Una 27esima ed ultima giornata che ha regalato molte emozioni e sorprese, a partire dal BBC Monthey-Chablais che è riuscito a strappare la quinta posizione ai Lugano Tigers imponendosi in casa sulla Spinelli Massagno. Un brutto affare per i ticinesi, i quali perdono il secondo posto a favore di un Fribourg Olympic tornato vittorioso sul difficile campo della Sporthalle contro gli Starwings Basket. L'altra sorpresa è stata la vittoria dell’Union Neuchâtel Basket sul campo dei leader Lions de Genève. Un risultato che è comunque irrisorio e che non scardina la posizione in classifica di nessuna delle due squadre, siccome entrambe erano sicure di arrivare rispettivamente quarta e prima. Nell’ultimo incontro il BC Boncourt ha vinto allo Chaudron contro il fanalino di coda BBC Nyon, finendo su una nota positiva prima dell’inizio dei play-offs previsto per mercoledì 12 maggio.
Les Lions de Genève devront être «plus sérieux»
Surpris à domicile par Union Neuchâtel (71-80) lors du dernier match de la saison régulière, les hommes d’Andrej Stimac terminent quand même premiers et affronteront Bâle en quarts de finale des séries éliminatoires.
Cette rencontre avait tout d’un match de préparation: gradins clairsemés (Covid oblige), cinq de base quelque peu remaniés et, surtout, aucune influence sur le classement final. «C’était difficile de rentrer dans le match et on n’était pas prêts pour cette intensité», analyse Thomas Jurkovitz. Car, contrairement à ce qu’on pouvait imaginer, Union Neuchâtel ne s’était pas déplacé au Pommier pour faire de la figuration et comptait bien mener la vie dure aux Lions de Genève. Dès le premier lâcher de balle, les protégés de Mitar Trivunovic ont imposé un défi physique aux Lions. «Ils ont abordé rudement la partie, tandis que, de notre côté, nous avons été trop doux», décrit le No 12 genevois. Rapidement menés, les hommes d’Andrej Stimac ont couru après le score durant les trente premières minutes. Grâce à un Xavier Ford en feu (17 points à la mi-temps), les Neuchâtelois ont su gérer leur avance d’une dizaine d’unités jusqu’à l’entame de la dernière période.
Une finale de Coupe, aussi
Alors qu’il restait dix minutes à jouer, les Lions ont recommencé à rugir. Kovac et Kuba ont aligné quatre tirs primés consécutifs et ont permis aux leurs de prendre pour la première (et unique fois) les devants (65-64), à cinq minutes de la sirène finale. On pensait les Genevois capables de continuer sur cette lancée et d’enterrer définitivement Neuchâtel, il n’en a rien été. Au bord du gouffre, les visiteurs ont su puiser dans leurs ressources pour repasser devant, en étant également bien aidés par Genève. «On perd des balles bêtement, comme on l’a fait durant les trois premiers quarts», regrette Thomas Jurkovitz. Finalement, les Lions s’inclinent sur le score de 71 à 80. Place désormais aux play-off. La confrontation face à Bâle n’est-elle qu’une formalité pour les Lions? «On l’espère, sourit le Fribourgeois. On va essayer de l’aborder plus sérieusement qu’aujourd’hui (ndlr: samedi), de commencer le match à fond et de ne leur laisser aucune chance.» Avant cette échéance, un autre rendez-vous important attend Thomas Jurkovitz et ses coéquipiers: la finale de la Coupe ce samedi à Saint-Léonard, face à Fribourg Olympic.
Tribune de Genève - Matthias Davet
Victoire de prestige d’Union Neuchâtel contre les Lions de Genève
Victorieux pour la première fois de la saison du leader de SB League, les Neuchâtelois terminent bien le championnat régulier. Pour les quarts de finale de play-off, qui débutent le mercredi 12 mai, ils affronteront Monthey.
Union Neuchâtel ne réalise décidément pas un exercice comme les autres. Capable de perdre contre la lanterne rouge du championnat, le club du Littoral est également en mesure de réaliser des prestations éblouissantes. Samedi, les Neuchâtelois l’ont parfaitement démontré. Dans un grand jour, ils ont pris le dessus sur les Lions de Genève, leader de SB League. Victorieuse 71 à 80 dans la cité de Calvin dans un match sans enjeu comptable, la troupe de Mitar Trivunovic termine le championnat régulier sur une bonne note. Cette saison, les Neuchâtelois peuvent même se targuer d’être venus à bout à au moins une reprise de toutes les formations de première division suisse.
