News Center

Et à la fin, c’est Olympic qui gagne

Olympic a remporté, non sans peine, le choc de la 31e journée de SB League face aux Lions de Genève

«Je n’ai pas envie de perdre contre Genève», déclarait Natan Jurkovitz la semaine dernière. Mission chichement accomplie pour le Villarois et Fribourg Olympic qui ont battu samedi pour la quatrième fois de la saison leur meilleur ennemi (93-83). Affronter des Lions de Genève indomptables, comme en attestaient leurs six victoires consécutives depuis l’arrivée de Dragan Andrejevic à leur tête à la mi-mars, alors qu’eux-mêmes restaient sur deux succès poussifs contre Nyon et Monthey, le défi était de taille samedi pour Petar Aleksic et ses hommes. «Nous jouons désormais plus vite et plus intelligemment, ce qui fait que nous arrivons à battre des équipes que nous ne battions pas avant», explique l’arrière villarois des Lions Thomas Jurkovitz, parfaite incarnation de la renaissance genevoise depuis la nomination du technicien serbe, lui qui a vu son temps de jeu prendre l’ascenseur.

Coups pour coups

Bien emmenés par l’ex-Olympien Slobodan Miljanic, nommé capitaine en l’absence de Bryan Colon (lire ci-dessous), les visiteurs ont pendant une douzaine de minutes fait jeu égal avec leurs hôtes, avant que ces derniers ne creusent un premier trou (47-34, 19e), sous l’impulsion d’Arnaud Cotture (8 points) et Natan Jurkovitz (14 points). On pensait alors le rouleau compresseur fribourgeois enclenché, et pourtant… Au rythme où les balles se soustrayaient des mains fribourgeoises dans le troisième quart, permettant aux Lions de reprendre les commandes de la partie (61-62, 30e), c’est la perte de la rencontre qui se dessinait pour les pensionnaires de la salle Saint-Léonard. «Deux ou trois fois nous avons carrément déposé des ballons dans les mains de nos adversaires. C’était incroyable. Même en U14 tu ne fais pas ce genre d’erreur. C’est arrivé aujourd’hui (ndlr samedi) et j’espère que ça n’arrivera plus jamais», peste Roberto Kovac.

Final haletant

C’est finalement à coups de rebonds offensifs, sept rien que durant les neuf dernières minutes, et de banderilles à longue distance du dernier cité, auteur de 15 des 32 points de son équipe dans l’ultime quart, que le champion de Suisse en titre a pris la mesure des hommes de Dragan Andrejevic dans une atmosphère qui sentait bon les play-off. «Fribourg est l’équipe qui joue le plus dur de la ligue. Il fallait donc que nous répondions avec du contact et à la fin, avec notre courte rotation, c’est ce qui nous a manqué», analyse Thomas Jurkovitz. «Je suis satisfait de cette victoire et de l’état d’esprit affiché par mes joueurs qui, grâce à leur agressivité, ont dominé le secteur des rebonds (ndlr 36 contre 23)», analyse Petar Aleksic, qui en attend toutefois davantage contre Vevey mercredi et Massagno samedi. «Nous devrons être plus constants, jouer plus intelligemment et exécuter une meilleure défense, en communiquant mieux et en commettant moins de fautes bêtes», conclut le coach fribourgeois.

