Una giornata che non ha portato alcun cambiamento nella parte alta della classifica, visto che le prime tre hanno vinto. Il Fribourg Olympic e il Vevey Riviera Basket hanno vinto facilmente in casa rispettivamente contro l'Union Neuchâtel Basket e lo Swiss Central Basketball. La capolista Spinelli Massagno è riuscita a conservare un punto di vantaggio nello Chaudron contro il BC Boncourt dopo aver preso un vantaggio di 19 punti a poco più di 6 minuti dalla fine. Il BBC Nyon ha vinto al Pommier contro i Lions de Genève pwd by Grand-Saconnex che hanno subito la terza sconfitta consecutiva, una sconfitta troppo pesante per l'allenatore Alain Attallah. Una vittoria che permette ai vodesi di tornare in classifica al livello di Starwings Basket e BC Boncourt. Importante vittoria del BBC Monthey-Chablais nella corsa alla Top 8 in casa contro i Lugano Tigers, che permette ai vallesani di mantenere 4 punti di vantaggio sul 9° posto
Nyon s’offre le scalp des Lions et la tête d’Alain Attallah
Après Lugano et Boncourt, les Genevois subissent un troisième revers d’affilée. Mais le club du Pommier veut toujours croire à une grosse réaction et… au titre.
Il savait bien, dans son for intérieur, qu’après le couac mercredi, face à Boncourt, un nouveau revers face à Nyon samedi serait celui de trop. Alain Attallah n’avait plus le droit à l’erreur et le couperet est tombé quelques minutes après une troisième défaite d’affilée. C’est Oggie Kapetanovic, le président des Lions de Genève, qui est venu lui annoncer dans le vestiaire, devant ses joueurs, qu’il ne prolongeait pas son aventure au Pommier. Le coach égypto-grec, arrivé l’été dernier, a payé la note de blessures à répétition lors de la période de préparation qui l’a empêché de bien huiler un groupe qui n’a jamais donné l’impression de jouer en équipe.
Tim Arns assure l’intérim
«C’est la première fois en douze ans qu’on perd trois fois de suite contre des équipes moins bien classées que nous, explique le successeur d’Imad Fattal. Il y a un grand match à Neuchâtel qui arrive et on ne pouvait pas continuer comme ça.» C’est donc Tim Arns, l’adjoint qui est également le coach de l’équipe du Grand-Saconnex en LNB, qui aura la lourde tâche de tenter de relancer la machine en attendant que les Lions trouvent l’oiseau rare. «On va scruter le marché pour voir s’il y a quelqu’un de libre qui pourrait venir le plus vite possible terminer la saison, où notre but reste d’aller chercher le titre.» Comme le dirigeant l’a confirmé en soirée lors du gala du club, pas question de baisser les bras. «Si les résultats ne sont pas encore à la hauteur de nos espérances, les joueurs et le staff vont mettre tout leur cœur sur le parquet pour aller poser la patte des Lions sur le haut du panier helvétique.» Sacré défi. Pour cela, les Genevois vont devoir montrer un tout autre visage s’ils entendent rester dans le top 4. «On n’a pas encore trouvé le remède mais on va continuer à travailler, veut se convaincre Clayton Le Sann, conscient que lui et ses coéquipiers ont perdu plus qu’un match face à Massagno fin janvier à Montreux, en demi-finale de la SBL Cup. On a pris un coup au moral et depuis on peine à retrouver de la constance.» Comme ce samedi, où les Lions ont attendu d’être menés de seize points (23e, 38-54) avant de réagir en zone. «Une fois qu’on a mieux joué défensivement, il était trop tard», peste l’arrière, auteur de quelques points importants quand les Lions ont renversé la vapeur (59-58, 32e). «On espère qu’on a touché le fond et qu’on va enfin réussir à sortir la tête de l’eau», soupire Noé Anabir qui a bien cru que Bryan Colon avait sonné le glas des Vaudois, d’un coup de reins ravageur à la 37e (69-66) avant que Colin Dougherty ne «tue» le match à trente-quatre secondes du coup de gong. «À nous de faire rapidement notre autocritique pour sortir de cette spirale, soupire Bryan Colon. Je pense que chaque joueur s’est vu trop beau, moi le premier. On est rentré dans un cercle où on pensait être capable de s’en sortir par des jeux individuels. On fait appel au jeu collectif seulement une fois qu’on est mené de dix ou quinze points et, dans cette ligue où tout le monde peut battre tout le monde, ce n’est pas possible. On doit trouver le moyen de changer cette dynamique. Il ne faut pas baisser les bras. Cela se mérite de jouer pour les Lions.» Une nouvelle semaine de vérité va commencer, dès samedi prochain à Neuchâtel…
Tribune de Genève - Christian Maillard
Le mental du BBC Nyon a fait la différence à Genève
Les Nyonnais se sont imposés samedi au Pommier (70-76). Ils ont pu s’appuyer sur un gros mental pour revenir dans la partie lorsque les Lions sont passés devant, au retour des vestiaires.