Quelques sueurs froides
Contre les Genevois, Union a particulièrement bien débuté les hostilités. Bryan Colon et ses coéquipiers menaient de 13 points à la mi-match. Ils ont par la suite été en mesure de contenir l’importante force de frappe offensive du récent vainqueur de la Coupe de la Ligue. Union a tout de même eu des petites sueurs froides quand son adversaire est repassé devant à un peu moins de 5 minutes de la fin (65-64). A noter que les Lions de Genève ont disputé cette partie sans leur arrière lituanien Donatas Sabeckis.
Monthey pour débuter
Après cette ultime journée de championnat, Neuchâtel est désormais fixé sur sa suite de saison. Quatrièmes, les Neuchâtelois affronteront Monthey lors des quarts de finale de play-off. Cette série au meilleur de trois matches débutera le mercredi 12 mai à la Riveraine. Le deuxième match est programmé le vendredi 14 mai à Monthey et l’éventuel troisième acte le dimanche 16 mai à Neuchâtel. Contre les Valaisans, la troupe de Mitar Trivunovic a signé deux succès en trois rencontres. Lors de leur dernier affrontement, le 24 avril, les basketteurs du Littoral avaient été défaits 76 à 83 à la Riveraine. Les protégés de Patrick Pembele semblent en forme et représentent un véritable danger. Au coude à coude avec Lugano pour terminer cinquième de SB League, Monthey a battu Massagno lors de sa dernière sortie.
Arcinfo - Florian Charlet
Canal Alpha - Le Canal Sportif du lundi 3 mai : Match Lions de Genève - Union Neuchâtel Basket (dès 4 min et 10 sec) | 04.05.2021 |
Un bon succès pour la route avant de retrouver Fribourg en play-off
Le rideau est tombé sur le tour préliminaire de Swiss Basketball League, qui a marqué samedi le retour d’une petite cohorte de supporters dans le chaudron. Vainqueur logique (88-71) d’un BBC Nyon privé de l’une des ses deux pièces maîtresses (l’ex-joueur de la Red Team Amir Williams souffre d’un hématome au genou), le BC Boncourt s’est bien regonflé le moral à l’approche des play-off. En raison de l’étrange écroulement en fin de match de Massagno, qui est resté muet durant plus de cinq minutes dans le dernier quart-temps à Monthey (de 51-58 à 65-58), l’équipe jurassienne devra se mesurer au champion en titre Fribourg Olympic en quarts de finale, dès le 12 mai et au meilleur des trois matches.
Tambours et encouragements
Les Boncourtois savaient que le 7e rang leur était promis en cas de victoire contre les Vaudois. À vrai dire, la troupe de Vladimir Ruzicic n’avait pas franchement l’esprit à calculer. Elle voulait surtout se rassurer, réintégrer deux joueurs (voir par ailleurs) et aussi venger un échec en Coupe de Suisse contre Nyon qui avait laissé des traces. Le défi a dans l’ensemble été bien relevé contre une opposition moyenne. Le coach a également pu se livrer à une appréciable revue d’effectif. Le tout dans une atmosphère qui recommence à ressembler à ce qui nous réjouissait tant à l’ère pré-Covid. La cinquantaine d’heureux spectateurs a actionné les tambours, quelques chants d’encouragement ont résonné. Stimulés, joueurs locaux n’ont pas été insensibles à cette nouvelle donne. Les visiteurs, parfois légèrement perturbés, en ont eux vendangé quelques lancers francs en route... Le BC Boncourt a eu besoin de plus de cinq minutes pour récupérer l’avantage au tableau (13-11) et ne plus le lâcher. À la fin du premier quart-temps, la lanterne rouge avait déjà perdu pas mal de plumes. À la mi-temps (50-32), l’issue de la rencontre ne faisait plus de doute. Nanti de 20 longueurs d’avance (58-38), le BCB a toutefois eu la fâcheuse tendance de s’endormir et l’a payé par un 0-11 (58-49, 27’03’’). Ce ne fut qu’une péripétie sur le chemin d’un large succès, couronné par un petit tour d‘honneur et une ola.