La Liberté - Clara Francey

Première défaite concédée sous l'ère Dragan Andrejevic par les Lions de Genève pwd by Grand-Saconnex à la salle Saint-Léonard face à Fribourg Olympic. Les genevois se retrouvent dorénavant à deux journées de la fin à 4 pts de Vevey Riviera Basket 3ème qui n'a fait qu'un bouchée dimanche de Starwings Basket. L'espoir persiste pour les pensionnaires du Pommier de ravir ce 3ème rang aux vaudois, à la condition qu'ils remportent leurs deux derniers matches et que les hommes de Niksa Bavcevic s'inclinent à deux reprises. Il va être vraiment difficile dorénavant pour les fribourgeois de reprendre la première place à Spinelli Massagno qui s'est imposé à domicile face au BBC Nyon. Ils vont devoir compter en tous les cas sur une défaite des tessinois mercredi prochain à la salle Nosedo face au dernier du classement Swiss Central Basketball. Un match assez équilibré jusqu'au milieu du 2ème quart-temps avant que les hommes de Petar Aleksic ne fassent la différence comptant jusqu'à 14 pts d'avance au début du 3ème quart-temps. Superbe réaction dans la foulée des genevois qui sont même repassés devant juste avant le money-time. Ils ont cédé finalement en fin de match. Le secteur du rebond a fait la différence 23 contre 36 dont 14 en phase offensive en faveur des fribourgeois, 5 sur 16 à 3pts contre 8 sur 24. Début de match très équilibré entre les deux équipes avec une avance maximum de 6pts en faveur des pensionnaires de Saint-Léonard à la fin du 1er quart-temps. Un partiel de 6 à 0 dès la 15ème a permis aux joueurs locaux de se forger une avance de 10 longueurs à la 16ème, 39 à 29. 47 à 37 à la pause. Les hommes de Dragan Andrejevic ont compté jusqu'à 14 longueurs de retard à la 23ème, 55 à 41, avant une superbe réaction des genevois. Un partiel de 2 à 16 qui leur a permis de revenir à hauteur à la 26ème, 57 à 57. Deux L-F de Jeremiah Paige leur ont même permis de passer devant juste avant le début du money-time, 61 à 62. 79 à 76 encore à la 37ème, avant que deux paniers à 3pts de Roberto Kovac et un de Boris Mbala ne fassent basculer le match en faveur des fribourgeois, 89 à 77 à la 39ème. Défaite au final 93 à 83 pour les pensionnaires du Pommier. A mettre en évidence pour les Lions de Genève pwd by Grand-Saconnex les 17 pts, 4 rbds de Erik Thomas, les 14 pts, 3 rbds, 2 ass, 3 int de Jeremiah Paige et les 16 pts, 2 rbds, 4 ass, 2 int de Slobodan Miljanic. Les meilleurs fribourgeois, Antonio Ballard 14 pts, 7 rbds, Roberto Kovac 22 pts, 3 ass et Natan Jurkovitz 14 pts, 3 rbds, 3 ass, 2 contres

SAM, primo posto quasi certo

Con Cabibbo in panchina al posto di Gubitosa (squalificato 4 turni) il Massagno ha battuto agilmente il Nyon Per chiudere in testa basta un successo mercoledì con il fanalino di coda Swiss Central

Turno di campionato che ha sorriso alla SAM Massagno ma non al Lugano, quello andato negli annali nel fine settimana. A Nosedo, la squadra della collina si è liberata di Nyon, cementando ulteriormente la prima posizione in classifica.

Obiettivo quasi raggiunto

Con il viceallenatore Salvatore Cabibbo in prima linea a causa della sospensione rimediata da Robbi Gubitosa, squalificato per quattro giornate in seguito all’espulsione per proteste nel derby, la Spinelli si è quindi presa altri due punti, gli ennesimi di questa stagione, e si trova ora a soli 40 minuti dalla certezza del primo posto finale. Una sicurezza che dovrebbe arrivare definitivamente mercoledì, sempre tra le mura amiche, contro il fanalino di coda Swiss Central. L’obiettivo è ampiamente alla portata, soprattutto se i ticinesi riusciranno a ripetere la prestazione di sabato contro il Nyon. Ci hanno provato, i vodesi, a dare fastidio alla capolista, ma dopo essere finiti presto a rincorrere, gli ospiti escluso un paio di passaggi e metà secondo quarto - non sono mai riusciti a mettere davvero in apprensione capitan Andjelkovic e compagni. Merito di quest’ultimi, a differenza del derby scesi in campo concentrati e aggressivi sin da subito. La SAM è stata solida nel gestire il vantaggio, rispondendo presente ai tentativi di approccio altrui per poi involarsi nuovamente dopo la pausa. Il tutto senza doversi più preoccupare troppo di guardarsi indietro. Ha difeso forte, il Massagno, forzando ben 17 palle perse al Nyon (trasformate in 28 punti) e limitando al minimo le sue (7). Numeri utili a tenere a bada i romandi, in un pomeriggio da 50% al tiro per loro, e mai domi per quanto costretti a una lunga rincorsa. Iniziata già all’alba del match, con la SAM subito a +10 (19-8 dopo 6’), e poi presente nel secondo quarto nel rispondere all’unico vero momento buono del Nyon, risalito a -5 (38-33 al 17’) ma subito rispedito indietro (50-37 a metà partita). Un +13 fattosi rapidamente sentenza al rientro dalla pausa lunga, merito della nuova fuga in avanti della Spinelli, involatasi fino al +18 prima (64-46 al 27’), e poi anche oltre quota 20 nei primi minuti dell’ultimo quarto (78-54 al 34’), distacco a quel punto da titoli di coda.