Il y avait de beaux sourires sur les visages des Nyonnais à Genève, samedi en fin de journée, après avoir remporté la rencontre face aux Lions (70-76), cinquième du classement. Une victoire d’autant plus satisfaisante que le BBC Nyon, avant-dernier, s’était incliné assez lourdement il y a moins d’un mois, à domicile (72-90). «Ça fait des mois et des mois que l’équipe bosse bien, ça fait plaisir, se satisfaisait le coach Stefan Ivanovic par téléphone, à l’issue de la rencontre. On a été sérieux tout le match, en attaque et en défense.»
Plus «appliqués» sur les rebonds
«On a été beaucoup plus concentrés et appliqués sur les rebonds», pointait notamment l’entraîneur. La feuille de stats en atteste avec 41 rebonds pour les Nyonnais (10 offensifs et 31 défensifs) contre un total de 24 pour leurs adversaires. Si les joueurs du Rocher avaient entamé la partie en prenant l’avantage dès le premier quart-temps (25-21), il leur a fallu faire preuve de mental lorsque, au retour des vestiaires, Genève a changé son système, passant à une défense de zone et faisant fondre la belle avance de 16 unités des Nyonnais. «On a eu un passage à vide, le momentum a changé. Ce n’est pas facile de voir l’adversaire revenir, attestait Stefan Ivanovic. Les joueurs ont eu le mental de tenir et de rester concentrés.» On retiendra tout de même les 26 points de Colin Dougherty, précieux en fin de match, et les 19 de Devante Brooks (23 d’évaluation), même si le coach nyonnais préférait évidemment mettre la performance collective de ses joueurs en avant.
La Côte - Chloé Rebaudo
Si ferma a Monthey la serie positiva dei Tigers
Bianconeri al palo
Si è fermato invece a Monthey il Lugano, dopo essere rimasto imbattuto per un mese. Una sconfitta di misura quella dei Tigers, la prima stagionale contro i vallesani. Traditi dalle percentuali dalla lunga distanza (7/24), dominati a rimbalzo (44-28 in favore del Monthey, di cui 15 offensivi per ben 20 punti da seconda opportunità), i bianconeri sono comunque rimasti costantemente in partita. Le due sfidanti si sono scambiate più volte la testa della gara, poi agguantata definitivamente dai padroni di casa nell’ultimo quarto, con il Lugano bloccato più da sé stesso e dalle sue statistiche deficitarie. Una battuta d’arresto che riporta sotto proprio il Monthey, ora distante 2 punti, ma di fatto 4 in virtù del vantaggio bianconero negli scontri diretti.
Corriere del Ticino - Mattia Meier
La SAM rischia ma porta a casa altri due punti
Il Massagno si impone a Boncourt dopo aver subito una clamorosa rimonta
Sabato in chiaroscuro per le ticinesi di SB League, nella prima giornata del terzo turno. La SAM è andata a infilare la settima vittoria consecutiva in campionato a Boncourt (69-70), complicandosi però la vita nell’ultimo quarto. Il Lugano è stato invece sconfitto a Monthey (7873). Si ferma così a 4 il filotto di successi bianconeri.
