl Schommer und der US-Schweizer Christopher Johnson nicht das brachten, was man von ihnen erwartet. Richtig. Gerade Johnson scheint mit dem Werfen (und Treffen) auf Kriegsfuss zu stehen – 0 von 5 Freiwürfen (mit Air-Balls) gehören in der Nationalliga A zur absoluten Rarität. Aber der Amerikaner bringt Energie, ist ein Teamplayer, in der Defense sehr stark – und 59 Sekunden vor dem letzten Sirenenton, beim Stand von 82:75, setzte Johnson einen Dreier aus fast sieben Metern in den Korb. Der Italiener spricht im Basket-Jargon von einer «Grande Bomba». Und mit dem 85:75 war der Match endgültig entschieden und «gegessen».

Erinnerungen an den Mai…

Cooper und Thomas Rutherford lieferten, ebenso wie Kostic (feine Zuspiele, wenig Ball­verluste und gute Hand von der Freiwurflinie) und Ilija Vranic (bärenstark) eine superbe Partie. Man konstatiere, dass Boncourt zum Auftakt das einst «Grande Lugano» mit fast 30 Punkten vom Feld geputzt hatte. Die «neuen» Starwings erinnerten, auch den Umstän­den wegen (Absenzen, Ausfälle, nur zwei Profis) an jene Starwings, die von April bis Ende Mai für diverse Wunder oder Unfassbares gesorgt hatten. Womit schon im 1. Heimspiel das «1. Wunder» geschehen ist. Und auf die Frage im Starwings TV, ob man Calasan vielleicht einst wieder bei den «Wings» sehen wird, meinte der Schweiz-Jurassier. «Meine Frau ist Jurassierin, ich bin Familienvater im Jura geworden, ich fühle mich in der Ajoie und dem BCB sehr, sehr wohl und glücklich. Aber auch Birsfelden und die Starwings trage ich im Herzen. Sie sind für den Schweizer Basketball seit jeher eine Bereicherung», so der Center.

Starwings Basket - Jordi Küng

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Genève a fêté ses Lions, malgré la défaite

Pour la première fois depuis dix-neuf mois, le public est revenu samedi encourager son équipe de basket, décimée par les blessures et vaincue par Massagno.

L’Esplanade du Pommier vit à nouveau au Grand-Saconnex. Samedi, une heure et demie avant le coup d’envoi (17 h 30) du premier rendez-vous des Lions de Genève à domicile cette saison, la jeunesse a joué des coudes dans le château gonflable mis sur pied dans le cadre d’une opération salle pleine, dix-neuf mois après le dernier match avec du public. «Pas plus de quatre enfants à l’intérieur», s’est époumoné le préposé à la sécurité alors que la fanfare enchaînait les morceaux sous un doux soleil. Pendant ce temps-là, à l’étage de la salle, Nicole a repris du service à la buvette, plus précisément au stand de barbe à papa. «Ça fait bizarre, nous a raconté l’une des bénévoles du club, à trente minutes du début des hostilités. De revoir le public mais aussi l’équipe. Un an et demi plus tard, on ne connaît plus aucun joueur. Mais on espère qu’ils vont bien jouer aujourd’hui (ndlr: samedi) pour lancer la saison et donner envie aux gens de revenir dans les semaines à venir.»

