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I Lugano Tigers hanno perso contro la squadra di fondo e sono ancora a due vittorie dalla top 8. I vallesani hanno ottenuto la loro prima vittoria in campionato in questa occasione, lasciando i ticinesi al 10° e ultimo posto nel testa a testa. Gli uomini di Milutin Nikolic giocheranno un'altra partita importante il prossimo fine settimana in casa contro il BC Boncourt, che si trova all'8° posto. I vallesani andranno alla palestra Pommier per affrontare i Lions di Ginevra. Le Tigri sono state dominate nel settore interno dai loro avversari incassando 54 punti contro i soli 34 segnati da loro. 10 rimbalzi offensivi concessi. Tuttavia, i ticinesi sono stati più abili dei vallesani con 20 su 34 su 2pts contro 30 su 55 e 11 su 23 su 3pts, contro 5 su 16. Dopo un inizio di partita equilibrato, i vallesani hanno aperto un varco a metà del primo quarto. Un parziale di 0-8 con due tiri da 3 punti convertiti ha dato loro un vantaggio di 8 punti al 6°, 7-15. I ticinesi hanno reagito rapidamente infliggendo un parziale di 14-0 agli avversari per prendere il comando, 21-15 al 9°. Le due squadre sono state poi testa a testa fino al 17°, ma le Tigri hanno vacillato negli ultimi minuti di questo primo tempo con un canestro molto importante segnato da Jacori Payne negli ultimi secondi. 33-41 alla pausa. Molto abili da 3 punti, i luganesi sono riusciti a rimontare gli avversari chiudendo questo 3° quarto sul punteggio di 59-62. La fine della partita è stata mozzafiato perché le due squadre si sono affrontate. La decisione finale è arrivata negli ultimi due minuti dopo che Mattia Cafisi su due L-F aveva portato i suoi colori a 1 punto, 84-85. Jacori Payne, il miglior vallesani ha finalmente dato la vittoria alla sua squadra, approfittando anche di un fallo antisportivo concesso dai bianconeri a 23 secondi dalla fine della partita. Sconfitta alla fine sul punteggio di 84-89 per i Tigers che potevano contare su un eccellente Markel Humphrey 25 pts, 9 rbds, 9 ass, così come sui 18 pts, 9 rbds, 2 ass di Anthony Criswell e i 19 pts, 2 rbds, 7 ass di Nicola Stevanovic. BBC Monthey-Chablais aveva 29 pts, 4 rbds, 4 ass da Jacori Payne e 14 pts. 9 rbds, 2 int di Jalen Hayes.

Am Willen fehlte es nicht

Die Starwings verloren gegen den Titelkandidaten Les Lions de Genève mit 58:68 (18:34).

Vor einem halben Jahr hatten die «Wings» in den Viertelfinal-Playoffs für die grösste Sen­sation der Neuzeit im Schweizer Basketball gesorgt. Und in Genf, mit einem epischen Dreipunktewurf von Matt Milon (jetzt in Rumänien aktiv), die dritte Playoff-Partie gewonnen und ins Halbfinale eingezogen. Erst im Finale, gegen Fribourg Olmypic, wurden die Birsfel­der gestoppt. Tempi passati. Die Gegenwart sieht anders aus. Das damalige Profi-Quartett ist weg, Newcomer Vid Milenkovic spielt nicht mehr im blau-gelben Starwings-Dress, sondern gas­tierte nun mit den Genfer Löwen in der Sporthalle Birsfelden. Auch Genf musste ein wenig «abspecken», aber noch immer kann der Titelkandidat aus der Calvinstadt mit einem Millionenbudget hausieren, ungenügende ausländische Profi­spieler durch Bessere ersetzen und einen Italiener, der einen Schweizer Pass hat und so­mit Nationalspieler ist, verpflichten. «Wir sind das einzige Team der Nationalliga A, das nur zwei ausländische Profispieler hat. Selbst Luzern hat ein Trio. Wir sind der einzige Klub, der nach der Stammfünf mit fünf U21-Akteuren spielt», so Cheftrainer Dragan Andrejevic, dessen Aussagen seit Saisonstart mehr Resigna­tion als Zuversicht sind. Die «Wings» prallten in der ersten Halbzeit an den übermächtigen Lions ab. Diese sind grösser, kräftiger, stärker, besser – es war ein ungleicher Vergleich. Nach der Pause zeigte der Gastgeber zeitweise feinen Basketball, kam bis auf sieben Punkte an den Favoriten heran, doch eine reelle Siegeschance besass Birsfelden nie. Dafür hätten alle Akteure auf ihrem besten Niveau spielen müssen. Das taten nicht alles. Das ist nicht schlimm und ist das Normalste der Welt, wenn in einer technischen Sportart zwei Teams aufeinandertref­fen, welche derart unterschiedliche Möglichkeiten haben. Am Sonntag gastiert der Tabellenführer SAM Massagno in Birsfelden. Die Tessiner sind die «Neureichen» der Schweiz – alleine das Brüderpaar Marko und Dusan Mladjan kosten mehr als das ganze Starwings-Team… auch das ist Schweizer Basketball. Ziel der Starwings kann es nur sein, den Tessinern das Leben so schwer wie nur möglich zu machen.

