Lions de Genève U23 pwd by Grand-Saconnex - GC Zürich Wildcats 1-0
Villars Basket - Morges-Saint-Prex Red Devils 1-0
Die Lions de Genève U23 pwd by Grand-Saconnex kamen von ganz weit hinten, um den ersten Punkt in der Halbfinalserie im Pommier gegen die GC Zürich Wildcats zu holen. Die Mannschaft von Aner Lev Ron lag Mitte des dritten Viertels mit 15 Punkten zurück, bevor sie das Spiel noch drehen konnte und gewann. Die Zürcher Mannschaft, die über 30 Minuten lang vorne lag, bedauerte die Niederlage. Die Bewohner von Im Birch verloren das Spiel an der Freiwürfe-Linie, 15 von 28 gegen 16 von 17. 20 Punkte erzielten die Genfer durch Gegenangriffe gegen 4. 30 Punkte erzielten sie im Innensektor gegen 20. Nach einem ausgeglichenen Start mit 8 zu 9 in der 6. Min übernahmen die Zürcher die Führung und erarbeiteten sich einen 8-Punkte-Vorsprung in der 8. Min, 10 zu 18. In der 13. Min erreichte der Vorsprung sogar ein Maximum von 12 Punkten, 15 zu 27, nachdem die Genfer zu Beginn des zweiten Viertels bis auf 3 Punkte herangekommen waren. Ein 10 zu 0-Lauf brachte die Genfer in der 15. Min, 25 zu 27, wieder auf Kurs. Das Ende des ersten Abschnitts gehörte jedoch den GC Zürich Wildcats, die mit 32 zu 41 in die Pause gingen. In der 25. Min betrug der maximale Vorsprung 15 Pkt, 40 zu 55 für die Zürcher. In der 26. Minute stand es noch 45 zu 58, bevor die Genfer eine tolle Reaktion zeigten und bis zum Beginn der Money-Time auf zwei Punkte herankamen, 61 zu 63. 68 zu 69 in der 36. Min, bevor die Männer von Aner Lev Ron mit sieben Punkten in Folge einen kleinen Vorsprung herausspielen konnten 75 zu 69 in der 38. Min. 75 zu 72 in der 39. und starke Genfer, die schließlich mit 82 zu 75 gewannen. Die auffälligsten Spieler für die Lions de Genève U23 pwd by Grand-Saconnex Brian Alexander 31 Pkt, 10 Rbds, 3 Ass, 5 Steals, 2 Blocks sowie Abraham Johnson 16 Pkt, 4 Rbds, 6 Ass, 4 Steals. Bei den GC Zürich Wildcats sind die 17 Pkt, 5 Rbds, 2 Ass von Mikael Soares Leite und die 15 Pkt, 10 Rbds von Andrea Mäusli hervorzuheben
Villars rêve d’un titre pour ses 50 ans
Vainqueurs de Morges Saint-Prex samedi lors de l’acte I des demi-finales des play-off, les Villarois ne sont plus qu’à une victoire de retrouver la finale. Ils espèrent revivre les mêmes émotions que lors de leur titre en 2018.
Deuxième de ligue B à l’issue de la saison régulière, j’ai passé le stade des quarts de finale pour retrouver Morges en demi-finales. Je compte Larry Slaughter, Nicolas Reghif ou encore Jeffrey Schwab dans mes rangs. Qui suis-je? Villars Basket évidemment, millésime 2024 mais aussi 2018. 2018, soit l’année du titre historique remporté par les pensionnaires du Platy. C’est peu dire que les comparaisons entre ces deux saisons ne manquent pas. Alors, 2024 sera-t-elle l’année de Villars, qui fêterait ainsi en apothéose ses 50 ans?