Infirmerie bien remplie

Peu avant le coup d’envoi, sur le banc des Lions, les visages étaient fermés. Hayden Lescault, gravement blessé au genou, était en civil, les béquilles en contrebas. Autre recrue, Justin Solioz s’est fait triturer le bas du dos alors que le président, Imad Fattal, est venu s’enquérir de l’état de santé de Brandon Kuba, incertain avant la partie. Marco Portannese, lui, était bien forfait. Le joueur suisse, auteur de 20 points à Monthey lors de la première journée, a «laissé» une partie de sa cheville au Reposieux. C’est dans ce contexte lié à l’infirmerie que les Lions ont abordé leur affrontement avec Massagno. L’armada tessinoise a également ses soucis (ndlr: Danijel Andjelkovic et Dusan Mladjan sont blessés), sauf qu’elle regorge de talents offensifs à tous les postes: Vernon Taylor et Isaiah Williams – «mon meilleur joueur», dira son coach, Robbi Gubitosa – l’ont prouvé en première mi-temps. Mais ce sont les protégés d’Andrej Stimac, patients en attaque et solidaires en défense, qui ont dominé les débats pendant trois quart-temps. Et puis Roberto Kovac est entré en scène. L’ex-tireur d’élite des Lions, honoré avant la partie après son départ cet été, a été fantomatique pendant vingt-cinq minutes. Avant de marquer cinq paniers primés et réduire à néant les efforts genevois, 64-76 en score final. «J’ai eu besoin d’un tir pour me mettre en confiance, a confié l’international suisse. L’hommage que j’ai reçu m’a sorti un peu de mon match, et j’ai eu du mal à trouver mon rythme. Mais je veux dire merci au club pour cette attention. J’ai tellement de beaux souvenirs ici.» Andrej Stimac, son ancien entraîneur, aimerait s’en fabriquer de nouveaux, à l’avenir. Mais il sait que le chemin sera long et ardu. «On a livré un match courageux avant de se précipiter en attaque, a analysé le technicien genevois. J’apprécie mon contingent, mais il y a peut-être un peu moins de qualité qu’avant pour jouer contre des adversaires aussi performants. C’est notre réalité, et il va falloir retourner au charbon. Notre équipe est nouvelle et a besoin de temps pour s’améliorer offensivement.»

Swiss Central mercredi

Sauf que du temps, la rotation à huit joueurs des Lions n’en a pas. Elle retrouvera mercredi déjà le néo-promu Swiss Central, qui a battu un Monthey affaibli ce week-end. En pleine semaine, il n’y aura sans doute pas 893 spectateurs, comme cela a été annoncé samedi. Mais le public du Pommier, que l’on a trouvé timide au début de la rencontre avant de se prendre au jeu en deuxième mi-temps, est vivement appelé à venir jouer son rôle de sixième homme pour son équipe, qui en a grand besoin en ce début de saison.

Tribune de Genève - Jérémy Santallo

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TV Reports

Léman Bleu : Les Lions de Genève retrouvent enfin leur public 19.10.2021

Face aux meilleurs, Union prouve sa valeur

Les jeunes Neuchâtelois se rachètent après leur faux-départ à Nyon. Ils ont poussé le champion de Suisse Fribourg Olympic dans ses derniers retranchements.

Il est des défaites bien plus rassurantes que certaines victoires. Celle concédée par Union samedi à la Riveraine face à Fribourg Olympic (56-67) en fait indiscutablement partie. Les hommes de Mitar Trivunovic n’ont assurément pas manqué les retrouvailles avec leur public, qui malgré le certificat Covid, a répondu présent en nombre (765 spectateurs). Or, avant la rencontre, les questions étaient légitimes sur la véritable valeur du contingent neuchâtelois. Ce d’autant plus après la défaite initiale à Nyon face à une équipe qui s’est certes renforcée, mais qui avait quand même bouclé l’exercice précédent à la dernière place. Cependant, contre le champion de Suisse en titre – et grand favori à sa propre succession -, les Neuchâtelois ont prouvé qu’ils ont parfaitement le niveau pour jouer un rôle en vue en SB League. Pour autant qu’ils s’en donnent la peine. Ce qu’ils ont fait pendant quasiment toute la partie face à Olympic. A trois minutes de la fin, en effet, les visiteurs ne comptaient toujours que deux points d’avance (54-56). «Après la défaite à Nyon, l’orgueil s’est réveillé», note à juste titre Killian Martin, désigné meilleur joueur de son équipe. Cela s’est traduit par une débauche d’énergie de tous les instants et une rigueur défensive qui a longtemps mis en difficulté les visiteurs. «Pendant une bonne partie du match, nous avons connu les pires difficultés», confirme le Fribourgeois Robert Zinn. «Neuchâtel nous a empêché de jouer notre jeu.» Cela aussi grâce à la performance XXL de Daniel Giddens qui a réussi cinq contres en première période! Mais aussi à l’intégration progressive de Chad Timberlake, joueur d’expérience s’il en est, qui a été en mesure de jouer plus de 18 minutes contre Fribourg contre à peine 4 à Nyon. Une rotation supplémentaire bienvenue pour une équipe qui manque cruellement d’alternatives par rapport aux cadors du championnat (Fribourg peut compter sur dix joueurs de niveau comparable). Pour prometteur qu’il soit, par exemple, le jeune Saban Mehic n’a pas encore l’envergure pour se frotter aux meilleurs. Donc, dans un match aussi physique, la gestion des fautes devient primordiale. «J’en ai commis deux évitables», reconnaît Killian Martin, «et je me suis retrouvé assez vite à quatre. Je n’ai pas pu fournir la même intensité. Mais cela fait aussi partie de l’apprentissage.»