Starwings Basket - Jordi Küng

La hargne du BBC Nyon a fait la différence

Ce match au Rocher ne restera pas gravé dans les annales mais le succès (71-62) acquis aux dépens de Swiss Central Basketball est ô combien précieux pour les Nyonnais.

Qu’est-ce qu’un bon match? Celui qu’on gagne! L’expression consacrée s’assortit de facto de réserves. Les Nyonnais étaient les premiers à les formuler. A commencer par Stefan Ivanovic: «Sur le parquet, il y avait une équipe de battants et le combat n’a pas toujours été joli mais l’important, oui, c’était de gagner. On l’a fait avec le cœur et en étant agressif en défense.» Il y a des soirées plus compliquées que d’autres, où il convient de retrousser ses manches pour surmonter l’adversité. Deux chiffres soulignent les manques du BBC Nyon. A la pause, la formation de La Côte totalisait 33,3% de réussite dans les tirs à deux points (6/18) et 23.1% (3/13) dans ceux à trois points. Pourtant, elle demeurait dans le match (30-32). Le dire, c’est aussi mettre en exergue les carences et les faiblesses du néopromu Swiss Central Basketball. Magnifique d’abnégation, Jérémy Jaunin a symbolisé à lui seul cette hargne gagnante, lui qui a terminé meilleur marqueur de la rencontre avec 23 points, «un record en carrière», concédait-il à l’interview. «Ça n’a pas été un match sexy mais plutôt «ugly». Parfois, c’est comme ça. En première période, on ne pouvait pas faire pire. En deuxième, on a réussi à mettre de l’intensité. On est allé les chercher à la bagarre. On a du caractère», confiait le meneur de jeu. Ce succès assure aux Nyonnais l’avantage du terrain lors des quarts de finale de la SBL Cup qui se disputera sur un match.

Petits bobos et grand renfort?

Le BBC Nyon peut faire valoir des circonstances atténuantes. Laurent Zoccoletti manquait à l’appel. «Il est blessé à la cheville droite. Il sera absent jusqu’à Noël», expliquait Xavier Paredes. Le président ajoutait à propos du remplacement de George Beamon. «Il reste deux ou trois pistes. La situation va rapidement se décanter. Le nouveau venu sera opérationnel pour la reprise en janvier.» S’il entend rester compétitif pour une (belle) place dans le top 4, Nyon n’a pas d’autre choix que de se renforcer. Il ne peut pas espérer gagner tous ses matches à la hussarde. D’autant que Benoit Hayman se ressent d’une tendinite au genou gauche et que Khadim Sow s’est blessé lors d’un choc. «Il souffre d’une contusion dans le bas du ventre, rien de grave», assure le docteur Boris Gojanovic. Le retour de Sébastien Clivaz était très attendu au Rocher. L’arbitre n’a plus sifflé en championnat depuis le 6 novembre. Mais sa femme étant sur le point d’accoucher, il a cédé sa place Slobodan Novakovic. Dans le trio arbitral, signalons la première apparition à ce niveau de Yoann Buttet. Le Valaisan n’a pas manqué ses débuts.

La Côte - Patrick Testuz

Le BC Boncourt n’est plus d’attaque

Le BC Boncourt recherche toujours la flamme. Hier soir, le derby de l’Arc jurassien ne lui a pas permis de relancer ses actions. Vainqueurs 81-72 dans le chaudron, les Unionistes sont parvenus à maintenir le secteur offensif de la formation de Vladimir Ruzicic dans le frigo. Les Ajoulots ont ainsi concédé un cinquième revers sur leurs six derniers matches. La présence et les encouragements à pleins poumons d’Enraigis du HC Ajoie et, finalement, celle sur le terrain de Brent Jackson – le topscorer du BCB a toutefois été remplacé dans le cinq de départ par Juraj Kozic – n’ont pas eu suffisamment d’impact. Hier, Neuchâtel avait un volume de jeu supérieur et a contraint le BC Boncourt à procéder par à-coups dans un match sans trop de saveur. Les Jurassiens ont mené 8-6
et 11-10. Ensuite? Ils ont perdu trop de duels et n’ont pas pu instiller assez de folie dans les débats. Besogneux, ils n’ont pu que gommer le premier important partiel subi (11-18; 8’10’’) pour égaliser (24-24 et 27-27 après 15’30’’) et compenser presque complètement une deuxième envolée du visiteur (de 37-54 après 26’05’’ à 69-74 après 37’14’’). Une furia soudaine de Brent Jackson – trois paniers primés – était passée par là, mais il en fallait plus pour contrarier des Neuchâtelois qui ont encore gagné en consistance avec l’engagement du sobre et efficace Aleksa Popovic.