Un groupe soudé
Nicolas Reghif, observateur averti du haut de ses 13 saisons au club, pose d’entrée: «Pour moi, c’est totalement différent qu’en 2018. Cette année-là, nous avions un joueur très fort individuellement (Troran Brown, ndlr) qui tirait le groupe vers le haut. Notre force, cette année, c’est que nous avons un groupe soudé. Chaque victoire est une victoire d’équipe.» «Au début de saison, nous n’avions pas nécessairement des ambitions démesurées. Mais l’alchimie a bien pris et nous avons vu que nous pouvons battre tout le monde, détaille Jeffrey Schwab, 10 saisons avec le maillot villarois sur les épaules. La finale, ce serait la cerise sur le gâteau.» L’appétit est donc venu en mangeant pour le club du Platy, qui a engagé Nathan Kasongo en janvier pour se donner pleinement les moyens de rêver. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le transfuge lausannois s’est montré décisif dans l’acte I, en prenant feu à trois points (6/11), dont certains tirs décisifs. Une réussite diabolique derrière l’arc qu’a aussi connue Mansour Kasse (26 points, dont 4/5 à trois points, 10 rebonds). Excepté l’arrivée de Kasongo, Villars fait dans la continuité. Le noyau de l’équipe se compose de fidèles parmi les fidèles comme Reghif et Schwab, mais aussi des Larry Slaughter, de retour au club après une saison à… Morges, Ludovic de Gottrau et autre Léandre Chkarnat.
De l’expérience
Nicolas Reghif n’y voit que des avantages: «Nous nous connaissons par cœur. Nous avons confiance les uns dans les autres, dans notre expérience, dans notre mentalité. Cette ambiance familiale peut faire la différence dans les moments serrés, car nous n’avons pas juste du talent, mais aussi un esprit de groupe très fort.» En plus de cette cohésion manifeste, Villars peut aussi se targuer d’une grande expérience, élément non négligeable dans une quête de titre. Jeffrey Schwab compare: «A l’époque, nous étions sûrement plus fougueux. Nous jouions sur notre vitesse. Mais aujourd’hui (samedi, ndlr), notre fin de match est un symbole de la confiance qui est la nôtre dans ces moments-là. Nous ne paniquons pas et nous arrivons à faire la différence.» De quoi donner aux deux compères des envies de regoûter à l’atmosphère si spéciale des finales, et pourquoi pas, aux joies d’un titre. «L’ambiance lors de la finale en 2018, c’était le feu, se remémore Nicolas Reghif. Nous voulons revivre ça. Pour nous, mais aussi pour offrir ce genre de moments au club et au comité.» Son «pote» acquiesce: «Ce sont des moments qui n’ont pas de prix. J’ai fait une pause de deux ans et l’envie de revivre cela était une grande motivation pour revenir cette saison.» Leur conclusion est limpide: «On se voit en finale.» Et les deux joueurs de toucher du bois, ou plutôt le parquet, en retournant aux vestiaires. Les Villarois ont l’opportunité de passer de la parole aux actes en remportant un deuxième match dès samedi à Saint-Prex.
La Liberté - Valentine Mauron
Les Red Devils une nouvelle fois dos au mur
Samedi soir, Morges-Saint-Prex a mal démarré sa demi-finale de Ligue nationale B en chutant à Villars (85-73). Acte II samedi prochain, au Cherrat (17h30).
Ça en devient presque une (mauvaise) habitude. Comme en quart de finale face à Swiss Central, les Red Devils ont perdu le premier match de la série face à Villars, dans le dernier carré des play-off de Ligue nationale B. L’an dernier, ils avaient connu exactement le même sort en quart et en demie, mais cela ne les avait pas empêchés de filer en finale. «Je n’ai pas d’explication particulière à ça. Samedi, on est juste tombé sur une équipe qui a fait un match de très haut niveau», avoue le coach visiteur Michel Perrin.
Beasley à 50%
A Villars, la rencontre a été extrêmement serrée et disputée. Aucune équipe n’a réussi à prendre plus de six longueurs d’avance avant l’ultime quart-temps et l’échappée fribourgeoise vers la victoire (85-73). «On sait que Villars gagne souvent grâce à des bons derniers quarts, car ils sont capables de durcir le match et ils ont de l’expérience, analyse le tacticien «rouge et blanc». Il nous a manqué un peu d’énergie, de lucidité et d’adresse sur la fin. Et aussi un Marquel Beasley en pleine forme…» L’Américain est gêné par une luxation à un doigt et ça se ressent (10 points à 4/12 aux tirs). Sera-t-il remis, samedi prochain, pour l’acte II au Cherrat (17h30)? «On verra, mais même avec Marquel à 50%, on n’est pas loin et on a les ressources pour l’emporter», termine Michel Perrin.
La Côte - Romain Bory