Il giusto approccio

«Abbiamo avuto un buon approccio alla partita - le parole di Salvatore Cabibbo ai microfoni della RSI -. Per noi è importante terminare al primo posto ed evitare passi falsi. In attacco abbiamo lavorato insieme, condividendo la palla e lavorando bene contro il loro “pick and roll” difensivo nel primo tempo. Dopo la pausa loro hanno cambiato difesa ma noi ci siamo adeguati con testa e disciplina».

Corriere del Ticino - Mattia Meier

Boncourt a fini par passer l’épaule

Le BC Boncourt a mis beaucoup de temps pour prendre la mesure des Lugano Tigers, qui ne se sont présentés qu’avec un seul étranger (Isaiah Ross), le topscorer de l’ensemble de la ligue). Qu’importe, la très bonne affaire est pour lui. Vainqueurs 75-68 samedi en début de soirée dans le chaudron, les joueurs d’Etienne Faye ont progressé, d’un seul coup, de deux places dans la hiérarchie et subtilisé le 6e rang à leur adversaire du jour. Un immense pas en avant a ainsi été réalisé en vue d’une accession aux play-off, alors qu’il ne reste plus au programme des Jurassiens qu’un seul match dans le championnat régulier, mercredi prochain (19 h 30), toujours à domicile, contre Union Neuchâtel. Disons-le tout de suite, le BCB, qui devait s’imposer au vu des forces en présence, a réussi à assumer sa mission sans grand relief. «C’était probablement le match le plus important de la saison», glisse le topscorer Martins Igbanu. «Le gagner nous donnait un pourcentage bien plus élevé de chances d’atteindre les play-off et nous permettait de garder notre destin dans nos mains.» Mais l’équipe d’Etienne Faye, amorphe, sans venin et apathique, n’a pas donné l’impression d’en être consciente en première mi-temps. «Parfois, cela peut être vu ainsi, mais c’était exactement l’opposé», assure l’intérieur nigérian. Boncourt avait bien mesuré l’enjeu de cette rencontre, «mais on l’a pris trop à coeur. Du coup, était un peu tendu parce qu’on était en fait trop focalisé là-dessus.» D’où un jeu bien souvent sclérosé.

«On n’arrivait pas à trouver notre rythme»

«En première mi-temps, il y a eu beaucoup de problèmes de communication. Il faut dire que Lugano a diversifié ses types de défense. Une fois c’était de l’homme à homme, une fois de la zone. Dès lors, on n’arrivait pas à trouver notre rythme», poursuit Igbanu. De l’autre côté du terrain, quand on pouvait faire dérailler l’attaque tessinoise, «on ne finissait pas le travail et on leur laissait des rebonds offensifs». Le visiteur a aussi beaucoup dégainé à longue distance. Il a tenté exactement la moitié de ses 72 tirs derrière la ligne des 3 points. Avec un taux de réussite décent avant la pause (33,3 %) et bien moins convaincant après (3 sur 18, 16,7 %).