«On peut être confiant en nos capacités»
«On a tenté de trouver un rythme dans le troisième quart-temps, mais j’ai aussi utilisé des joueurs de rotation. J’avais la volonté de faire jouer et scorer Devin Cooper (n.d.l.r.: 26 points au compteur du meneur américain). C’est une bonne victoire. Je suis satisfait de ne pas avoir à affronter Massagno. Nous avons une dizaine de jours pour nous préparer. Nous combattrons contre Fribourg. C’était sympa de revoir des gens dans la salle, quelques-uns de mes amis ont pu venir et j’en suis très heureux», réagit Vladimir Ruzicic. «On ne veut pas aller en play-off avec une défaite. Amir Williams était blessé? Ce n’est pas notre problème, on s’occupe de nos affaires. Tout le monde a contribué. On a vraiment un bon rythme collectif. En exécutant le «game plan», on peut battre tout le monde. C’est facile à dire, car on ne l’a pas encore fait, mais je pense qu’on peut être confiant en nos capacités», ajoute Marc Seylan. Nyon s’arrête là. Quant au BC Boncourt, il sait que face à l’ogre Fribourg Olympic, ce sera une tout autre histoire, mais qu’il aurait bien tort de ne pas jouer le coup à fond.
Le Quotidien Jurassien - Frédéric Dubois
Le BBC Nyon s’incline pour la der de sa saison
Les Nyonnais ont conclu leur exercice 2020-2021 sur une défaite concédée samedi sur le parquet du BC Boncourt (88-71).
Le BBC Nyon est en vacances. N’ayant plus aucune chance de disputer les play-off depuis plusieurs journées, la formation du Rocher a disputé, samedi, à Boncourt, son ultime rencontre de l’exercice 2020-2021, laquelle s’est soldée par un 22e revers en 24 matches (88-71). Ces quatre derniers quart-temps de la saison, les Nyonnais les avaient pourtant empoignés de la meilleure des manières. Bien que privés de Williams et d’Hayman, c’est sans complexe qu’ils se lançaient dans un match résolument porté sur l’offensive de part et d’autre.
Réussite en berne
Portés par un Zoccoletti solide dans la raquette, ils se montraient suffisamment efficaces au tir pour faire la course en tête durant les premières minutes de jeu. Malheureusement pour les visiteurs, plusieurs actions manquées consécutivement allaient permettre aux Jurassiens, plus réalistes et progressivement plus dominateur au rebond, de creuser un premier écart qui s’élevait à neuf points à l’issue de la première période (30-21). Marqué par plus d’imprécisions dans les deux camps, le deuxième quart voyait l’écart se maintenir. Aux réussites d’un BBC Nyon très combatif, répondaient celles d’un BC Boncourt bien décidé à rester maître sur ses terres. Les fautes concédées sur des paniers adverses ainsi qu’un faible taux de réussite aux lancers francs (33% pour un 6/18 sur le match) allaient compliquer la tâche des joueurs de La Côte, qui rejoignaient les vestiaires avec un déficit de 18 unités (50-32).
Tout donner jusqu’au bout
Ce retard, les protégés d’Alain Attallah semblaient pourtant bien décidés à le combler dès leur retour sur le parquet. Montrant beaucoup d’envie, ils ne parvenaient toutefois pas à régler leur souci d’efficacité. Ils parvenaient malgré tout à revenir à neuf points de la troupe de Vladimir Ruzicic, avant que cette dernière ne brise l’élan nyonnais sur deux réussites, dont un tir primé inscrit par Fongué à 22’’ de la sirène (68-53). Le capitaine Van Rooij et ses coéquipiers poursuivaient malgré tout leurs efforts au cours des dix dernières minutes, multipliant les actions percutantes auxquelles ne devait manquer, trop souvent, que la conclusion qu’elles auraient mérité. «Sans Amir (Williams), on savait que ce serait dur dans la raquette. Boncourt nous a doublé sur les rebonds. On a aussi connu des problèmes à la finition, mais les joueurs n’ont jamais baissé la tête», a souligné Alain Attallah. Le coach du Rocher de poursuivre: «Comme lors du reste de la saison, ils ont affiché un excellent état d’esprit et je les en remercie».