«Des problèmes de communication»

«À certains moments, on n’a pas pris les bonnes décisions. On avait le vent dans le dos, mais on n’a pas su construire là-dessus. On a été solide en défense, mais on leur a accordé quatre rebonds offensifs dans le premier quart», déplore Vladimir Ruzicic. Les points inscrits dans la raquette sont par ailleurs éloquents: 50 pour Neuchâtel, 22 pour Boncourt. «Ce n’est pas seulement en raison de leurs joueurs de grande taille», analyse justement le coach des Ajoulots. Les «drives» des plus petits (Bryan Colon, Selim Fofana) ont fait tout autant de dégâts. «Nous avons eu des problèmes de communication.» L’attaque, cela devient une sale habitude, s’est hélas mise au diapason. «On n’était peut-être pas en contrôle, il y a eu quand même de grands moments chauds», concède le Neuchâtelois Yoan Granvorka, «mais à la fin, on avait une petite marge de sécurité. Notre nouvel étranger (n.d.l.r.: Popovic) nous a beaucoup aidés. Il a su gérer le tempo et mettre des paniers importants. Il m’a étonné par son sang-froid. Il y a eu de l’intensité. Notre plan de jeu était vraiment axé sur la défense, on voulait limiter au maximum les deux Jackson.» Neuchâtel confirme ainsi sa montée en puissance («on a su se trouver, on est une équipe très jeune et cela nous a peut-être demandé plus de temps pour nous adapter», affine Granvorka) et avait un peu plus de coffre hier. Les Boncourtois, eux, auront tout intérêt de se relancer mercredi (17h30) au Reposieux de Monthey, où passer l’épaule en huitième de finale de la Coupe de Suisse sera presque capital pour enjoliver la seconde partie de saison. Parce que le nouvel échec d’hier a resserré l’étau et n’est pas sans compliquer les chances d’avancer dans une autre compétition: ayant terminé le premier tour de Swiss Basketball League au 8e rang, les Jurassiens seront contraints d’aller batailler dans l’antre du leader Massagno en quart de finale de la SBL Cup (ex-Coupe de la ligue).

Le Quotidien Jurassien - Frédéric Dubois

Union Neuchâtel enchaîne contre Boncourt

Union Neuchâtel n’a pas tremblé ce dimanche 5 décembre à Boncourt. Les Neuchâtelois ont aisément disposé des Jurassiens 81-72. Cela permet aux basketteurs de la Riveraine de terminer le premier tour du championnat au cinquième rang.

Les matches se suivent et se ressemblent pour Union Neuchâtel ces derniers temps en SB League. Ce dimanche 5 décembre, les Neuchâtelois ont remporté leur quatrième victoire de suite en disposant de Boncourt 81-72 (18-14 22-19 21-15 20-24) en Ajoie. Les Unionistes ont globalement maîtrisé leur sujet, bien qu’ils se soient fait un peu peur en fin de match et que plusieurs fautes aient pénalisé certains de leurs joueurs (Martin, Anabir, Giddens) en début de partie. L’accumulation de ces fautes a d’ailleurs provoqué l’intégration d’Aleksa Popovic, le nouvel étranger de la Riveraine. Le Monténégrin a parfaitement tenu son rôle pour son premier match avec sa nouvelle équipe en totalisant 17 points en 23’16’’ de jeu. Il termine ainsi meilleur marqueur d’Union Neuchâtel lors de ce derby de l’Arc jurassien devant Yoan Granvorka et Selim Fofana (16 points chacun).