«Pas eu peur de Fribourg»

Indiscutablement. Parmi les autres facteurs qui expliquent la défaite, Mitar Trivunovic évoque le fait que l’équipe a joué «trop lentement en deuxième mi-temps. En outre, nous avons commis quelques erreurs de concentration en défense et avons laissé trop de rebonds offensifs à nos adversaires.» Si le score est resté très longtemps serré, Petar Aleksic, l’entraîneur d’Olympic, a raison de souligner qu’après la pause, son équipe est «presque toujours restée en contrôle de la partie». Quand les Unionistes faisaient mine de se rapprocher, les Fribourgeois douchaient leurs ardeurs avec quelques paniers primés. Reste que, comme le souligne le coach, les Unionistes «n’ont pas eu peur de Fribourg» et que «le moral est bien meilleur qu’après la défaite à Nyon», ajoute Killian Martin. Il faudra bien une équipe au sommet de son art pour sortir indemne du déplacement de mercredi (19h30) à Massagno face à une équipe qui se profile comme le seul rival crédible de Fribourg sur la durée. Surtout après sa victoire de samedi à Genève (64-76).

ArcInfo - Emanuele Saraceno

Jouer bien au moment opportun

Emprunté offensivement, Fribourg Olympic finit par faire la différence à Neuchâtel. Victoire 56-67

Tout ne tourne pas encore rond au sein du Fribourg Olympic. Mais samedi à Neuchâtel, face à un Union orgueilleux qui avait sa défaite subie à Nyon une semaine plus tôt à se faire pardonner, le triple champion de Suisse en titre a joué bien au moment le plus opportun: en fin de rencontre, lorsque les pensionnaires de la Riveraine, fatigués, étaient sur le point de rompre. A longue distance, Boris Mbala le premier a tiré sur l’élastique neuchâtelois, avant que Slobodan Miljanic puis Natan Jurkovitz, derrière la ligne des 6 m 75 toujours, ne le fasse définitivement craquer. Score final: 56-67. Et la confirmation que partout où ils se rendront cette saison, les protégés de Petar Aleksic seront attendus de pied (et mains) ferme.