La Côte - Arnaud David
Canal Alpha - Le Canal Sportif du lundi 3 mai : Match BC Boncourt - BBC Nyon (dès 55 sec) | 04.05.2021 |
Brutto affare per la Spinelli Massagno in ottica play-offs dopo questa sconfitta sul campo del BBC Monthey-Chablais. I ticinesi hanno infatti perso il loro secondo posto a favore di un Fribourg Olympic tornato vittorioso dalla sua trasferta in terra basilese contro gli Starwings Basket. I massagnesi hanno perso il fattore campo in un’eventuale serie di semifinale contro i friborghesi. Nemmeno i ¼ di finale saranno semplici, siccome in programma ci sono i Lugano Tigers per un derby tutto ticinese. Si tratta della terza sconfitta di fila per dei ticinesi che non arrivano in questa fase eliminatoria nelle migliori condizioni. Pertanto erano entrati molto bene in materia, in particolare grazie a due triple di Dusan Mladjan (0 a 8 dopo 3 minuti). I vallesani hanno reagito subito, infliggendo un parziale di 14 a 2 ai ticinesi (14 a 10 dopo 7 minuti). 17 a 13 al termine del primo quarto. I vallesani sono arrivati anche a 7 punti di vantaggio all’inizio del secondo quarto, ma hanno poi avuto un passaggio a vuoto ed hanno subito un parziale di 0 a 10 in favore degli uomini di Robbi Gubitosa (22 a 25 al 14esimo). 36 pari alla pausa. Le due squadre sono poi rimaste fianco a fianco durante tutto il terzo quarto. L’inizio del money-time è stato di tinta massagnese, con la schiacciata del +7 di Isaiah Williams che sembrava aver indirizzato le sorti della gara al 34esimo (51 a 58). Ma perdendo qualche pallone di troppo e giocando con troppo nervosismo, i ticinesi si sono persi ed hanno incassato un parziale di 14 a 0, con i vallesani tornati pienamente in partita. Gli uomini di Patrick Pemeble non hanno tremato negli ultimi istanti dalla linea del tiro libero, infliggendo ai ticinesi una sconfitta per 71 a 61 che può costare molto caro. I ticinesi sono stati imprecisi dal campo, finendo con il 41%. Da segnalare i 10 pts, 11 rbds, 6 ass, 3 stl di Eric Nottage ed i 13 pts, 3 rbds di Isaiah Williams. 16 pts con 6 su 15 al tiro per Dusan Mladjan. 9 pts, 4 rbds per l’esordiente James Padgett con i suoi nuovi colori. Il duo di lunghi vallesani è stato dominante: Jonathan Galloway, 22 pts, 14 rbds e Vincent Bailey, 15 pts, 5 rbds, 5 ass. Menzione speciale anche per Thomas Fritschi, 9 pts con 3 su 4 da 3pts e per Chad Timberlake, 7 pts, 4 rbds, 4 ass.
Mit dem Titelfavoriten auf Augenhöhe
Die Starwings verloren gegen Fribourg Olympic mit 71:83 (39:39).
Zum Abschluss des Qualifikationsprogrammes zeigten die Birsfelder Basketballer, ohne ihren Topskorer Deondre Burns, eine Parforceleistung. In den Playoffs (best-of-three) treffen die Unterbaselbieter auf den Qualifikationssieger Les Lions de Genève.
Hätte es noch eines Beweises gebraucht, dass die Starwings jene Mannschaft sind, welche am meisten von Widerwärtigkeiten (Corona, Krankheiten, Langzeitverletzungen, Rücktritten) heimgesucht wurde am frühen Samstagabend wurde dieser Beweis erbracht. Endlich konnten wieder «eine Handvoll» Zuschauer dem Match gegen den aktuellen Meister und Schweizer Renommierverein Fribourg beiwohnen. Und freuten sich auch, oder wohl vor allem, auf den Autritt von Deondre Burns. Der Starwings-Spielmacher ist Liga-Topskorer und längst im Fokus von europäischen Topklubs. Aber oha lätz: Beim Mittwochsspiel in Lugano, wo die «Wings» gegen eine verstärkte U18-Equipe unerwartet verloren hatten, verletzte sich Burns am Knie und fällt bis auf weiteres aus.
Ohne die gewohnten Spielmacher
Ohne den Langzeitverletzten Branislav Kostic (der Captain erlitt einen Unfall im Februar 2021) und Burns fehlten die zwei Ballbringer und Spielgestalter. Seit dem Ausfall von Kostic macht Vid Milenkovic (25), der in seiner ersten Nationalliga-A-Saison steht, den Aufbau. Und dies vorzüglich. Und was die noch mehr dezimierten Starwings gegen Olympic zeigten, war grandios. Bis zur 30. Minute war der Vergleich ausgeglichen (56:59), obwohl der Gastgeber praktisch mit sechs Mann durchspielen musste. Der Gast aus der Saanestadt brachte als 8. Mann einen bestandenen US-Profi (Dominic Morris) ins Spiel. Der 9. Mann in Fribourg-Reihen ist der 212 Zentimeter lange US-Schweizer Alexander Hart – diesen Mann gibt es bei den Starwings, nach all dem Unbill, nicht mehr. Aus ursprünglich 14 Kaderspielern blieben gegen Olympic noch sechs Senioren übrig. «Und diese sind allesamt Rookies», so Starwings-Cheftrainer Dragan Andrejevic. «Was mein Berufskollege und Landsmann Dragan Andrejevic mit einem derart dezimierten Kader, ohne Aufbauer, leistet, ist phänomenal. Ein komplettes Starwings wäre sehr ernst zu nehmen für die Landesgrössen», so Peter Alaksic, seit acht Jahren Olympic-Trainer und lange Jahre auch Schweizer Nationalcoach.