Finale col brivido
Dominare la partita e spuntarla di un solo punto? Si può fare, chiedete al Massagno, che a Boncourt ha veleggiato per tre quarti, arrivando a quello finale con 15 punti di vantaggio, diventati poi un comodo +19 con poco più di 6 minuti da giocare (46-65). Talmente comodo che la Spinelli vi si è adagiata, in attesa dello striscione del traguardo. Un’attesa degna di Samuel Beckett e del suo Godot: con i ticinesi usciti dal match, i padroni di casa hanno imbastito una rimonta tale da rendere gli ultimi minuti un calvario per i ragazzi di Robbi Gubitosa, con la sirena finale che sembrava non arrivare mai. Punto dopo punto, i giurassiani sono riemersi dalla doppia cifra di svantaggio con ancora 4 minuti di gioco (56-65). Emorragia fermata momentaneamente da 5 punti di Dusan Mladjan (59-70), risultati però gli ultimi mandati a referto dalla SAM. Tra palle perse (3 negli ultimi 150 secondi) e falli antisportivi, il Massagno è andato quindi vicinissimo a subire danno e beffa quando Steinmann, con 21 secondi sul tabellone, ha infilato la tripla del -1. Distanza minima rimasta tale grazie alla scarsa lucidità del Boncourt, che prima ha raggiunto il limite di falli e poi non ha più fatto fallo lasciando morire palla e partita in mano agli ospiti. Come contro il Nyon una settimana fa, la SAM ha mollato gli ormeggi nell’ultimo quarto dopo aver costruito un solido vantaggio, venendo meno a quella che era stata la sua forza sin qui. Ovvero la capacità di rimanere sul pezzo fino alla fine. Due indizi non fanno una prova, ma con la finale di Coppa Svizzera in vista, in collina sarà meglio non sottovalutare la tendenza.
Corriere del Ticino - Mattia Meier
Vevey Riviera Basket a conforté sa 3ème place en s'imposant aisément en ce samedi à domicile face à la lanterne rouge Swiss Central Basketball. 8 pts d'avance dorénavant pour les vaudois face à Union Neuchâtel Basket et les Lions de Genève pwd Grand-Saconnex tous deux battus lors de cette journée de championnat. Les hommes de Niksa Bavcevic restent ainsi toujours dans le sillage de Fribourg Olympic. Une 6ème défaite de rang pour les lucernois qui restent à 10 pts du 8ème classé. Les pensionnaires des Galeries du Rivage ont fait la différence lors de la première période pour ne plus être inquiétés par la suite. Le secteur du rebond a fait principalement la différence 37 contre 22 avec surtout 16 en phase offensive en faveur des vaudois qui se sont montrés également plus performants à 3pts à 11 sur 23 contre 5 sur 14. 15 ballons perdus contre 23. Après un début de match assez équilibré, les pensionnaires des Galeries du Rivage ont pris l'ascendant sur leurs adversaires dès le milieu du 1er quart-temps le score passant de 12 à 10 à 39 à 14 à la 15ème. Un partiel de 27 à 4 permettant aux vaudois de prendre le large. 52 à 30 à la pause. Les hommes de Niksa Bacevic ont géré sans souci leur avance lors de la seconde mi-temps pour l'emporter au final sur la marque de 93 à 66. A mettre en évidence pour Vevey Riviera Basket les 18 pts, 6 rbds, 16 ass, 3 int de Malik Johnson, les 20 pts, 3 rbds, 5 int de Axel Louissaint et les 17 pts, 6 rbds, 2 ass, 2 int de Michael Williams. Les plus en vue en faveur de Swiss Central Basketball Stan Leemans 15 pts, 4 rbds, 2 int, Julian Roche 12 pts, 4 rbds, 2 ass et Dylan Schommer 13 pts, 3 rbds
Plein d’envie et le plein de confiance
Facile vainqueur d’Union Neuchâtel, Fribourg Olympic monte en puissance en vue de la Coupe de Suisse
Yuri Solca qui plonge sur le ballon, imité dans la foulée par Boris Mbala: ce qui se voit dans un match indécis et engagé s’est déroulé à la… 39e minute de la rencontre de SB League entre Fribourg Olympic et Union Neuchâtel. Le score à ce moment-là? 94-52! Parfois, un engagement vaut mille mots. Celui des deux joueurs en dit en tout cas long sur l’envie affichée samedi par les Fribourgeois. Devant leur public, les hommes de Petar Aleksic ont montré un visage conquérant. De la première (alley-oop de Kovac pour Cotture) à la dernière minute (panier de Solca pour dépasser les 100 points). «Jouer jusqu’au bout est une marque de respect. Nous voulons faire les choses bien. Peu importe l’adversaire», réagit Arnaud Cotture, forcément satisfait de son équipe. «Tout n’était pas encore parfait, mais nous nous sommes rendus le match facile en mettant beaucoup d’intensité.»
Un partiel de… 24-0!