Précieux Mbala

Offensivement, c’est à longue distance qu’Olympic, mené de 7 points après 18 minutes (29-22) puis encore d’une longueur à la pause (29-28), a trouvé son salut. Sous leur panier en revanche, les visiteurs ont parfaitement tenu le choc, la petitesse du score en témoigne. «Un des points positifs est d’avoir réussi à museler les deux plus gros «scoreurs» de Neuchâtel, Fofana et Colon», analyse Petar Aleksic. L’entraîneur fribourgeois a apprécié la manière dont ses joueurs se sont serré les coudes lors d’une deuxième mi-temps durant laquelle ils ont dégagé la meilleure impression visuelle, sans que celle-ci se traduise au tableau d’affichage. Ou tardivement seulement. Nul doute que «coach Petar» a aussi goûté la performance des deux côtés du terrain de son capitaine Boris Mbala, le plus souvent commis aux basques du talentueux Selim Fofana qu’il a contribué à garder à 8 petites unités. Contre 16 pour l’arrière gruérien, bien décidé, à 25 ans, à passer un cap en attaque. Slobodan Miljanic, lui, n’a plus rien à prouver. Même diminué par une épaule gauche douloureuse, le polyvalent Monténégrin a été l’homme du «money time». Plus que ses deux réussites à trois points, la passe qu’il fait à Arnaud Cotture à 34 secondes du coup de sirène final alors qu’il aurait pu prendre lui-même le tir est un signe d’intelligence (56-64). Donc, d’importance. Voilà pour le verre à moitié plein. Mais ce déplacement chez un adversaire rajeuni qui a donné les clés de la maison à ses joueurs suisses n’a pas manqué de soulever quelques interrogations. Le 0 sur 6 de Milos Jankovic en est une, à l’image de la performance générale des intérieurs d’Olympic, sur lesquels Killian Martin et Daniel Giddens ont pris le dessus. Après 20 minutes, le double mètre américain d’Union Neuchâtel avait déjà «claqué» 5 contres. Et si Giddens s’est révélé moins intimidant en attaque, le mal était fait: les pénétrations fribourgeoises sont devenues plus rares et moins tranchantes… «Neuchâtel a joué sans pression, a mis beaucoup d’intensité et nous n’avons jamais trouvé notre rythme», résume Robert Zinn, le No 13 «olympien», dont les coéquipiers ont trouvé autre chose, plus importante encore: «Un chemin pour gagner.»

La Liberté - Pierre Salinas

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Canal Alpha : Emission le Canal Sportif du lundi 18 octobre - Match Union Neuchâtel Basket - Fribourg Olympic (dès 17 min et 10 sec) 19.10.2021

Swiss Central setzt starkes Ausrufezeichen

Der Zentralschweizer NLA-Rückkehrer gewinnt sein erstes Heimspiel gegen den BBC Monthey-Chablais verdient mit 86:74 (37:32).

Als Swiss Central Basketball in der Saison 2019/2020 letztmals in der NLA spielte, verliefen viele Partien nach einem ähnlichen Muster: Die Zentralschweizer spielten zu Beginn gut mit, ehe im dritten oder spätestens im vierten Viertel der Einbruch erfolgte. Am vergangenen Samstag, beim ersten Heimspiel nach dem Wiederaufstieg, war das anders. Auch dieses Mal gestaltete das Swiss Central das Spiel gegen den favorisierten BBC Monthey-Chablais zu Beginn ausgeglichen – ja es reichte gar zu einer knappen Halbzeitführung. Nach der Pause folgte aber nicht etwa der Einbruch – nein, ganz im Gegenteil. Swiss Central zündete viel mehr den Turbo und spielte sich zeitweise in einen Rausch. Ein vorübergehender 25:6-Lauf (!) brachte nicht nur erstmals richtig Stimmung in die Halle, sondern sorgte auch für die Vorentscheidung.

Leemans mit starker Wurfquote

Nach der harten 57:100-Klatsche zum Saisonauftakt bei Meister Fribourg, zeigte Swiss Central gegen Monthey damit eine starke Reaktion. Klar, die Walliser sind nicht mehr so stark wie vor einigen Jahren, als der Klub zwischen 2003 und 2007 zwei Meistertitel und ebenso viele Cupsiege holte. Und ja, Monthey musste in Reussbühl auf den Amerikaner JaCori Payne und damit wohl auf seinen besten Spieler verzichten. Und doch darf der Erfolg von Swiss Central als grosser Erfolg bezeichnet werden. Das betont auch Stan Leemans. Mit 13 Punkten und einer herausragenden Trefferquote (85 %) leistete der Center, der im vergangenen Frühling nach mehreren Saisons in Belgien zu seiner «Herzensverein» zurückkehrte, einen wesentlichen Beitrag zum Erfolg seines Teams.