Martins Igbanu a fait la différence

Le BCB, qui avait pu remettre dans son jeu un Kevin Monteiro la plupart du temps dans le dur, ainsi que Philippe Eyenga, n’a lui pas trouvé la mire dans cet exercice (3 sur 20 sur l’ensemble du match). Ainsi, profitant du peu de mouvement mis par les locaux, Lugano, bon an mal an, a pu s’offrir jusqu’à 11 unités d’avance (24-35, 16’06’’), en conserver encore 6 après 32’39’’ (56-62), puis 1 après 37’10’’ (66-67). Fort heureusement, la machine Martins Igbanu – 14 points personnels dans l’ultime quart-temps – s’était déjà mise en action et le topscorer a fini par offrir ce succès essentiel au BCB, alors que cela avait longtemps senti le roussi. «Le sentiment d’urgence? C’est le mot qui convient parfaitement», en convient le Nigérian. «Quand il restait 4 minutes et qu’on était à -1, je me rappelle avoir dit: ‘C’est maintenant.’ Ma contribution en fin de match est fortement liée à mes coéquipiers, ils m’ont donné le ballon au bon endroit. Il faut leur donner crédit, mais c’est vrai aussi que porter l’équipe était quelque chose que je voulais, et je savais que je pouvais le faire.» Grâce à cela, le BCB jouera très certainement les play-off, pour lesquels il n’est toutefois pas encore mathématiquement qualifié.

Le Quotidien Jurassien - Frédéric Dubois

Swiss Central Basketball bleibt in dieser Saison weiterhin ohne Auswärtssieg und musste sich am Sonntag bei Union Neuchâtel Basket geschlagen geben. Die letzte Chance für die Luzerner besteht am kommenden Mittwoch beim Leader Spinelli Massagno, der gewinnen muss, um sich definitiv den ersten Platz am Ende der regulären Saison zu sichern. Die Männer von Rajko Krivokapic hielten 25 Minuten lang gut dagegen, bevor die Neuenburger in Führung gingen. Die Mannschaft von Mitar Trivunovic sicherte sich damit den fünften Platz und wartet nun auf den Gegner im Viertelfinale der Play-offs um den Titel, der entweder die Lions de Genève pwd by Grand-Saconnex oder Vevey Riviera Basket sein wird. Die Luzerner wurden in fast allen Bereichen des Spiels dominiert, 18 von 42 Zweipunkten gegen 21 von 38, 8 von 24 Dreier gegen 11 von 24, sowie 29 Rebounds gegen 43. Die Bewohner von La Riveraine starteten sehr gut in das Spiel und führten schnell mit 11 Längen Vorsprung, 17 zu 6 in der 5. Min. Die Luzerner schafften es jedoch, den Kontakt zu halten und kamen im zweiten Viertel sogar zweimal auf drei Längen heran. Zur Pause stand es 46 zu 41. 52 zu 51 sogar in der 23. Min, bevor die Luzerner eine Schwächephase erlebten und einen 10 zu 0 Zwischenspurt kassierten, 62 zu 51 in der 26. Min. Der Beginn des vierten Viertels besiegelte das Schicksal dieses Spiels, in dem die Bewohner der Riveraine dank eines 9 zu 0 Zwischenspurts einen Vorsprung von 19 Längen herausspielten, 75 zu 56 in der 33. Min. Am Ende verlor Swiss Central Basketball mit 84 zu 68. Hervorzuheben sind für die Bewohner der Staffeln die 19 Pkt, 5 Rbds, 8 Ass von Tre'vion Lamar, die 16 Pkt, 5 Rbds von Julian Roche und die 14 Pkt, 8 Rbds, 2 Ass von Stan Leemans. Die besten Neuenburger Dalan Ancrum 23 Pkt, 9 Rbds, 5 Ass, Justin Roberts 18 Pkt, 4 Rbds, 7 Ass, 2 steals und Arkim Robertson 12 Pkt, 12 Rbds, 2 Ass, 2 steals, 3 Blocks. Erwähnenswert sind auch die 12 Pkt, 6 Rbds, 4 Ass, 3 Blocks von Killian Martin und die 4 Pkt, 5 Rbds, 4 Ass, 2 steals von Nathaniel West, der wieder in den Wettkampf zurückkehrte

