News Center

Leagues 25.04.2024

NLB Men - Playoffs : Game recap semi finals game 1

Lions de Genève U23 pwd by Grand-Saconnex - GC Zürich Wildcats 1-0
Villars Basket - Morges-Saint-Prex Red Devils 1-0

Les Lions de Genève U23 pwd by Grand-Saconnex sont revenus de très loin pour marquer le premier point dans cette série des 1/2 finales au Pommier face à GC Zürich Wildcats. En effet, les hommes de Aner Lev Ron étaient menés de 15 pts au milieu du 3ème quart-temps avant de parvenir à renverser la situation et à l'emporter. Des regrets forcément du côté de l'équipe zürichoise qui a été devant durant plus de 30 minutes. Les pensionnaires de Im Birch ont perdu ce match sur la ligne des L-F, 15 sur 28 contre 16 sur 17 . 20 pts marqués en contre-attaque pour les genevois contre 4. 30 pts marqués dans la raquette contre 20. Après un début de match équilibré 8 à 9 à la 6ème, les zürichois ont pris les devants se forgeant une avance de 8 pts à la 8ème, 10 à 18. Elle a atteint même un maximum de 12 pts à la 13ème, 15 à 27, après que les genevois soient revenus à 3 longueurs en tout début de 2ème quart-temps. Un partiel de 10 à 0 a remis en selle les genevois 25 à 27 à la 15ème. La fin de cette première période a toutefois appartenu à GC Zürich Wildcats, 32 à 41 à la pause. Une avance maximum de 15 pts à la 25ème, 40 à 55, en faveur des zürichois. 45 à 58 encore à la 26ème avant cette superbe réaction des genevois qui sont revenus à 2 longueurs à l'entame du money-time, 61 à 63. 68 à 69 à la 36ème avant que 7 pts consécutifs des hommes de Aner Lev Ron ne leur permettent de creuser un petit écart 75 à 69 à la 38ème. 75 à 72 à la 39ème et des genevois solides qui l'ont finalement emporté sur la marque de 82 à 75. Les plus en vue pour les Lions de Genève U23 pwd by Grand-Saconnex Brian Alexander 31 pts, 10 rbds, 3 ass, 5 int, 2 contres ainsi que Abraham Johnson 16 pts, 4 rbds, 6 ass, 4 int. A mettre en évidence pour GC Zürich Wildcats les 17 pts, 5 rbds, 2 ass de Mikael Soares Leite et les 15 pts, 10 rbds de Andrea Mäusli

Full game

Villars rêve d’un titre pour ses 50 ans

Vainqueurs de Morges Saint-Prex samedi lors de l’acte I des demi-finales des play-off, les Villarois ne sont plus qu’à une victoire de retrouver la finale. Ils espèrent revivre les mêmes émotions que lors de leur titre en 2018.

Deuxième de ligue B à l’issue de la saison régulière, j’ai passé le stade des quarts de finale pour retrouver Morges en demi-finales. Je compte Larry Slaughter, Nicolas Reghif ou encore Jeffrey Schwab dans mes rangs. Qui suis-je? Villars Basket évidemment, millésime 2024 mais aussi 2018. 2018, soit l’année du titre historique remporté par les pensionnaires du Platy. C’est peu dire que les comparaisons entre ces deux saisons ne manquent pas. Alors, 2024 sera-t-elle l’année de Villars, qui fêterait ainsi en apothéose ses 50 ans?

Un groupe soudé

Nicolas Reghif, observateur averti du haut de ses 13 saisons au club, pose d’entrée: «Pour moi, c’est totalement différent qu’en 2018. Cette année-là, nous avions un joueur très fort individuellement (Troran Brown, ndlr) qui tirait le groupe vers le haut. Notre force, cette année, c’est que nous avons un groupe soudé. Chaque victoire est une victoire d’équipe.» «Au début de saison, nous n’avions pas nécessairement des ambitions démesurées. Mais l’alchimie a bien pris et nous avons vu que nous pouvons battre tout le monde, détaille Jeffrey Schwab, 10 saisons avec le maillot villarois sur les épaules. La finale, ce serait la cerise sur le gâteau.» L’appétit est donc venu en mangeant pour le club du Platy, qui a engagé Nathan Kasongo en janvier pour se donner pleinement les moyens de rêver. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le transfuge lausannois s’est montré décisif dans l’acte I, en prenant feu à trois points (6/11), dont certains tirs décisifs. Une réussite diabolique derrière l’arc qu’a aussi connue Mansour Kasse (26 points, dont 4/5 à trois points, 10 rebonds). Excepté l’arrivée de Kasongo, Villars fait dans la continuité. Le noyau de l’équipe se compose de fidèles parmi les fidèles comme Reghif et Schwab, mais aussi des Larry Slaughter, de retour au club après une saison à… Morges, Ludovic de Gottrau et autre Léandre Chkarnat.