Comme souvent, l’hôte s’est d’abord accroché. Un bon quart-temps. Au début du deuxième, les Fribourgeois ont encore laissé un peu (trop) de place à Justin Roberts – qui s’est empressé d’inscrire deux paniers – avant de fermer l’accès au panier à double tour. De 24-20 à la 12e minute, le score est alors passé à… 48-20 à la 20e! Un partiel de 24-0 qui a tué tout suspense avant même le retour aux vestiaires. «L’alchimie est vraiment bonne dans l’équipe», apprécie Matthew Milon. Malgré les absences de Jonathan Kazadi, Paul Gravet et Uros Nikolic, et en attendant l’arrivée du nouveau venu Antonio Ballard, qui doit débarquer aujourd’hui à Saint-Léonard, Olympic continue d’avancer. «Nous travaillons à l’intégration de Kovac. Cela se passe bien. Nous apprenons aussi à jouer avec Milon qui a été longtemps blessé. Ballard va bientôt nous rejoindre. Nous devons profiter de ces prochains matches pour prendre confiance», se projette Petar Aleksic. Les joueurs sont sur la même page que leur coach. «L’arrivée de Robbie (Kovac, ndlr) nous apporte beaucoup. Nous devons trouver le rythme avec lui afin d’avoir la meilleure alchimie possible», résume Milon. La deuxième mi-temps a ressemblé à un long fleuve tranquille. Olympic a maintenu un bon tempo face à des visiteurs limités qualitativement dans leurs rotations. L’entraîneur Mitar Trivunovic a tenté une défense de zone pour sauver la face, mais le duo Milon/Kovac l’a vite fait exploser (lire aussi ci-dessous) pour donner plus de 40 points d’avance aux Fribourgeois.
Du 10 sur 11 en 2023
L’écart entre le 2e et le 4e du classement en SB League en dit long sur le manque d’homogénéité du championnat. Avec les Starwings ce mercredi, Lugano le mercredi suivant et Boncourt le dimanche 26 mars, Olympic n’a plus de gros morceaux à son menu avant la finale de la Coupe contre Massagno. Problématique? «Nous apprenons aussi lorsque, comme ce soir (samedi, ndlr), nous maîtrisons une rencontre en mettant beaucoup d’intensité. Nous prenons confiance grâce à ce genre de matches», assure Cotture. Plus que les 101 points inscrits, ce sont les 25 passes décisives et les 12 ballons récupérés pour seulement 6 perdus qui témoignent de la bonne santé des Fribourgeois, vainqueurs de 10 de leurs 11 derniers matches avec un écart moyen de 32 points! «Faire le plein de confiance en s’appuyant sur une bonne défense nous aidera à aborder la finale de la Coupe (le 1er avril contre Massagno, ndlr) avec de bonnes dispositions», insiste Aleksic.
La Liberté - François Rossier
Union Neuchâtel corrigé par Fribourg Olympic
Les Neuchâtelois n’ont pas existé à la halle Saint-Léonard. Ils ont été lourdement battus 101-59.
Douche froide pour Union Neuchâtel à la halle Saint-Léonard. Victorieux de leurs quatre dernières rencontres de championnat de SB League, les Neuchâtelois sont tombés de leur petit nuage. Ils ont subi une correction de la part de Fribourg Olympic (101-59).
Deuxième quart-temps cauchemardesque
Ce samedi, les hommes de Mitar Trivunovic n’auront entretenu le suspense qu’un petit quart-temps. Les Neuchâtelois ont notamment vécu un cauchemar dans un second acte à sens unique (29-6). A la mi-temps, la messe était déjà dite avec un avantage conséquent de 28 points pour les Fribourgeois (50-22). «Je n’ai rien à dire. Nous avons simplement arrêté de jouer. Nous étions totalement désorganisés», peste Mitar Trivunovic. «Il faut être réaliste, Fribourg est meilleur que nous. Mais je suis déçu de notre comportement. Nous avons commencé à avoir peur et nous ne nous sommes pas battus jusqu’au bout.» Sonnés, les Unionistes n’ont jamais été en mesure de refaire leur retard. Largement supérieurs, les basketteurs de Fribourg Olympic ont encore accentué leur avance après la pause. Il s’agit de la première fois cette saison qu’Union Neuchâtel encaisse plus de 100 points. Un sacré camouflet. Dans une rencontre sans véritable suspense, l’entraîneur Mitar Trivunovic a donné un temps de jeu important aux jeunes joueurs de première ligue. Coupables de 20 pertes de balle durant l’ensemble de la rencontre, les Neuchâtelois n’auront jamais su répondre au défi physique proposé par leurs adversaires, comme le souligne Vigdon Memishi. «Ils ont joué à une intensité supérieure à la nôtre. Nous n’avons jamais trouvé les solutions en attaque», regrette le pivot helvétique.
Arcinfo - Florian Charlet