SCB-Amerikaner harmonieren im Angriff

«Ich bin sehr glücklich mit dem Spiel», so Leemans. «Nach der Niederlage in Fribourg wollten wir besonders in der Defensive aggressiver auftreten, was sehr gut funktionierte.» So sei es zum Beispiel viel besser gelungen, die Passlinie zuzumachen; also zu verhindern, dass der Gegner allzu leicht sein Spiel aufziehen kann. Immer wieder gelang es der SCB-Verteidigung, den Ball zu erobern und über schnelle Gegenangriffe zu einfachen Punkten zu kommen. Mit fünf geklauten Bällen führte Antwoine Anderson die «Steals»-Statistik an. Apropos Anderson: Der amerikanische Spieler kündigte bereits vergangene Woche an, dass er stets versuche «eine Show» abzuliefern. Was er damit meinte, zeigte er knapp vier Minuten vor Schluss. Zur Krönung eines erfolgreichen Gegenstosses setzte Anderson seinen amerikanischen Mitspieler (und Mitbewohner) Michael Philipps mit einem spektakulären «Alley-Oop»-Zuspiel in Szene. Anderson spielte einen hohen Pass auf Philipps, der den Ball aus der Luft fing und brachial in den Korb stopfte. Was für ein Ausrufezeichen von Swiss Central Basketball! Morgen geht das NLA-Abenteuer für Swiss Central beim amtierenden Cupsieger Genf weiter.

Luzerner Zeitung - Daniel Schriber

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Nikolic deluso dai suoi Tigers

Debutto casalingo da dimenticare per il Lugano contro il Nyon – Il coach: «Non ho visto la grinta che avevo chiesto»

Fine settimana dai due volti per le ticinesi del basket nella seconda giornata di campionato. Ieri, invece, al suo debutto casalingo il Lugano è caduto, anche abbastanza pesantemente, contro Nyon. Una sconfitta figlia di limiti fisiologici (leggasi età media in campo) ma anche di un atteggiamento troppo remissivo.

Acqua da tutte le parti

Partiamo da qui, allora, dalla battuta d’arresto dei bianconeri di Milutin Nikolic, uscito piuttosto deluso dalla sfida domenicale con il Nyon: «Mi aspettavo qualcosa di diverso dai miei giocatori. Questa partita era importante per prendere fiducia, al di là del risultato. Ho chiesto loro di entrare in campo aggressivi, di metterci grinta e invece non ho visto nulla di tutto questo, e fin dalla prime battute. Il primo tempo non è stato all’altezza, in difesa non ha funzionato nulla. È chiaro che così poi prendi certi distacchi». Nella disamina del tecnico serbo c’è tutto il sunto del pomeriggio storto dei Tigers. I cui limiti, come detto, sono sicuramente noti e strettamente legati alla giovane età del roster a disposizione, che diventano però insuperabili se alla mancanza di esperienza non si affianca l’atteggiamento giusto. Un discorso però da allargare a tutta la rosa, perché ieri il Lugano ha iniziato ad imbarcare acqua praticamente dalla palla a due, con in campo il quintetto base, finito distante già dopo metà primo quarto (1021). Troppo avari di soluzioni offensive al di fuori dei tre stranieri (tutti loro i punti nel primo tempo, esclusi i due di Bernardinello), più che permeabili in difesa (in particolare in transizione, con 19 punti in contropiede concessi ad una squadra che ama correre), i padroni di casa si sono ritrovati con poche armi per contenere la verve dei vodesi, arrivati anche a +34 (35-69 al 27’). Questa settimana sarà intensa: prima gli Starwings, mercoledì in trasferta, poi il derby casalingo di sabato. Occorrerà stringere qualche bullone, soprattutto in retroguardia, e un pizzico più di carattere e meno remissività. La strada per crescere passa anche da questo.

Corriere del Ticino - Mattia Meier

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TV Reports

RSI : La Domenica Sportiva del 17 ottobre : I Tigers non graffiano il Nyon 18.10.2021
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