Eine Saison zum Vergessen für die Starwings neigt sich dem Ende zu: Kanterniederlage und NBA-Star zum Saisonabschied der Heimfans

Die Starwings bestritten ihr letztes Nationalliga-A-Heimspiel der Saison gegen Vevey Riviera Basket, bevor noch zwei Auswärtspartien anstehen. Zum Saisonausklang durfte das Heimpublikum mit NBA-Rückkehrer Thabo Sefolosha einen Star im Gästeteam begrüssen. Da das Verpassen der Playoffs bereits vor dem Spiel feststeht, hat diese Partie für die Starwings keine sportliche Relevanz mehr. Und so geht es bei der deutlichen 53:100-Niederlage gegen Vevey lediglich noch darum, sich bei noch zwei ausstehenden Auswärtsspielen anständig vom Heimpublikum zu verabschieden. Dass dabei ausgerechnet Vevey mit dem grössten Schweizer Basketballer, Thabo Sefolosha, den Wings gegenübersteht, ist passend für die Stimmung in der Halle. Der erste Schweizer NBA-Spieler wird vom Heimpublikum lautstark und wohlwollend empfangen und nimmt sich auch nach Spielschluss nach lange Zeit für Fotos mit seinen Fans, bis er sich sich entschuldigend in die Kabine zu seinem Team begibt.

Gründe für die Niederlage und die schlechte Saison

Dass die Starwings gegen Vevey chancenlos waren, hatte ganz ähnliche Gründe, wie das enttäuschende Verpassen der Playoffs. Das Basketball-Aushängeschild der Nordwestschweiz hatte grosses Verletzungspech zu beklagen und insbesondere in der Breite zu wenig Qualität, die gewichtigen Ausfälle auffangen zu können. Präsident Pascal Donati und sein Team haben den mit Rückenproblemen ausgefallene US-Amerikaner Noah Dickerson im Februar noch durch den Landsmann Tarekeyi Edogi ersetzt. Bei den Ausfällen von Andrija Matic und nun auch noch De’Shawn Williams wurde dies nicht mehr gemacht. «Aufgrund der Tabellensituation machte es keinen Sinn, dann noch zu reagieren. Wären wir vierte oder fünfte gewesen, hätten wir sofort Ersatz geholt», erklärte Donati die Situation auch dem Team. Auch Headcoach Antonios Doukas machte nach Spielschluss ebenfalls auf die Verletztenliste aufmerksam: «Mit diesem Team voller Junioren ist schlichtweg nicht mehr möglich. Aber ich möchte jetzt keinen Schuldigen benennen.», konnte er seinen Frust nicht verbergen, Dass das Verhältnis zwischen dem Team und dem Trainer angespannt ist, wurde beim 14:33-Rückstand nach dem ersten Viertel deutlich: Bei der Teambesprechung waren sich der neu verpflichtete Edogi und Doukas in taktischen Belangen hörbar uneinig und nutzen die Taktiktafel, um ihren Standpunkt klarz machen. Generell machte Doukas keine Anstalten, seine Unzufriedenheit zu verheimlichen. Seine gestenreichen Anweisungen direkt an der Aussenlinie brachten offensichtlich wenig spielerische Verbesserungen mit sich. Und die Diskussionen mit Leader Edogi verstummten über den ganzen Spielverlauf nicht. Das treue Publikum glaubt allerdings weiter daran, dass die Wings nächste Saison wieder die Playoffs erreichen werden. Die Mutter von Louis Jeanrenaud, die den Zürcher in Diensten der Starwings in breitestem Dialekt lautstark unterstützte, sieht trotz des Verpassens der Playoffs eine gute Entwicklung im Team der Wings: «Das Tempo und die Qualität hat merklich und von Spiel zu Spiel zugenommen.»

Basler Zeitung - Cédric Oppliger