De l’expérience

Nicolas Reghif n’y voit que des avantages: «Nous nous connaissons par cœur. Nous avons confiance les uns dans les autres, dans notre expérience, dans notre mentalité. Cette ambiance familiale peut faire la différence dans les moments serrés, car nous n’avons pas juste du talent, mais aussi un esprit de groupe très fort.» En plus de cette cohésion manifeste, Villars peut aussi se targuer d’une grande expérience, élément non négligeable dans une quête de titre. Jeffrey Schwab compare: «A l’époque, nous étions sûrement plus fougueux. Nous jouions sur notre vitesse. Mais aujourd’hui (samedi, ndlr), notre fin de match est un symbole de la confiance qui est la nôtre dans ces moments-là. Nous ne paniquons pas et nous arrivons à faire la différence.» De quoi donner aux deux compères des envies de regoûter à l’atmosphère si spéciale des finales, et pourquoi pas, aux joies d’un titre. «L’ambiance lors de la finale en 2018, c’était le feu, se remémore Nicolas Reghif. Nous voulons revivre ça. Pour nous, mais aussi pour offrir ce genre de moments au club et au comité.» Son «pote» acquiesce: «Ce sont des moments qui n’ont pas de prix. J’ai fait une pause de deux ans et l’envie de revivre cela était une grande motivation pour revenir cette saison.» Leur conclusion est limpide: «On se voit en finale.» Et les deux joueurs de toucher du bois, ou plutôt le parquet, en retournant aux vestiaires. Les Villarois ont l’opportunité de passer de la parole aux actes en remportant un deuxième match dès samedi à Saint-Prex.

La Liberté - Valentine Mauron

Les Red Devils une nouvelle fois dos au mur

Samedi soir, Morges-Saint-Prex a mal démarré sa demi-finale de Ligue nationale B en chutant à Villars (85-73). Acte II samedi prochain, au Cherrat (17h30).

Ça en devient presque une (mauvaise) habitude. Comme en quart de finale face à Swiss Central, les Red Devils ont perdu le premier match de la série face à Villars, dans le dernier carré des play-off de Ligue nationale B. L’an dernier, ils avaient connu exactement le même sort en quart et en demie, mais cela ne les avait pas empêchés de filer en finale. «Je n’ai pas d’explication particulière à ça. Samedi, on est juste tombé sur une équipe qui a fait un match de très haut niveau», avoue le coach visiteur Michel Perrin.

Beasley à 50%

A Villars, la rencontre a été extrêmement serrée et disputée. Aucune équipe n’a réussi à prendre plus de six longueurs d’avance avant l’ultime quart-temps et l’échappée fribourgeoise vers la victoire (85-73). «On sait que Villars gagne souvent grâce à des bons derniers quarts, car ils sont capables de durcir le match et ils ont de l’expérience, analyse le tacticien «rouge et blanc». Il nous a manqué un peu d’énergie, de lucidité et d’adresse sur la fin. Et aussi un Marquel Beasley en pleine forme…» L’Américain est gêné par une luxation à un doigt et ça se ressent (10 points à 4/12 aux tirs). Sera-t-il remis, samedi prochain, pour l’acte II au Cherrat (17h30)? «On verra, mais même avec Marquel à 50%, on n’est pas loin et on a les ressources pour l’emporter», termine Michel Perrin.

La Côte - Romain Bory

Full game

Stay
tuned!
Main partners
Media partners
Official suppliers
Technical partners
2025 © Swiss Basketball