Popovic précieux

L’expérience de ce basketteur de 34 ans s’est avérée précieuse pour ses nouveaux coéquipiers. «Il nous a calmés dans les moments chauds», confirme Yoan Granvorka. «Lorsque le match a failli basculer en fin de partie, il nous a beaucoup apporté en inscrivant des points précieux.» Ces «moments» sont intervenus lorsque Boncourt est revenu à cinq points des Unionistes, qui avaient compté jusqu’à 17 points d’avance dans le troisième quart-temps. Une fois cette alerte passée, les Neuchâtelois ont assuré un succès logique. «Nous voulions bien les contrer défensivement. En les laissant à 72 points, alors qu’ils tournent à 85 de moyenne, nous avons rempli notre mission», estime Yoan Granvorka. Avec ce succès, Union termine cinquième du premier tour et affrontera Nyon en quarts de finale de SBL Cup le 22 décembre à l’extérieur. Auparavant, les Neuchâtelois retrouveront les Vaudois ce vendredi 10 décembre à la Riveraine (19h30) en championnat. A l’occasion de ce match, les 100 premières personnes arrivées à la salle recevront gratuitement une écharpe aux couleurs du club neuchâtelois.

Arcinfo - Julian Cervino

La SAM Massagno non tradisce e piega l’Olympic Friburgo

Gli uomini di Gubitosa fanno il pieno di fiducia in vista della sfida di Coppa svizzera

Non ha tradito la Spinelli, chimata al primo vero test stagionale. Nel primo incrocio con Friburgo, la rivale più accreditata nella corsa ai vari trofei della stagione, i ticinesi si sono presi i due punti, il primo posto in classifica al termine del primo turno (importante per la SBL Cup di Montreux) e la giusta dose di fiducia da trasformare in energia positiva in vista della rivincita, questa senza domani, di mercoledì in Coppa svizzera alla St. Léonard. Dove sarà battaglia vera, almeno tanto quanto lo è stata la sfida di ieri di Nosedo.

Crescita costante

Sfida che la squadra di Massagno si è presa con pieno merito. Per la prima volta senza assenti di lusso, ha confermato la tendenza alle partenze lente, ma anche la capacità di crescere di intensità con il passare dei minuti. A un primo tempo piuttosto sciagurato nella metà campo difensiva, da 53 punti concessi (30 dei quali nei primi 10’) con un comodo 8/16 dalla lunga distanza per i bur-gundi, ha risposto con una se conda metà di partita dal volto completamente opposto, lasciando solo 29 punti e un misero 0/11 da tre a un attacco, quello avversario, lentamente fatto uscire dai propri schemi minandone gli automatismi che ne fanno la forza. E con la difesa a montare la diga, il fronte offensivo, guidato ieri dai fratelli Mladjan e Taylor, ne ha beneficiato via via in fiducia e varietà di soluzioni. Non è un caso che, dopo aver passato i primi venti minuti a girare lontani dal canestro, nel momento in cui i padroni di casa hanno cominciato ad attaccare il ferro gli spazi difensivi friburghesi si sono allargati portando a facili soluzioni da sotto e tiri più comodi da dietro l’arco. «Il primo tempo è stato terribile – le parole di coach Robbi Gubitosa, arrivato letteralmente esausto a fine partita -. Non abbiamo lottato, non ci abbiamo messo il corpo, su tutte e due i lati del campo. Nello spogliatoio ho alzato la voce, ho chiesto ai ragazzi di tirare fuori la vera SAM. E nel secondo tempo si è vista. Abbiamo difeso mettendoci energia, dominato a rimbalzo (40-30 il computo finale, ndr) e in attacco abbiamo lavorato da squadra. Bene così, sono contento, oggi erauna sfida importante sia per la classifica sia per andare a casa loro mercoledì con la consapevolezza di potercela giocare».

Pieno di fiducia

Tra due giorni, però, oltre a mancare il fattore casalingo, sarà match da dentro e fuori. Ecco allora che limitare, per una volta, la solita partenza al piccolo trotto sarebbe utile, al di là della capacità di reazione. Ieri a Nosedo i ragazzi di coach Gubitosa hanno scherzato con il fuoco per una quindicina di minuti abbondanti, lasciando ampi spazi al Friburgo, arrivato in Ticino senza Gravet, Miljanic, pure coach Aleksic, e con il «top scorer» MBala precauzionalmente tenuto a riposo. Scappati fino al +14 (27-41 al 15’) con Mitchell, Jordan e Cotture a fare male, i burgundi hanno via, via visto sbarrarsi la strada dalla difesa ticinese. Rientrata sotto la doppia cifra proprio in vista degli spogliatoi, la Spinelli ha continuato a rimanere in agguato alle spalle degli ospiti, rispondendo ai colpi avversari soprattutto con Marko Mladjan e le incursioni di Taylor fino al pareggio griffato dal gioco da 4 punti di Kovac (76-76 al 34’), che ha dato il là al finale in fuga, gestito con lucidità dai padroni di casa. La stessa che servirà mercoledì negli ottavi di finale in terra burgunda, dove la Spinelli andrà a giocarsi un piccolo pezzo di stagione. Ma lo farà con il pieno di fiducia.

Corriere del Ticino