«Eine emotionale Achterbahnfahrt»
Welche Fazit zieht Klubpräsident Pascal Donati aus dieser «Corona»-Saison 2020/21: «Wir wurden zweimal vom Covid befallen; teils waren sieben Spieler von der 1. Mannschaft ziemlich krank, einer der Profis (Nathan Krill) sogar in einem besorgnis-erregenden Zustand. Unsere drei amerikanischen Profispieler (Krill, Burns und Matthew Milon) waren total 30 Tage, also einen Monat lang, in Quarantäne. Alle einstigen 14 Kaderspieler waren verletzt oder krank – Leistungsträger wie Captain Kostic oder Ilija Vranic fielen die halbe Saison (Kostic) oder die ganze Spielzeit (Vranic) aus. Dazu gab es Spieler, wie Joël Fuchs, ihren Rücktritt gaben. Und auch unsere Jungs, die meisten sind Gymnasiasten, traten kürzer, weil sie schwierige Momente durchmachten. Emotional war es eine Achterbahnfahrt», so Donati, der bereits antönt, dass «all diese Widerwärtigen dazu führen werden, dass wir in der nächsten Saison stark redimensionieren müssen. Vor allem aus finanziellen Gründen», so der Birsfelder.
«Uns fehlen fünf Siege»
Cheftrainer Dragan Andrejevic sagt umgehend: «Ich bin sehr stolz auf meine Mannschaft. Sie hat einen unglaublichen Charakter, sie ist noch homogener geworden – jeder Ausfall hat uns substanziell geschwächt, aber als Gruppe noch stärker gemacht. Klar, uns fehlen fünf Siege. Wir mussten zeitweise drei Matches innert fünf Tagen austragen, dann aber drei Wochen in Quarantäne gehen. Wir kamen zweimal direkt aus dem Krankenbett aufs Spielfeld – und verloren Heimspiele gegen Boncourt und Monthey, die wir unter normalen Umständen gewonnen hätten. Wir verloren im Oktober 2020 in Lugano, wo wir auf der Siegesstrasse waren, weil Burns nach 27 Minuten verletzt ausfiel. Alle Profis waren während Monaten verletzt oder angeschlagen», so Andrejevic. Es gab eine Phase, wo die Starwings (auch ohne Kostic und Vranic) mit Siegen in Neuchâtel, Boncourt und Monthey sowie dem Cup-Erfolg über Lugano aufzeigten, dass sie mit der Mittelklasse mehr als mithalten können. «Selbst mit nur sieben Akteuren boten wir allen Paroli und wurden nie vorgeführt», so Andrejevic, der keinen Hehl daraus macht, dass er gerne in der nächsten Saison die angefangene Arbeit weiterführen würde. «Die Starwings haben ein enormes Potenzial, das man weiter entwickeln kann», so der im Züribiet wohnende Basket-Lehrer. Neuchâtel, das die Saison auf Platz 4 beendete, verlor gegen die Starwings zuhause, als diese (auch ohne Kostic und Vranic) in «Bestsetzung» aufspielen konnten. Man stelle sich vor, was unter «normalen» Umständen möglich gewesen wäre…
Noch zwei- oder dreimal gegen Genf
In zehn Tagen wird es maximal drei, wohl eher zwei Playoff-Matches gegen Genf geben. Zu hoffen ist, dass Burns dann wieder zeigen kann, dass er der attraktivste Akteur der gesamten Nationalliga A ist. Und zu hoffen ist, dass das Aushängeschild des Deutschschweizher Basketball mehr (finanziellen) Support erhält, denn «ohne all diesen Unbill hätten wir schon in dieser Saison 2020/21 ganz Grosses leisten können», ist Trainer Andrejevic überzeugt.
Starwings Basket - Georges Küng